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Fage
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Présence de la lumière inaccessible : les vitraux de Conques et la peinture de Soulages
Christian Heck
- Éditions Fage
- 17 Novembre 2023
- 9782849757574
Les vitraux installés à Conques en 1994 sont centraux dans l'oeuvre de Pierre Soulages (1919-2022). De la même manière que dans ses peintures, en rencontrant le pigment dit « noir » la lumière fait émerger les couleurs, dans l'abbatiale, un verre « blanc » est riche des couleurs émises par la lumière naturelle qui le traverse. Pour la première fois une analyse du rythme des différentes verrières, dans la description des registres qui les composent, permet de mieux approcher ces compositions d'une grande allégresse. Le livre fait ainsi apparaître qu'elles partagent avec les peintures la force de ces zones juxtaposées, d'un dessin puissant, d'une grande qualité émotionnelle, au service d'une intériorité et d'une lumière mystérieuse, faisant de ces vitraux des « polyptyques transfigurés ».
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Charlotte Perriand (Paris, 1903-1999) est une architecte et designer française.
« Créer un équipement aussi subtil, complexe et sensible que le corps de l'homme, réaliser non seulement les données matérielles, mais créer les conditions de l'équilibre humain et de la libération de l'esprit. Voilà notre tâche. » Charlotte Perriand, Des arts appliqués à la vie quotidienne, catalogue de la Triennale de Milan, 1951
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Robert Mallet-Stevens
Robert Mallet-stevens
- Éditions Fage
- Paroles D'artiste
- 14 Juin 2018
- 9782849755129
Robert Mallet-Stevens (Paris, 1886-1945), est un archi- tecte et designer français. Mallet-Stevens est en 1929 l'un des fondateurs et le premier président de l'Union des Artistes modernes (UAM), réunissant des artistes décora- teurs et architectes avant-gardistes.
Il fut également un célèbre décorateur de cinéma dans les années 1920 pour Marcel L'Herbier ou Jean Renoir, et professeur à l'École des beaux-arts de Lille.
« Être moderne, c'est être de son temps. » Événement.
- U.A.M. Une aventure moderne 1929-1958 Paris, Centre Pompidou, 30 mai au 27 août 2018 Quelques lieux d'architecture.
- Villa Noailles à Hyères. Commande du vicomte Charles de Noailles, la villa abrite aujourd'hui un centre d'art et d'architecture.
- Villa Collinet, 8 rue Denfert-Rochereau, Boulogne-Billancourt.
- Villa des sculpteurs Jean et Joël Martel, 10 rue Mallet- Stevens, Paris 16 e .
- Immeuble de rapport, 7 rue Méchain, Paris 14 e , accueillant notamment l'appartement-atelier de Tamara de Lempicka.
- Villa Cavrois à Croix (Nord), propriété du centre des monuments nationaux.
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L'artiste en représentation ; images des artistes dans l'art du XIX siècle
Collectif
- Éditions Fage
- Catalogue D'exposition
- 24 Janvier 2013
- 9782849752807
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Ce livre richement illustré raconte l'histoire de la lampe Jieldé et de son créateur. En 1953, à Lyon, l'ingénieur mécanicien Jean-Louis Domecq bouleverse l'univers de l'éclairage industriel en inventant une lampe articulée, idéalement adaptée au travail en atelier. La Jieldé - d'après les initiales de son créateur - concentre tous les atouts qui manquaient jusqu'alors au luminaire présent sur les machines-outils. Posée sur un socle tournant à 360 degrés et complètement articulée, l'innovation principale de cette lampe hors du commun réside dans son fonctionnement électrique : les fils ont disparu, remplacés par des contacts ondulés en chrysocal qui font circuler le courant au sein des articulations !
Belle à l'extérieur avec sa silhouette en zigzag, révolutionnaire à l'intérieur, la Jieldé a traversé le temps, glissant doucement des ateliers de mécanique au salon des particuliers dans lequel elle s'invite dès le début des années 80. Décédé en 1983, Jean-Louis Domecq connaîtra à peine cette évolution. C'est sa fille, Marie- Françoise Domecq qui, prenant sa suite, va poursuivre le développement de la lampe dans l'univers de la décoration et l'accompagner vers son statut d'icône, avant de laisser les rênes de la société Jieldé, en 2001, à Philippe Bélier, son actuel P-DG.
Devenue un objet culte du mobilier industriel, la Jieldé bénéficie de la même aura que ses contemporaines, les lampes Gras, Luxo-L1 ou encore Tizio. Mais contrairement à ses illustres comparses, elle ne résulte pas de la réflexion d'un designer, mais du coup de crayon d'un chef d'entreprise motivé par la seule obsession de répondre à son propre besoin en éclairage ainsi qu'à celui de sa clientèle. Par l'histoire de sa création et son évolution, la Jieldé occupe ainsi une place à part dans l'univers du luminaire contemporain.
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Un décor pour la république ; le chateau de Vizille dans les années 1920 et 1930
A Chevalier
- Éditions Fage
- Varia
- 29 Septembre 2011
- 9782849752470
Aujourd'hui musée de la Révolution française, le château de Vizille est un édifice qui a beaucoup évolué en fonction des objectifs de ceux qui l'ont possédé et qui en ont eu la responsabilité : château fort puis demeure de prestige, manufacture puis maison bourgeoise, hôtel de luxe puis résidence présidentielle...
Une succession sans fin de chantiers et deux incendies ont modifié sans discontinuer ce lieu. Les investigations menées progressivement depuis près de vingt ans sur le décor intérieur ont donné lieu à de nombreuses découvertes qu'il était temps de partager. Dans une lettre à Jacques-Emile Ruhlmann à propos des aménagements du château de Vizille en résidence présidentielle, l'administrateur du Mobilier national, Guillaume Janneau, se réjouissait en 1926 d'une " première victoire de l'art moderne sur les vieilles conventions Napoléon III ".
Durant les deux années qui suivirent l'Exposition des arts décoratifs et industriels modernes de 1925 à Paris, l'Etat qui avait fait l'acquisition du Domaine de Vizille en 1924, engagea un important chantier de modernisation de la vénérable demeure des ducs de Lesdiguières puis de la famille Perier pour en faire une résidence susceptible d'accueillir le président de la République et ses invités. Cette publication est l'occasion de présenter les deux grands aménagements Art déco et les envois d'oeuvres et objets d'art qui ont complété ce chantier.
Elle est aussi l'occasion de publier le journal intime inédit de l'épouse du président Albert Lebrun des mois d'août 1936 et 1938 passés à Vizille entre le gouvernement du Front populaire et les accords de Munich.
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Du génie de la fabrique au génie 2.0 ; excellence, création et innovation des industries textiles de Lyon et sa région du XVIIIe siècle à nos jours
Maximilien Durand, Claire Berthommier
- Éditions Fage
- 3 Octobre 2016
- 9782849754375
Du Génie de la Fabrique au Génie 2.0 est un hommage à la ville de Lyon et à ceux de ses enfants qui ont su, par leur incroyable exigence et leur inventivité, élever le tissage des étoffes façonnées non plus seulement au rang d'un artisanat remarquable, mais à celui d'un art véritable. Cette conquête, qui a duré près de trois siècles, a déterminé l'histoire de la ville et préparé son avenir.
Le musée des Tissus, fondé pour témoigner de cette histoire, pour en perpétuer le souvenir et le renouveler, conserve les plus grands chefs-d'oeuvre produits par la Fabrique.
En 2015, le musée des Tissus inaugurait une grande exposition consacrée à la production de soieries à Lyon entre le XVII' et le début du XX, siècle, intitulée Le Génie de la Fabrique. Le parcours, à travers les commandes royales ou impériales, à travers les chefs-d' oeuvre techniques, artistiques ou les pièces historiques, permettait de comprendre que toute la ville de Lyon, et sa région, avaient vécu au rythme des mouvements du métier à tisser, afin de satisfaire les commanditaires les plus exigeants. Une part imponante de l'exposition était consacrée aux pièces présentées et primées aux expositions universelles depuis 1851, rappelant que ces événements constituaient un enjeu majeur de l'émulation et de l'excellence lyonnaise.
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Auguste Morisot (1857-1951) du crayon au vitrail
Collectif
- Éditions Fage
- Varia
- 22 Août 2012
- 9782849752647
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Costumer le pouvoir
Martine Kahane, Noëlle Giret
- Éditions Fage
- Catalogue D'exposition
- 31 Janvier 2013
- 9782849752852
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Daum ; collection du musée des Beaux-Arts de Nancy
Collectif
- Éditions Fage
- 16 Décembre 2010
- 9782849751930
La collection Daum du musée des beaux-arts de Nancy est considérée tant par la communauté scientifique que par le public comme la collection de référence de la verrerie nancéienne.
La continuité de l'entreprise et la diversité de sa production résultent de la multitude des sources d'inspiration (Art Nouveau, Art déco,...), de la richesse des techniques développées (gravure à l'acide et à la roue, martelage, rehauts d'or, d'émail ou de grisaille, applications, pâte de verre,...) et de l'esprit de collaboration que Daum a toujours entretenu, laissant aux artistes comme Jacques Gruber, Amalric Walter, Henri Bergé, Ernest Bussière, mais aussi, depuis les années 1960, Dali, César, François Morellet, Hilton McConnico, Philippe Starck,...
Une totale liberté de création. Cet ouvrage richement illustré et accompagné d'un DVD présentant la totalité des pièces de la collection vous invite à découvrir l'histoire de la manufacture depuis ses origines jusqu'aux créations contemporaines, rendant ainsi compte de l'histoire du goût et de l'évolution des styles depuis plus d'un siècle.
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à l'étoile des Alpes ; bijoux de Saint Vincent
Nadine Gomez-Passamar, Roger Zérubia
- Éditions Fage
- Varia
- 25 Juin 2015
- 9782849753576
Le pays dignois est connu depuis le XVIIe siècle pour receler dans son sous-sol d'innombrables pétrifications, décrites par l'éminent philosophe et mathématicien Pierre Gassendi dès 1630.
Parmi la multitude des formes répertoriées dans les couches géologiques, une forme étoilée a attiré l'attention d'Antoine Colomb. Né à Digne en 1826, ce descendant d'un bijoutier dont il apprendra très tôt le métier, se formera à Paris dans l'atelier de Froment-Meurisse.
Passionné de nature, extrêmement créatif, Antoine Colomb va adapter le fossile en forme d'étoile et créer une ligne d'orfèvrerie spécifique.
Parmi les bijoux des Régions de France, le bijou des Alpes, ou bijou de Saint Vincent, est tout à fait spécifique à Digne.
L'exposition reprendra les grands évènements de la vie familiale au XIXe siècle qui sont associés à la réception d'un bijou : la naissance et le baptême, la première communion, les fiançailles et le mariage, les bijoux de deuil.
Mais le bijou de Saint Vincent est également lié à des évènements universels comme le passage de la comète de Halley, ou plus locaux comme la migration des dignois au Mexique ; dans ce cas, le bijou devient le véhicule de la terre natale dont on emporte un fragment.