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Editions Carpentier
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Avec plus de 60 millions d'albums vendus dans le monde, des tournées mondiales couronnées de succès, plusieurs pochettes de disques iconiques et une ribambelle de classiques faisant toujours les délices de la bande FM, Supertramp a incontestablement marqué la scène pop internationale. Depuis le raz-de-marée Breakfast in America - 3e meilleure vente d'albums de tous les temps en France avec plus de 3 millions d'exemplaires écoulés -, notre pays a eu le bon goût d'entretenir une relation fidèle et forte avec l'héritage musical de ces super-clochards.
Cette biographie ultime, truffée d'anecdotes et de secrets de fabrication de leurs chansons et disques emblématiques, retrace dans les moindres détails le parcours et le destin incroyable de ce groupe anglais parti s'exiler en Californie en quête d'un succès qui dépassera très largement le cadre de leur pays d'origine.
Enrichi d'une grande quantité d'extraits d'interviews d'époque des principaux intervenants, ce livre passe également en revue les différentes incarnations du groupe, tout en réservant un traitement particulier aux musiciens qui formèrent, de 1973 à 1983, ce que beaucoup considèrent aujourd'hui comme l'expression la plus caractéristique de Supertramp.
L'auteur présente en outre leur première discographie exhaustive dans un cahier couleur.
À l'heure où Supertramp annonce son « Forever Tour » pour la fin de l'année 2015 - l'ultime tour de piste ? -, il semble particulièrement opportun de se (re)plonger dans le récit de plus de quarante-six années d'une carrière hors normes.
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De Indochine à la beauté de l'idée
Dominik Nicolas, Sébastien Bataille
- Editions Carpentier
- 15 Octobre 2015
- 9782841679850
Tout a été dit sur Indochine. Mais toujours par Nicola Sirkis qui contrôle tout ce qui est dit et montré sur et par le groupe : il est le seul à s'exprimer dans les médias.
Aujourd'hui, 20 ans après son départ d'Indochine en 1995, Dominik Nicolas, co-fondateur avec Nicola Sirkis, guitariste de 1981 à 1994 et compositeur de tous les tubes d'Indochine : L'Aventurier (1982), Miss Paramount (1983), Le Péril jaune (1984), Kao Bang (1984), Canary Bay (1985), 3e sexe (1985), Tes yeux noirs (1996), Les Tzars (1987), Le Baiser (1990). prend la parole.
Très discret dans les médias, il se confie aujourd'hui à travers la plume de Sébastien Bataille (lui-même auteur de deux ouvrages sur Indochine) aux fans d'Indochine (qui se comptent par centaines de milliers aujourd'hui) et raconte :
Son enfance jusqu'à la création d'Indochine.
Sa vision des années Indochine.
Sa séparation et son départ du groupe.
Sa vie, ses projets de 1995 à 2015.
Son projet « la beauté d'une idée ».
La suite : ses envies, ses projets, ses désirs.
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Il en va du metal comme, jadis, du rock'n'roll.
Né à la fin des 60's (sous un autre terme générique?:
Le hard rock), on en avait prédit la mort dans les plus brefs délais.
Et pourtant, quatre décennies et demie plus tard, non seulement le metal est toujours là, mais il s'est en outre offert le luxe de devenir l'un des genres musicaux les plus vendeurs, en dépit du peu de soutien médiatique dont il bénéficie.
Le succès phénoménal du Hellfest, qui se déroule chaque année en banlieue de Nantes, en apporte la preuve éclatante?: il est devenu le troisième plus gros festival français, tous styles musicaux confondus.
Tel Janus, le metal possède un double visage mais il est parvenu à maîtriser cette ambivalence?: d'un côté, il présente au grand public sa facette la plus acceptable (celle du slow «?Wind Of Change?» de Scorpions, par exemple)?; de l'autre, il réserve à ses plus ardents supporters ses orgies de décibels et son folklore outrancier. Honni par les uns, vénéré par les autres, le metal se décompose en effet aujourd'hui en une cinquantaine de sous-genres, du plus soft au plus extrême, ce qui lui garantit une exceptionnelle richesse musicale et contribue très certainement à expliquer sa longévité. «?Sans la musique, la vie serait une erreur?», écrivit Nietzsche dans Le Crépuscule des idoles. Mais c'est parce qu'il ne connaissait pas le metal. Sinon, il aurait sans doute estimé que, sans la distorsion, la musique serait une erreur !