Le Festin nu (Préface de Gérard-Georges Lemaire)

William S. Burroughs

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS) par ERIC KAHANE

À propos

Ce livre, longtemps interdit, est devenu culte. Le festin nu est une descente aux enfers - morphine, héroïne, cocaïne, opium ... Sujétion, délivrance et rechute ; tel est le cycle qui constitue l'un des problèmes du monde moderne. Suite d'épisodes enchevêtrés et disparates où se mêlent hallucinations et métamorphoses, clowneries surréalistes et scènes d'horreur à l'état pur, cauchemars et délires poético-scientifiques, érotisme et perversions, le chef-d'oeuvre de William Burroughs est à la fois terrifiant, macabre, comique, et presque insoutenable. Le festin nu a été porté à l'écran en 1991 par David Cronenberg.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    William S. Burroughs

  • Traducteur

    ERIC KAHANE

  • Éditeur

    Folio

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    29/10/2015

  • Collection

    Folio

  • EAN

    9782070467679

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    352 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    10.8 cm

  • Épaisseur

    1.4 cm

  • Poids

    185 g

  • Lectorat

    Tout public

  • Diffuseur

    Gallimard

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

William S. Burroughs

Né à Saint-Louis en 1914, William Burroughs est mort en 1997 à 83 ans. A la fin de ses études, il émigre à New York, plonge sciemment dans le monde de la pègre et devient intentionnellement héroïnomane. Parallèlement, à l'université de Columbia, il fait la connaissance de Ginsberg et de Kerouac. Vers 1950, Burroughs se met à écrire. Il tue sa femme accidentellement et s'éclipse en Amérique du Sud. En 1954, il s'installe à Tanger qu'il ne quittera qu'en 1964. Ses intoxications se font de plus en plus aigües. Après sa désintoxication entreprise à Londres, il se met à écrire beaucoup : Le Festin nu, La Machine molle, Le Ticket qui explosa, Nova express, Les Derniers mots de Dutch Schultz, Le Job, Les Garçons sauvages. C'est en 1975 que Burroughs est reparti vivre à New York, où il est devenu une des « stars » de la « scène new-yorkaise ». Gourou de la Beat Generation, éminence grise controversée de l'avant-garde internationale, prophète sombre à l'humour des plus noirs, William Burroughs a eu une influence avec laquelle peu d'écrivains vivants ont rivalisé.

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