Et revoilà le malicieux et souriant Toine Culot dans ces aventures pittoresques qui sentent bon le terroir wallon avec ses expressions savoureuses aux accents traînants, avec cette vie où le temps s'écoule au fil des saisons, à l'époque où le chant du coq rythmait encore le travail de nos villages.
Et revoilà le malicieux et souriant Toine Culot dans ces aventures pittoresques qui sentent bon le terroir wallon avec ses expressions savoureuses aux accents traînants, avec cette vie où le temps s'écoule au fil des saisons, à l'époque où le chant du coq rythmait encore le travail de nos villages.
Ce livre est une occasion inédite d'approfondir les talents multiples d'un homme d'Etat exceptionnel qui a assumé les portefeuilles des Affaires étrangères pendant de très longues années, de la Justice et des Affaires économiques, dans une Belgique profondément secouée par les prémices de la première guerre mondiale et ses conséquences, mais aussi par la reconstruction du pays et de l'esprit public. Ce libéral de gauche fut aussi journaliste, chroniqueur, critique, conférencier, préfacier, essayiste, biographe, historien, orateur. Il fallait lui en donner un crédit plus complet. Authentique en politique, il fut partout, de bout en bout, un homme de culture tout aussi vrai et sensible sur les sujets qu'il aborda avec un égal bonheur : cléricalisme, libéralisme de progrès et de solidarité, libre examen et liberté de conscience, démocratie, droits de l'homme, rôle de la jeunesse, patrimoine intellectuel, union européenne.
Et revoilà le malicieux et souriant Toine Culot dans ces aventures pittoresques qui sentent bon le terroir wallon avec ses expressions savoureuses aux accents traînants, avec cette vie où le temps s'écoule au fil des saisons, à l'époque où le chant du coq rythmait encore le travail de nos villages.
On l'a surnommé le « Pagnol wallon ».
La faconde et la gouaille des personnages créés par Arthur Masson n'ont rien à envier à ceux qui animent les intriguent du grand écrivain provençal. Leurs aventures souvent pittoresques sentent bon le terroir avec ses expressions savoureuses aux accents traînants , avec cette vie où le temps s'écoule au fil des saisons, à l'époque où le chant du coq rythmait encore le travail de nos villages.