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Bleu Nuit
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Découvrez ce jeu inédit sur l'opéra. Avec ses 63 cases, traversez les oeuvres du répertoire lyrique depuis 1607 jusqu'à 1987 pour arriver sur la mythique scène de l'Opéra Garnier à Paris et retrouvez-les dans le guide tout en couleurs inclus, qui les détaille et propose des conseils d'écoute. La règle du jeu est identique à celle du jeu de l'oie. Les joueurs peuvent toutefois ajouter une difficulté supplémentaire en imposant d'identifier le compositeur et/ou la période de composition pour valider chaque case : pour les aider, une fiche spécifique dévoile ces informations. Découvrez ce jeu inédit sur la musique classique. Avec ses 63 cases, retrouvez les grands compositeurs de la musique classique et leurs instruments pour arriver au chÅÂÂÂ'ur de l'orchestre en concert et écoutez leurs ÅÂÂÂ'uvres présentées dans le guide tout en couleurs inclus, qui les détaille et propose des conseils d'écoute. La règle du jeu est identique à celle du jeu de l'oie. Les joueurs peuvent toutefois ajouter une difficulté supplé-mentaire en imposant d'identifier le nom du compositeur et/ou ses dates pour valider chaque case : pour les aider, une fiche spécifique dévoile ces informationsâÂÂÂeuros- Règles en anglais téléchargeables sur bne.fr. Jeu tout public jusqu'à 6 joueurs. ATTENTION : les petites pièces ne conviennent pas aux enfants de moins de 3 ans. Ce coffret contient : - 1 plateau de jeu format 42x30 cm env. - 2 dés rouge & or - 6 pions en bois recyclé - 1 carte des ÅÂÂÂ'uvres & compositeurs - 1 livre en couleurs de 216 pages - 2 élastiques en caoutchouc recyclé PRODUIT ÉCO-RESPONSABLE assemblé en France et en série limitée
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Né à la Côte-saint-André (Isère), Hector Berlioz (1803- 1869), était destiné à la profession de médecin comme son père. Il abandonne cependant ses études dès 1921 pour se consacrer à la musique et entre au Conservatoire de Paris dans les classes de Reicha, Lesueur et Cherubini. Il obtient le prix de Rome en 1830. C'est pourtant seulement dans des traités qu'il avait découvert l'harmonie, et il en écrira un grand qui reste encore aujourd'hui une référence. Sa musique influencée par les compositeurs allemands Weber et Beethoven traduit des sentiments passionnés, déclarant : «Les règles de ma musique sont l'expression passionnée, l'ardeur intense, le rythme animé et les aspects surprenants.» Bien que peu compris du public à ses débuts, Berlioz est une des gloires de la musique française. Il est l'auteur de nombreuses mélodies, d'opéras (Benvenuto Cellini, Les Troyens), d'une symphonie dramatique Roméo et Juliette, d'un Requiem ainsi que de plusieurs oeuvres symphoniques dont la Symphonie fantastique qui reste son chef-d'oeuvre. Compositeur entier et passionné, il a laissé dans ses Mémoires un étonnant témoignage de la musique en son temps .
2019 célèbre donc les 150 ans de sa disparition.
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Alors que l'Espagne connaît son Siècle d'Or, un genre musical voit le jour au nord de Madrid dans la résidence royale du Palacio de la Zarzuela (ou «Palais de la Ronceraie»), où se donnent de fastueux spectacles, qui prennent donc le même nom que leur lieu d'accueil :
Zarzuela. Pendant que l'opéra en est à ses débuts en Italie, le XVIIe siècle espagnol se distingue à travers ses propres pièces lyriques s'appuyant sur des livrets de Pedro Calderón, véritable fondateur reprenant les classiques de la mythologie gréco-latine, et des musiques de Juan Hidalgo, puis de Sebastián Durón. Au XVIIIe siècle, la zarzuela s'étend ensuite aux théâtres populaires ibériques et jusque aux Amériques grâce aux compositions de Antonio Literes, José de Nebra et Antonio Rodríguez de Hita, ou encore aux livrets de Ramón de la Cruz. Ce n'est qu'après cent cinquante ans de gloire ininterrompue que la zarzuela «baroque», tout comme l'Espagne, connaîtra à la fin du XVIIIe siècle une éclipse qui l'obligera à se renouveler...
Cette étude inédite présente pour la toute première fois les origines de ce «continent musical» à part entière qu'est la zarzuela aux XVIIe et XVIIIe siècles, complétée de nombreuses illustrations et annexes.
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Alors que l'Espagne est en pleine reconstruction, le genre lyrique typiquement espagnol qu'est la « zarzuela » se développe au XIXe siècle et se voit même dédier une salle exclusive à Madrid encore aujourd'hui incontournable : le Teatro de la Zarzuela. Sa popularité s'étend rapidement, présentant même des déclinaisons régionales (catalane ou basque par exemple), voire internationales que ce soit en Amérique du Sud ou au Mexique. Sur des sujets souvent populaires et reprenant des couleurs musicales ibériques, c'est un énorme catalogue qui enthousiasme le «grand public» qui se passionne pour ces pièces de tailles variables allant des plus courtes (en 1 acte) aux plus imposantes, à travers les différents genres : grande, chica, revista... Cette apogée de la zarzuela populaire, conquérante et victorieuse, semble désormais bien lointaine, à moins que le genre n'attende son renouveau que dans un sursaut ou une ultime mutation...
Après la Zarzuela baroque (n°72), cette étude inédite présente les années florissantes de ce «continent musical» à part entière qu'est la zarzuela aux XIXe et XXe siècles, complétée de nombreuses illustrations et annexes.
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Carl Maria von Weber
Jean-Luc Caron, Gérard Denizeau
- Bleu Nuit
- Horizons
- 8 Novembre 2019
- 9782358840873
Issu d'une famille de musiciens allemands, Carl Maria von Weber (1786-1826) compose dès ses onze ans Six Fughetten et un an plus tard un opéra, Die Macht der Liebe und des Weins. En 1800 naissent l'opéra-comique Das Waldmädchen puis l'opéra Schmoll und seine Nachbarn. Chef d'orchestre de l'Opéra de Breslau entre 1804 et 1806, il démissionne pour se consacrer uniquement à la composition. Il se rend à Mannheim en 1810, année de création de son opéra Silvana, puis voyage en Allemagne de 1811 à 1813 comme pianiste-concertiste avant d'être nommé directeur de l'Opéra de Prague en 1813 et directeur de l'Opéra allemand de Dresde en 1816. La composition de son chef-d'oeuvre Der Freischütz dure trois ans avant d'être créé en 1821 et de connaître un succès considérable. Victime de la tuberculose, l'état physique de Weber ne cesse de s'aggraver. Il continue cependant de composer, malgré la douleur, Euryanthe en 1823 puis Oberon en 1824 avant de s'éteindre en 1826 au cours d'un concert londonien. Wagner contribuera au rapatriement du corps à Dresde en 1844. Ce nouvel opus de la collection horizons vous invite à la rencontre du célèbre compositeur de l'Invitation à la danse considéré comme le père de l'opéra allemand, dans une étude inédite et illustrée aux nombreuses annexes.
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Né à Nice, Maurice Jaubert (1900-1940) apprend le piano dans sa ville natale avant d'étudier le droit à La Sorbonne de Paris, dans la lignée de son père avocat quand survient la guerre. Démobilisé en 1922, il décide de se consacrer à la musique et ses innovations technologiques, notamment dans celles de l'enregistrement.
Il épouse le soprano Marthe Bréga en 1926 (Ravel est son témoin) et compose pour le cinéma dès 1929, notamment pour Jean Renoir, Jean Vigo, René Clair, Julien Duvivier ou Marcel Carné et dirige l'enregistrement de nombreux confrères comme Darius Milhaud, Arthur Honegger ou Kurt Weill. Mobilisé en septembre 1939, le capitaine de réserve Jaubert est mortellement blessé par un tir ennemi en 1940. Outre ses mélodies et musiques de scène, on peut noter dans sa trentaine de musiques de films les titres de Zéro de conduite, Carnet de bal, Quai des brûmes, Hôtel du Nord ou encore Le jour se lève.
François Truffaut a utilisé des musiques de Jaubert pour quatre de ses films : L'Histoire d'Adèle H. (1975), L'Argent de poche (1976), L'Homme qui aimait les femmes (1977) et La Chambre verte (1978).
Cet ouvrage est aussi l'occasion de mieux connaître ce travail tout particulier de la composition de musique de films dans la première moitié du XXe siècle.
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Opera italien : Donizetti, Rossini, les Véristes
Collectif
- Bleu Nuit
- Horizons
- 10 Mai 2019
- 9782358840828
Depuis Claudio Montever-di (1567-1643) et son Orfeo, l'opéra est naturellement associé à la langue italienne, qui s'est rapidement taillée une part prédominante dans toute l'Europe pour ce répertoire. Avec Vincenzo Bellini (1801-1835) et Gaetano Donizetti (1797-1848), la ligne vocale prend toute sa puissance et permet l'avènement du Bel Canto, ce «beau chant» magnifié par un répertoire préfigurant le romantisme. Avec Gioachino Rossini (1792-1868), s'y ajoutent une performance vocale encore plus agile et l'ouverture vers un répertoire plus bouffe, qui réjouira le public. Sous Giuseppe Verdi (1813-1901), l'opéra italien prend une nouvelle ampleur pour migrer vers un genre de plus en plus proche de son temps dans le choix des argumentaires, annonçant le dernier grand mouvement italien marquant : le vérisme avec ses quatre représentants emblématiques que sont Pietro Mascagni (1863-1945), Ruggero Leoncavallo (1857-1919), Umberto Giordano (1967-1948) et Francesco Cilea (1866-1950).
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La version d'Alceste présentée par l'Opéra du Rhin n'est pas la version habituellement représentée. Sa création à Paris en 1776 fut un échec. L'oeuvre fut donc retravaillée pour répondre aux attentes du public. C'est à partir des partitions de Gluck que l'Opéra du Rhin a bâti ce spectacle, se rapprochant de la version originale.
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Opéra en trois actes - Livret de Janacek d'après une pièce de Karel Capek. Créé à Brno le 18 décembre 1926.
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Fable lyrique en cinq tableaux et un épilogue - Livret de Béla Paulini et Zsolt Harsanyi d'après un poème de Janos Garay. Créé à Budapest le 16 octobre 1926.
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