Jours de travail

Traduction PIERRE GUGLIELMINA  - Langue d'origine : ANGLAIS (ETATS-UNIS)

À propos

Chaque livre semble être le combat de toute une vie. Et puis quand c'est fait... Pouf. Comme si ça n'avait jamais existé.
John Steinbeck a écrit Les Raisins de la colère entre juin et octobre 1938, dans un moment de bouillonnement et de tension extraordinaire. Tout au long de cette période, il a tenu un journal qui retrace scrupuleusement son expérience et le révèle dans les affres de la création. Face à la page blanche, aux doutes, aux obstacles qui le ralentissent, l'empêchent de penser, l'écrivain tient avec obstination le fil de l'écriture. Il défend ses personnages, son intrigue, guette le miracle qui pourrait lui offrir ce chef-d'oeuvre dont il est le premier à questionner la possibilité... En 1941, après le succès colossal du roman, après les controverses et les menaces, tandis que la guerre fait rage et que l'argent afflue, John Steinbeck reprend la plume. Seul son journal pourra le guider vers le nouveau livre d'une vie nouvelle.

Rayons : Littérature > Biographie / Témoignage littéraire > Autobiographie / Mémoires / Journal intime

  • Auteur(s)

    John Steinbeck

  • Traducteur

    PIERRE GUGLIELMINA

  • Éditeur

    Seghers

  • Distributeur

    Interforum

  • Date de parution

    03/01/2019

  • EAN

    9782232129834

  • Disponibilité

    Indisponible

  • Nombre de pages

    214 Pages

  • Longueur

    19.8 cm

  • Largeur

    13.1 cm

  • Épaisseur

    2 cm

  • Poids

    240 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

John Steinbeck

D'ascendance prussienne et irlandaise, J. Steinbeck naît à Salinas, petite ville de Californie, dans une famille modeste de quatre enfants. Il étudie à l'université de Stanford, en exerçant parallèlement de petits métiers: commis de vente, employé de ferme. Il abandonne ses études, quitte Los Angeles pour New York mais s'adapte mal à la ville. Après un échec dans le journalisme, il retourne en Californie et prépare son premier roman, La Coupe d'or, qu'il publie en 1929. Six ans plus tard, il connaît son premier succès populaire avec Tortilla Flat, chronique truculente de la vie des paisanos peu recommandables mais unis par la fraternité. Il prolongera cette veine anarchisante avec Rue de la Sardine et Tendre Jeudi. Ses autres romans parlent de l'inhumanité du développement économique et de la misère des journaliers. Déçu dans ses convictions socialistes, il finira par se rallier au "rêve américain" tout en se rapprochant de la nouvelle génération de l'Ouest et des Beatniks.
En 1948, il est élu à l'Académie Américaine des Arts et des Lettres et en 62, il reçoit le Prix Nobel de Littérature.Son oeuvre est généreuse et son originalité réside dans cette langue populaire, souvent cocasse, qu'il a su restituer; dans l'amitié et la solidarité qu'il a peint de façon émouvante.

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