La Révolution bolchevique a dispersé la famille de Tatiana dans différents pays. Après avoir pris connaissance des mémoires et de la fin tragique de son grand-père Arcady, elle enquête pour connaître la raison de son exécution par les nazis. Il fut incarcéré dans les prisons de Petrograd, de Berlin et de Vilnius. Il porte sur elles de bouleversants témoignages. Sa fine observation de l'âme humaine l'amène à dresser des portraits psychologiques significatifs de la société de l'époque, notamment sur Raspoutine, qu'il a rencontré deux fois.

L'enquête de Tatiana permet à son grand-père, un demi-siècle plus tard, d'être reconnu « Juste parmi les Nations ».

Irène Mainguy est bibliothécaire documentaliste et présidente de la Société Française d'Études et de Recherches sur l'Écossisme (SFERE). Par ses écrits, elle cherche essentiellement à mettre en lumière les similitudes et analogies de la Symbolique liée aux méthodes de construction de soi. Depuis 2001, Irène Mainguy est fréquemment invitée à partager ses connaissances dans des conférences et colloques autour des symboles, des mythes, des légendes et des contes. Auteur de nombreux livres à succès sur le symbolisme et la spiritualité, elle signe ici son premier roman historique. Lire la suite Fermer

«?Les grands esprits font les choses avec passion et amour. Siméon Bourgois, Charles Brun et Camille Doré font partie de ces hommes qui ont eu une ambition pour la Marine française du XIXe siècle, celle de naviguer de manière autonome sous l'eau. En avance sur leur temps, ils ont travaillé avec persévérance et sans compter pour transformer un projet hors normes en réalité, celui du submersible Le Plongeur, qui fût construit à Rochefort. [...] cent soixante ans plus tard, à l'heure où le dernier né des sous-marins nucléaires d'attaque, lui construit à Cherbourg, entre en service dans la Marine nationale, nul mieux qu'un Rochefortais amoureux de sa région, officier de marine et ancien commandant de sous-marins nucléaires pour raconter cette épopée unique en son genre.?» Vice-Amiral d'Escadre Jean-Philippe Chaineau Commandant les forces sous-marines Au-delà de l'aventure de ces hommes, de ce sous-marin et de la marine du Second Empire, le premier roman historique de François Guichard nous immerge dans la vie quotidienne de Rochefort, de celle de son arsenal, de ses rues et de ses habitants.
Premières plongées - Vingt milles nautiques sous la mer est un véritable voyage dans le temps d'une richesse exceptionnelle, qui ne manquera pas d'emporter les amoureux de la mer comme les passionnés d'Histoire, de technologie et d'innovation.
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Elle est juive et s'appelle Héléna Haïm.


En 1944, peu de temps avant d'être arrêtée et déportée au camp de concentration d'Auschwitz, Héléna parvient à confier son jeune fils à une famille française. Son dernier geste avant qu'elle ne parte dans les chambres à gaz sera de cacher dans l'un de ses souliers une lettre et un pendentif destinés à son enfant.

Une trentaine d'années plus tard, la lettre et le pendentif sont retrouvés à Auschwitz Birkenau par un historien stagiaire, puis des années plus tard par sa fille Wiktoria, âgée de 28 ans.

Entamant une enquête entre la France et la Pologne, Wiktoria décide d'accomplir la dernière volonté d'Héléna?: retrouver son fils et découvrir la vérité cachée sur la famille de celui-ci.

Le 3 septembre 1939, la guerre contre l'Allemagne est déclarée.En 1943, les Allemands perdent la bataille de Stalingrad. Afin de regonfler son armée et de compenser le manque d'ouvriers et de soldats, Hitler créé le Service du Travail Obligatoire (STO). Les Français nés entre 1920 et 1922 doivent partir travailler en Allemagne.André Collard, alors instituteur, fait partie des hommes contraints à quitter leur vie et à rejoindre l'Allemagne. Il est affecté au nord, à Emden, mais cette vie l'ennuie et l'effraie. Il décide alors de s'enfuir.Afin de rester en vie, il devra rester caché. Jusqu'à la Libération.Jean-Paul Collard est né en 1946. Après avoir exercé comme musicien puis professeur d'éducation physique, il s'est reconverti dans l'informatique.Le confinement lui a permis de se lancer dans l'écriture et de publier son premier ouvrage, Réfractaire !, aux Éditions Vérone. Lire la suite Fermer

Depuis la prise de la Bastille et la Déclaration des Droits de l'Homme, le quotidien d'Antoine Galloin n'a pas changé. Ce fils de laboureur est bien plus préoccupé par les récoltes compromises chaque année par une nature capricieuse.La misère est générale et accable le petit peuple de France quand, en 1792, un nouveau péril menace la Nation : les armées des états voisins franchissent les frontières et marchent sur Paris pour y rétablir la royauté. La Patrie est en danger. Des volontaires sont appelés en renfort de l'armée régulière. Cette fois, soucieux de protéger leurs familles, de jeunes paysans et artisans s'engagent dans de nombreuses régions. Antoine Galloin est de ceux-là et rejoint le troisième Bataillon de Volontaires de l'Yonne.Il n'a jamais tenu un fusil et ne sait rien de la guerre. De campagne en campagne, le jeune homme médite sur sa condition de soldat et s'interroge. Pour autant, des rencontres inattendues, fraternelles et amoureuses, se font sous la mitraille. Pendant cinq ans de fer et de feu, de faim parfois, de peur souvent, blessé, porté disparu, il trompe la mort, mais est condamné au bagne. Échappera-t-il aux fers ?Ce singulier destin nous parvient grâce aux carnets que le maître d'école du village lui a demandé de remplir, comme on tient son journal. Des pages aussi émouvantes que palpitantes qui présentent des pans d'Histoire de la Révolution vécus par un petit paysan bourguignon.Jean-Marie Pinçon est journaliste et écrivain. De son premier métier, il garde le goût de l'investigation, de la recherche, de l'enquête et de l'écriture. Conjuguées à sa passion de l'Histoire, ces qualités lui permettent de mettre au jour les destins peu communs de femmes ou d'hommes souvent oubliés. Il est l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages et se définit avant tout comme un conteur. Lire la suite Fermer

Ce roman historique retrace les vies de plusieurs générations à travers l'apprentissage d'un jeune garçon, Jean, contemporain qui veut connaître le travail pendant les vacances. Pour cela, il participe à la rénovation du bâtiment, « La Grande », dans le pays d'Artois de ses arrière-grands-parents. Ce faisant, notre petit détective trouve un carnet de route de la guerre 14-18 et divers objets de son grand-père qui lui est inconnu. Il est alors plongé par moments dans un univers intemporel, parfois magique, comme un voyage dans le temps. Il y a en parallèle, les descriptions sur les métiers d'alors, l'histoire de la région dont certaines coutumes du Moyen-Âge, les aventures pendant les travaux, le parcours du militaire et de la famille dont l'histoire malheureuse de la soeur « Mademoiselle ». Ils sont liés par des rappels et des passages de valeurs avec des allers-retours présents, passés, futurs. Les faits historiques, le carnet sont véridiques et ont fait l'objet de recherches. Jean en sortira grandi, plus proche des siens mais aussi curieux de connaître la suite.

Ingénieur diplômé du Conservatoire national des arts et métiers, Patrick Cardon a travaillé au ministère de l'écologie comme expert des systèmes d'information. En parallèle de ses nombreux projets, publications et cours, il a notamment intégré un réseau francophone international des documentalistes des écoles d'architecture. La peinture et la sculpture font partie de ses hobbies, tout comme l'histoire et la nature. Lire la suite Fermer

Trente-six milliards d'euros - c'est le montant d'un héritage extraordinaire détenu par l'État français et toujours dû aux héritiers légitimes. Voici l'histoire de cet héritage mais aussi de celui qui en fut à l'origine - Jean Thiery, cordonnier et ancêtre de l'auteur - parti chercher fortune au XVIIe siècle dans le monde des marchands de Venise. Une vie d'aventures, un destin exceptionnel, un héritage qui ne l'est pas moins : voilà la trame de ce roman-récit écrit dans un style qui privilégie l'action. Une histoire de famille qui va chercher ses racines au temps de Louis XI et que l'auteur n'a pas voulu laisser sombrer dans l'oubli, pour tous les héritiers Thiery à venir.

À la veille de sa mort, Élisabeth d'Hautpoul, fille du dernier seigneur de Rennes-le-Château, révèle à son cousin et héritier, le marquis d'Hautpoul-Monthaut, un grand secret de famille. Elle lui remet alors les archives familiales, ainsi que les documents qui feront désormais de lui le gardien d'un terrible mystère... Un mystère qui prend ses racines dans les premières années du christianisme, qui se perd dans le dédale des familles nobles du Languedoc et dont les ramifications s'étendent jusqu'aux secrets politiques de Louis XIV... Ces révélations inattendues concernent les origines familiales et nobiliaires de la famille Hautpoul et remettent en cause les fondements du Christianisme...

Un mystère que, quelques décennies plus tard un prêtre nommé Béranger Saunière découvrira.

Le mystère de Rennes-le-Château est au centre de ce roman, que l'auteur aborde au travers du personnage, presque jamais évoqué dans cette affaire, d'Élisabeth d'Hautpoul, seconde fille de François d'Hautpoul-Blanchefort et de Marie de Nègre d'Ables, dernière Demoiselle de Rennes-le-Château et dernière détentrice de ce secret.
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Dans la plaine des Vosges, c'était un village tranquille jusqu'à la déclaration de la Grande Guerre. Angie, jeune et jolie femme de fort caractère, y est restée veuve par fidélité et par amour. Elle consacrera sa vie à ses enfants, ses petits-enfants, et aura même la joie de connaître ses arrières petits-enfants.
Au-delà de ces images simples, émouvantes, de la vie dans nos campagnes durant trois-quarts de siècle, c'est un hommage vibrant à ces «?laissées-pour-compte?», veuves de guerre dont les enfants pupilles de la Nation ont comme père la République reconnaissante. L'auteur fait de ces femmes restées aux champs de véritables héroïnes.

La petite île de Malamocco abrite le berceau de la ville la plus mystique au monde. La mystérieuse cité flottant sur l'eau, celle que l'on appelle la « Cité des Eaux », ou encore la « Sérénissime » : Venise.

Au fil de son histoire, elle a connu des hommes remarquables, de nombreux développements, et une situation privilégiée. Suivez le récit de son évolution, émaillée de noms tels que l'empereur Charlemagne, le calife Haroun Al Rachid, le pape Léon III ou encore un certain Angelo Partecipatio.

Entre aventure, secrets et rebondissements, découvrez Venise comme vous ne l'avez jamais lue.


Mulhousien d'origine, européen de coeur, citoyen du monde, Richard Schneider a acquis le réflexe de la remise en question et du doute tout au long de sa vie et de son existence professionnelle. Cette habitude lui a servi de fil conducteur tout au long de ce premier roman, basé sur des personnages historiques, et sur des faits qui ne le sont pas nécessairement moins.
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La Petite Lorraine nous entraîne dans une promenade au fil de l'Histoire, rappelant comment s'est constitué ce territoire, donnant l'origine de son nom, montrant les variations de ses limites en fonction des convoitises ou des « punitions » au mépris des peuples ou des Nations. Après avoir évoqué quelques grandes figures de l'histoire ou de la légende, Patricia Scharff, professeur de lettres-histoire au lycée professionnel de la forêt à Chantilly, a tenu à illustrer les événements du siècle dernier par des membres de sa famille. Son arrière-grand-père est un Mosellan parmi d'autres, à s'être engagé dans la légion étrangère en 1914 pour pouvoir combattre du côté français. Sa grand-mère a été considérée comme apatride entre les deux Guerres mondiales alors qu'elle était pupille de la Nation. Son grand-père a été incorporé de force dans la Wehrmacht comme 180 000 jeunes gens de l'Est de la France et sa mère ainsi que ses camarades de classe se sont comportées comme de petites héroïnes face au pouvoir nazi. Ainsi, en révélant un véritable attachement à sa région, La Petite Lorraine inscrit ses histoires dans l'Histoire.
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« Deux frimousses dansant au gré des vaguelettes dans les eaux claires d'un ruisseau, peut-être le même. Une tête brune, une tête blonde. Sandor et Julius, les frères de lait. Ils ont profité d'un instant d'inattention d'Anni, la grande soeur de Julius, pour s'enfuir dans la forêt. L'été qui n'en finit pas cette année leur a donné la même patine dorée. Ils ont mangé tant de mûres qu'ils en ont le visage barbouillé et cherchent maintenant à attraper des petits poissons à main nue. Quel âge peuvent-ils avoir ? Cinq ans ? Guère plus. Il se prend à sourire et s'en étonne. C'est pourtant cette image ensoleillée vieille d'un demi-siècle qui donne à Julius la force de se redresser et d'entreprendre, sa sacoche de médecin à la main, le long chemin qui le conduira peut-être à la liberté. »
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« Pour toutes ces raisons la trajectoire imprévisible de la comète Clément, échappant à toutes les forces d'attraction, ne cédant qu'à la seule tentation de la liberté, méritait de laisser une empreinte dans la nébuleuse de nos mémoires.
D'une certaine manière, ma curiosité l'a ramené à la vie et je crois qu'il aurait apprécié ce pied de nez au destin. Sans doute, si l'Histoire n'en avait décidé autrement, nos chemins se seraient-ils croisés. » Paris, 1990 Jeune ingénieur passionné d'histoire, Bernard part sur les traces de Clément, journaliste engagé dans la Guerre d'Espagne, qui a vécu la défaite de 1940 avant de combattre dans la Résistance. Cinquante ans séparent les deux hommes mais Bernard s'identifie bientôt au jeune homme qui a traversé les grands événements du vingtième siècle. Aurait-il suivi le même chemin ? Clément est-il encore vivant ?

La Tentation de la Liberté est un véritable manifeste, une tentative de réponse à la question : « Qu'aurais-je fait si j'avais vécu pendant l'Occupation ? ».
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Helena, adolescente de 16 ans, vit à Varsovie. En 1940, les Allemands envahissent la Pologne et elle assiste, impuissante, à l'occupation et à tout ce qu'elle apporte de misère et de désolation.
Le quotidien est rythmé par la recherche de nourriture et les bombardements. Elle perd tous les siens, puis se retrouve déportée dans un camp de travail.
C'est en France qu'elle créera sa seconde vie, et entamera le long processus de la reconstruction. Pour épargner à ses enfants les horreurs des mots de la guerre, elle fait silence sur son passé. Mais sa fille Michèle ressent un trop profond besoin de racines pour accepter qu'elle se taise.
    Micheline Belin est native de Bourgogne où elle a passé son enfance et son adolescence. Elle a commencé à gravir les sommets avec un groupe du Club Alpin Français et sa passion pour la montagne ne l'a plus quittée.
Elle réside depuis de longues années en Isère, là où les monts touchent le ciel et où les ballades invitent à se ressourcer au contact de la nature et de la beauté.
Écrivain, peintre et poète à ses heures, elle a écrit un 1er recueil de poèmes et peintures « Au coeur de soi ».
Au fil des ans elle expose ses peintures au cours de manifestations régionales (voir le site www.mibelin.fr).
Passionnée de voyage, elle a parcouru de nombreux pays, Maroc, Algérie, Pérou, Népal, Inde, Mexique, Turquie, Indonésie, Malaisie, Bolivie, New York et le Canada, Brésil, Sri Lanka, et surtout Tibet, qui l'a profondément marquée. Ses voyages sont bien souvent la source de ses inspirations picturales et les rencontres générées sont des moments de découverte et de partage où la différence de culture prend toute sa dimension spirituelle.
Ce premier roman est le reflet de la vie de connaissances proches et un hommage qui leur est rendu.
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1415, un vent mauvais souffle depuis l'Angleterre. Pour raffermir sa couronne vacillante, le jeune Henry V de Lancastre revendique le trône de France. La guerre reprend avec son cortège de malheurs, de destructions, de pillages, de viols, et de morts. Une large part du royaume se métamorphose en champ de ruines peuplé de veuves et d'orphelins. De ces derniers viendront la revanche et la victoire finale de la France des Valois.
Un roman qui ouvre les yeux sur un passé souvent trouble... Pourquoi la France en était-elle réduite à espérer la venue d'une envoyée du ciel ? Comment le peuple a-t-il pu croire que Dieu serait partie prenante dans ce qui n'était finalement qu'un conflit familial entre cousins ?

Nous n'avions pas pour projet initial de sauver la Patrie, pourtant en danger, juste de prendre un peu de bon temps, de prolonger encore cette période de la vie où l'on se croit invincible, éternel. Les événements se sont enchaînés nous faisant passer du statut de lycéen à celui de pseudo-militaires aux Chantiers de Jeunesse, après la déroute de Juin 40. Lorsque nous prîmes le maquis ensuite, comme une évidence, ce fut pour continuer l'histoire, échapper au boulot, STO ou autre, et rester à proximité de nos belles, un peu en cachette des familles. La rudesse de cette vie clandestine et le contact de vrais partisans, nous ont tannés le cuir, façonnés dans un rôle un peu trop grand pour nous, que nous dûmes jouer. La peur, l'inconscience, l'instinct ont fait de nous ce que nous sommes, après que nous eûmes traversé ces épisodes historiques tragiques, qui ont décimé sûrement les meilleurs d'entre nous.
De notre histoire, racontée par bribes, au fil des années moins sombres, il ne restera que quelques photos jaunies, dont la numérisation va quelque peu prolonger l'existence, pour les générations futures qui sont déjà accablées de tant d'images violentes. Les nôtres, naïves, prises en pose et en pied, montreront des personnages avec qui on trouvera forcément une vague ressemblance, des acteurs dignes et souriants devant un objectif qui aura immortalisé pour un temps, le passage fugace d'une jeunesse ordinaire, inconsciente et heureuse, au milieu d'un cataclysme de haine.
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Pour obtenir le pouvoir de l'invisibilité, Philippe II, roi de France, accepte de sacrifier la femme qu'il aime en secret : Adèle de Grimbourg.
Au coeur du mystère entourant la répudiation de la reine le lendemain des noces, le chevalier d'Armaline, jadis employé par la soeur d'Adèle pour l'éloigner des projets pervers du roi, échoue dans sa mission et jure de la venger.

Postée tout en haut du « Cerro », à l'Est de la baie de Montevideo, la vigie annonça l'arrivée d'un navire de guerre battant pavillon espagnol dont l'armateur n'était autre que Don Francisco Nuñez, notable commerçant de Buenos Aires.
Surprenante, cette arrivée d'un bâtiment arborant les couleurs de l'Espagne.
En effet, cela faisait plusieurs mois que l'armada de la flotte britannique assurait le blocus total des eaux de l'estuaire du Rio de la Plata. Par voie de conséquence, la colonie espagnole se retrouvait totalement isolée de la métropole. Seules quelques chaloupes qui cabotaient de nuit ou par temps de brume, en provenance de la ville de Colonia, située à plus de cent kilomètres à l'Est de Montevideo, permettaient de maintenir des communications maritimes avec la ville de Buenos Aires, capitale du vice-royaume, sise sur la rive sud de l'estuaire.
Le passage de ce navire à travers les mailles du filet anglais était donc un évènement extraordinaire... Ce qui mit toute la ville en émoi.
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Louis Bertin, né à la fin du XVIIIe siècle, rêve de s'instruire malgré ses origines modestes. Il est convaincu que « le savoir » le sortira de sa pauvreté. Il vit dans un village de l'Ardèche et prête main-forte à son père, artisan-ébéniste. Seulement, l'Histoire de la France va modifier ses projets. Il se trouve engagé dans l'armée napoléonienne. Il sera caporal sur le champ de bataille de Marengo. À partir de cet instant, sa vie sera bouleversée... Liliane Collange-Detour, née en 1954, est d'origine creusoise. Depuis l'enfance, elle s'imprègne de l'histoire des personnages au fil de ses lectures, et s'évade avec eux dans des contrées lointaines... Après trente-huit années au service d'une collectivité, elle accorde une importance particulière au contact avec le public, et aide les personnes dans leurs démarches administratives. L'écriture est selon elle un lien essentiel, qui permet de s'évader au-delà de son quotidien. Les récits de son père, féru d'Histoire française, l'ont conduite à la rêverie et ont favorisé son imagination.
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Un jeune médecin autrichien de vingt-neuf ans arrive à Paris le lundi 19 octobre 1885. Il s'agit de Sigmund Freud. Il vient effectuer un stage de quatre mois à l'hôpital de la Salpêtrière dans le service du célèbre neurologue, le professeur Jean-Martin Charcot. Très vite, Freud est pris dans le tourbillon de Paris, celui de la Belle Époque. Il se montre fasciné par cette ville ou il peut tour à tour admirer Sarah Bernhardt, rencontrer Zola, applaudir Maupassant, découvrir Toulouse-Lautrec et diner avec les artistes du Chat noir. Un univers de mondanités éblouissantes, mais qui recèle aussi sa part d'ombre avec de mystérieux crimes commis au coeur de la capitale. Ce séjour parisien constitue un véritable parcours initiatique pour celui qui deviendra, quelques années plus tard, le fondateur de la psychanalyse. Il représente un moment capital dans le cheminement scientifique de cette grande figure intellectuelle. Josepha Laroche est professeur au Département de Science Politique de l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne, ou elle est membre du Centre européen de sociologie et de science politique (CNRS). Elle a publié de nombreux ouvrages en Relations internationales, parmi lesquels Les Marxistes dans la théorie des conflits internationaux (2018), De l'Interétatique au transnational (2018), Les Réalistes dans la théorie des conflits internationaux (2016), La Brutalisation du monde, 2e éd. (2016), La Deuxième Guerre mondiale au cinéma. Le jeu trouble des identités (2017) La Grande Guerre au cinéma. Un pacifisme sans illusions (2014), Les Prix Nobel. Sociologie d'une élite transnationale (2012).
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« La ville avait peur. Où était le temps de l'insouciance où on allait patiner en famille, où dans un certain milieu on était préoccupé par la gastronomie, par les vins français, et où tout respirait l'opulence ? »En 1917, Dimitri Fedorovich Jodanov, un jeune ingénieur, vit les derniers jours de l'absolutisme tsariste. Sa vie en est alors bouleversée et la révolution bolchévique le contraint à l'exil.Après avoir touché la grande Russie, ce cataclysme majeur s'apprête à s'abattre sur le monde...Anne de Roll Montpellier est née en 1946. Docteur en pharmacie et passionnée d'art et d'histoire, elle écrit des romans historiques ciblés sur l'histoire d'Al Andalus, sur la conquête des Amériques et sur l'histoire du Maroc.Aujourd'hui, elle nous fait découvrir la période tragique et tumultueuse de la révolution Russe avec Saint-Pétersbourg 1917. Lire la suite Fermer

Brazzaville, 1997. Une guerre civile éclate entre les partisans du président élu Pascal Lissouba et ceux de l'ancien dirigeant Denis Sassou N'Guesso. L'intensité des combats entraîne l'évacuation de tous les ressortissants étrangers et l'exil de milliers de Congolais. C'est dans ce contexte que Rémi, médecin des armées, accompagne une poignée de militaires français venus sécuriser l'ambassade de France. Un témoignage sans concession au coeur d'une capitale à feu et à sang.

Catherine de Meurdrac est âgée de dix-sept ans lorsqu'elle rencontre Jean de la Guette, dont elle tombe amoureuse. Il l'épouse secrètement et l'enlève, bravant l'interdiction de son père. Ils parviennent à vivre heureux, malgré les fréquentes absences de Jean, officier dans les armées du roi Louis XIII. Lorsque la Fronde éclate, Catherine, restée seule à Sucy où elle demeure, met tout en oeuvre pour défendre sa maisonnée et protéger la petite cité des pillards. Réfugiée ensuite au château de Grosbois, avec un aplomb incroyable, elle fait dévier le cours de la bataille dans la plaine, au profit des troupes royales.Son exploit parvient aux oreilles de la reine Anne d'Autriche qui lui confie une mission périlleuse : traverser la moitié de la France en pleine guerre civile pour tenter de ramener à la couronne les frondeurs de Bordeaux, parmi lesquels son mari, ami du comte de Marsin et partisan du prince de Condé.Femme libre dans ses décisions de vie, fidèle à son amour, indépendante dans ses choix politiques, courageuse et habile dans les combats, attachée à son rôle de mère et à ses amitiés, fière d'elle-même, Catherine de la Guette est une femme étonnante dans un siècle où peu d'entre elles bravaient un destin le plus souvent écrit à l'avance.Cet ouvrage est inspiré de ses mémoires, écrits à la fin du XVIIe siècle et auxquels les auteures sont restées fidèles.Marie-Noël Tillet Savornin est enseignante titulaire d'une maîtrise d'Histoire, docteure en histoire et civilisations et auteures d'une thèse sur les lettres de cachet pour affaires de famille à Paris au XVIIIe siècle.Après une maîtrise de sciences économiques et une licence d'Histoire, Bénédicte Tillet Tardi devient rédactrice à la revue Avenir, attachée de presse, libraire et enseignante en marketing et communication.Les deux historiennes publient aujourd'hui leur premier roman historique. Lire la suite Fermer

Après l'Orage qui tue l'Hiver, le temps s'est écoulé et Pierre Gandit, dans ce nouveau roman historique qui débute en 1866, une année charnière du XIXe siècle, fait revivre certains de ses personnages, plongés dans une aventure tout aussi imprévue qu'exotique : l'intervention au Mexique décidée par Napoléon III, « la grande pensée du règne ».L'auteur nous fait découvrir un pan de notre Histoire de France, souvent méconnu pour la plupart d'entre nous. Prédominent d'abord la réalité des tourments, des sentiments amoureux et des affrontements d'hommes et de femmes, issus de la haute société mexicaine ou du petit peuple mexicain, ou encore appartenant aux Français du corps expéditionnaire et aux Autrichiens impériaux. La confrontation entre tous devient parfois explosive, souvent là où on ne l'attend pas. Des destinées vont être radicalement modifiées dans le contexte invraisemblable d'une guerre civile très complexe qui sévit depuis des années au Mexique, souvent portée au paroxysme par l'ingérence française.Mais la France Impériale, les montagnes de l'Oisans, les plaines du Bas-Dauphiné et la politique du Second Empire sont toujours là, pesant de tous leurs poids, même à 9 000 kilomètres de distance ! Car le passé lointain a généré parfois des évènements oubliés que seules des périodes de crise font ressortir... L'Oisans et le Mexique deviennent alors incroyablement liés, pour le meilleur et pour le pire.Pierre Gandit, Maire de la Garde-en-Oisans depuis vingt-six ans et spécialiste du XIXe siècle, publie son deuxième roman, L'improbable rencontre, après l'Orage qui tue l'Hiver, qui a obtenu le prix Ex Libris du Dauphiné en 2011. Il est aussi l'auteur de nombreuses revues historiques ainsi que de pièces de théâtre ayant pour thème l'histoire dauphinoise et française. Lire la suite Fermer