Les derniers mots de Dutch Schultz

William S. Burroughs

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS)

Résumé

« Un scénario génial sur les derniers instants du Hollandais dont le gang fut l'un des plus puissants à l'ère de la prohibition. Jamais le fulgurant talent de Burroughs n'a été aussi perceptible que dans ce portrait d'un caïd. » (Nouvel Observateur) « C'est un véritable film visuel auditif et verbal. Situés dans la réalité américaine, les actions décrites se réfèrent à son reflet dans la tradition hollywoodienne au cours de trois périodes précises : 1902-1919 ; les années 20 et les années 30. Les fantasmes se coulent dans le moule d'un thriller : gangsters, tueurs à gages, travestis, policiers, personnages réels et imaginaires évoluent dans des décors curieusement distanciés, artificiels. La structure même de ce livre, fait d'une succession de ruptures, reflète la violence qui est finalement son sujet et sa seule raison d'être. » (Rock & Folk)


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    William S. Burroughs

  • Éditeur

    Christian Bourgois

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    06/11/2008

  • Collection

    Titres

  • EAN

    9782267019896

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    110 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    10.8 cm

  • Épaisseur

    0.7 cm

  • Poids

    96 g

  • Lectorat

    Tout public

  • Diffuseur

    CDE - Centre de Diffusion de l'Edition

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

William S. Burroughs

Né à Saint-Louis en 1914, William Burroughs est mort en 1997 à 83 ans. A la fin de ses études, il émigre à New York, plonge sciemment dans le monde de la pègre et devient intentionnellement héroïnomane. Parallèlement, à l'université de Columbia, il fait la connaissance de Ginsberg et de Kerouac. Vers 1950, Burroughs se met à écrire. Il tue sa femme accidentellement et s'éclipse en Amérique du Sud. En 1954, il s'installe à Tanger qu'il ne quittera qu'en 1964. Ses intoxications se font de plus en plus aigües. Après sa désintoxication entreprise à Londres, il se met à écrire beaucoup : Le Festin nu, La Machine molle, Le Ticket qui explosa, Nova express, Les Derniers mots de Dutch Schultz, Le Job, Les Garçons sauvages. C'est en 1975 que Burroughs est reparti vivre à New York, où il est devenu une des « stars » de la « scène new-yorkaise ». Gourou de la Beat Generation, éminence grise controversée de l'avant-garde internationale, prophète sombre à l'humour des plus noirs, William Burroughs a eu une influence avec laquelle peu d'écrivains vivants ont rivalisé.

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