L'auteur, co-fondateur de Wanadoo et leader de la French Tech, embarque le lecteur dans l'épopée de l'innovation numérique.
Dans le livre Réussir ensemble vous aurez les outils pour développer vos relations actuelles et en cultiver de nouvelles qui vous permettront de réussir. Avec des témoignages, des pointes d'humour et de nombreux exemples tirés de la vie réelle, John Maxwell vous montrera comment appliquer cette formule à votre vie: LES COMPÉTENCES QUE VOUS UTILISEZ+LES RELATIONS QUE VOUS CHOISISSEZ=LE SUCCÈS QUE VOUS OBTIENDREZ
Affaires criminelles : posface de Jean-Marie VILLEMIN.
Dans Les 17 lois infaillibles du travail en équipe, l'expert en leadership et auteur à succès au New-York Times, John C. Maxwell, partage les principes essentiels pour bâtir une équipe performante pour votre entreprise, votre famille, votre église ou votre association.
Cet ouvrage se propose d'élargir la vision du lecteur pour comprendre que l'économie, le culturel, l'écologique, le politique et le social forment un système complexe à la logique contraignante, mais dont le destin n'est pas écrit.
Le capitalisme a une logique. Mais a-t-il un esprit ? Entre les conditionnements économiques et sociaux liés au système et les aspirations personnelles des acteurs, les confrontations sont inévitables. Cette bataille se mène sur tous les champs de la vie sociale : le prix du blé, la valeur de l'art, le prix de la santé, les états d'âme d'un dirigeant d'entreprise ou d'un homme politique, l'éructation d'un ténor des médias, les cryptomonnaies, le coronavirus ou la privatisation de l'eau, la fiscalité des jeux d'argent, etc.
Dans chaque situation particulière évoquée, sont révélés les dilemmes qui interpellent les acteurs, les compromis qui s'offrent à leurs yeux et les valeurs qui donnent sens à leur discernement. Car l'enjeu du discernement est bien d'élargir notre vision pour comprendre que l'économie, le culturel, l'écologique, le politique et le social forment un système complexe à la logique contraignante, mais dont le destin n'est pas écrit.
SI VOUS VOULEZ AVOIR DU SUCCÈS ET ATTEINDRE VOTRE PLEIN POTENTIEL DE LEADER, VOUS DEVEZ PRENDRE L'HABITUDE DE POSER DES QUESTIONS.
Si vous souhaitez faire des découvertes, sortir du statu quo et progresser dans votre leadership, vous devez poser les bonnes questions.
Dr Maxwell répond aux problèmes les plus difficiles que des leaders lui ont présentés:
- Comment puis-je découvrir mon but unique en tant que leader?
- Quelle est la meilleure habitude journalière qu'un leader puisse développer?
- Comment motiver une personne qui ne l'est pas?
- Comment travailleriez-vous avec un leader qui n'a pas de vision?
Ce livre répond de manière approfondie et perspicace à des questions que les leaders qui ont le sentiment d'avoir atteint un plateau dans le développement de leur potentiel se posent. Chaque dirigeant est appelé à grandir, et les conseils dans ces pages aideront les lecteurs à évaluer leur position actuelle pour leur permettre de structurer un plan efficace pour atteindre leurs objectifs.
Le message majeur de ce livre : il est nécessaire de se préoccuper de la confiance qui est à construire dans toute situation de changement, par des processus à la fois précis, structurés mais finalement relativement simples et logiques. Ces processus ont été récapitulés dans la méthode PAT-Miroir. Sa description ici en détail dans ses fondements, ses étapes et ses multiples applications, en permet une mise en pratique opérationnelle.Ce livre est d´abord destiné aux managers, responsables RH et chefs de projet complexe qui souhaitent exercer leur autorité de manière différente, en s´écartant du management par le stress au profit d´une vraie collaboration, en tirant parti de l´expérience et de la créativité des personnes, afin d´inventer ensemble un avenir porteur de sens.Il s´adresse également à tous ceux qui cherchent à bien vivre leurs relations humaines au travail, dans leur association comme à la maison : parents, professeurs, éducateurs, assistants sociaux, citoyens...
L'auteure invite à une approche originale du management, résolument bienveillante, attentive à la singularité de chacun, soucieuse conjointement du développement personnel et professionnel des acteurs, de la qualité du service et de la bonne santé économique de l'organisation.
Très axé sur la mise en place de fonctionnements participatifs, ce nouveau regard sur les collaborateurs libère leur potentiel d'innovation, d'autonomie et de créativité et encourage des comportements de coopération favorables à l'efficience de l'organisation.
Les concepts, les méthodes de travail et les outils de management développés dans l'ouvrage ont été mis à l'épreuve sur des terrains très divers. Ils structurent l'organisation, valorise le rôle de l'encadrement et la participation effective de chaque personne. Ils contribuent à l'efficience qualitative et économique des organisations.
L'économie ne va pas très fort, ces temps-ci, la crise ne cesse de s'approfondir et la pauvreté de gagner du terrain. Et pourtant, certains secteurs de la finance continuent d'enregistrer des profits, certains acteurs de cette forme d'économie dérégulée continuent de s'enrichir en dehors de toute référence à l'économie réelle, avec sa production, son lien au travail et à l'emploi. A travers un dialogue philosophique qui ne se prive pas d'humour, Paul Clavier propose cette réflexion impertinente sur l'argent et la finance, en se demandant si une alternative est possible à ce monde où l'homme n'a plus guère de place. Déjà au Moyen Age, un certain Thomas d'Aquin se posait sérieusement la question de la légitimité du prêt à intérêt.
Après avoir examiné la vie de centaines de leaders de la Bible, mais aussi historiques et contemporains, Robert Clinton a identifié 6 étapes dans leur processus de développement.
Être catholique et libéral ? Vous n'y pensez pas ! Être prêtre et libéral, encore moins ! Et pourtant, c'est bien un prêtre catholique qui nous invite à une réelle conversion au libéralisme dans une perspective chrétienne. Les catholiques, en particulier en France, sont souvent hostiles au libéralisme. Or Robert Sirico nous montre avec force, en mettant en avant des arguments économiques mais également et surtout des raisons morales, que le vrai combat contre la pauvreté et pour la justice ne peut advenir sans la liberté d'entreprendre. Ce livre réfute l'idéologie marxiste de l'égalité prenant le pas sur la liberté : celle-ci conduit inéluctablement à l'appauvrissement des sociétés et à l'iniquité. De même, il critique vertement la folie financière et spéculatrice que le vrai capitalisme combat. Et si la morale de la propriété et de la liberté d'entreprendre, que les papes ne cessent de défendre, était la solution à la pauvreté, comme à l'éradication des voyous de l'économie qui tuent la justice et la liberté ?
En spécialiste de l'économie, mais avec la liberté de ton du Jésuite, Etienne Perrot s'attache à définir le rôle de l'éthique dans le domaine financier. L'éthique englobe le respect de ce qui est légal ainsi que la morale propre à la déontologie professionnelle, mais ne s'y réduit pas. Outre le droit et la déontologie, l'éthique comprend également les contraintes notifiées par les sciences ainsi que la conscience personnelle où la motivation professionnelle trouve son assise. L'éthique se révèle ainsi partout où le « jeu » dans les rouages financiers appelle discernement et jugement propre.
"La manière d'écrire du grand saint Bernard, vive, brillante, coulante, nuancée par l'éclat des sentences, répand tant de suavité et de douceur qu'elle attire, charme et élève l'esprit du lecteur. Elle pousse l'intelligence à poursuivre non les biens caducs et passagers, mais ceux qui sont vrais et qui demeurent. C'est pour cela que ses écrits furent toujours considérés avec grand respect. Et plusieurs de ces mêmes pages, au parfum céleste, d'une piété embrasée, ont conduit l'église à s'en servir dans la sainte liturgie. Elles semblent emplies du souffle de l'Esprit-Saint, et leur lumière est si resplendissante que le cours des siècles n'a jamais pu l'éteindre, car elle jaillit de l'âme d'un écrivain assoiffé de vérité et d'amour. " Pie XII, 24 mai 1953.
À travers sa doctrine sociale, l'Église catholique a, depuis plus d'un siècle, le souci de délivrer à temps et à contretemps une parole originale et libre sur les questions économiques et sociales. À chaque échéance électorale, ses prises de position sont particulièrement attendues, non pour influer sur le choix des votes mais pour susciter un discernement responsable.
Dans ce but, Mgr d'Ornellas s'est associé à des acteurs de terrain, dont l'économiste Yves Morvan, universitaire et ancien président du Conseil économique et social de Bretagne, pour proposer des réflexions sur notre situation actuelle. Marquée par des mutations inédites (que certains appellent crise), elle exige un véritable débat. Car, plus que jamais, l'économie n'attend pas. Elle requiert des femmes et des hommes qui décident sans tarder, en raison même du contexte social, technique et mondial. Elle voudrait être juste au sein de concurrences intrépides et sans états d'âme, que ce même contexte suscite. Elle exige plus que jamais un discernement avisé, fruit d'une méditation partagée, pour offrir des chemins où labeur, justice et bonheur se conjuguent pour tous.
Avec la persistance du chaos syrien et les très fortes tensions apparues autour de ce pays début septembre 2013, où le risque de conflit à grande échelle a été évité de peu, il est apparu opportun de réfléchir à ce qui avait mis un terme à la spirale infernale dans laquelle nous étions alors engagés. Sans nul doute, l'appel au jeûne et à la prière du Pape François le 7 septembre aura eu un impact. Parallèlement, l'intervention de la Russie aura certainement beaucoup joué également.
Puisque la Russie avait visiblement contrecarré les plans de l'Occident et en particulier des États-Unis, l'AED (Aide à Église en Détresse) a voulu se poser la question de l'éventuelle résurgence d'une forme de guerre froide. La Russie et les États-Unis étaient-ils à nouveau adversaires ? Avaient-ils jamais cessé de l'être ?
Quitte à appliquer la grille de la guerre froide - un affrontement sans conflit armé, direct entre les protagonistes - l'AED a étendu ce concept à l'antagonisme entre chiites et sunnites (Iran - Arabie Saoudite) et également à la tension croissante qui existe entre les États-Unis et la Chine.
Un conte pour enfants avec illustrations de Lydie Baron.
Faut-il stopper la croissance ? Les tenants du ralentissement de l'activité, ou même d'une « décroissance », ne manquent pas aujourd'hui. Faut-il vraiment sacrifier la croissance pour survivre ? Pour Jacques Lecaillon, la solidarité entre les générations comme la solidarité entre les peuples constituent des défis que nous ne pourrons relever qu'au prix d'une analyse complète dont il livre, ici, les prémisses..
Jacques LECAILLON, spécialiste d'économie, est Professeur émérite se l'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne. Il est l'auteur de rapports destinés à des organismes internationaux (BIT, OCDE) et de nombreux ouvrages, dont, en collaboration avec Jean-Pierre Audoyer, Le Dilemme du décideur. Éthique ou efficacité ? (Salvator, 2006).
- Aussi surprenant que cela puisse paraître, les relations entre la langue et l'économie n'ont jamais été examinées à fond, dans toute leur ampleur, toutes leurs dimensions, tous leurs aspects théoriques et pratiques, avec tous les enjeux capitaux que sous-tend la bataille des langues à l'heure de la mondialisation.
- S'il est vrai que l'anglais est largement utilisé dans le monde affaires, il est faux de prétendre qu'il est le seul à pouvoir bien exprimer les phénomènes et les réalités économiques. Pourtant, cette idée reçue, ce crédo contestable court le monde et nul ne s'était jusqu'à présent avisé de la contester avec brio et force arguments contondants.
- Alfred Gilder s'est attelé à cette redoutable tâche avec la foi et l'endurance d'un moine bénédictin. Cet ancien haut fonctionnaire de Bercy l'a entreprise sous le double regard expert de l'économiste et du linguiste, et cela non sans humour.
- L'auteur conduit sa démonstration spectrale avec une éloquence convaincante. Il nous persuade que l'économie peut et doit se dire en français. À cet effet, notre langue en partage possède toutes les ressources et toutes les capacités créatives.
- Tel dans la tempête un marin aguerri, l'auteur tient bon le cap et mène avec sûreté sa barre parmi les récifs nombreux que jette sur la route du français la langue unique. Pour mener à bon port la langue française, il vante à juste titre les vertus et les bienfaits du travail des commissions ministérielles de terminologie. Leur labeur immense a permis de donner à notre langue des milliers de mots nouveaux utiles dans un monde où apparaissent sans cesse de nouveaux objets, procédés et techniques, qu'il faut nommer lorsque le vocabulaire existant n'y suffit pas.
- Au total, l'hymne d'Alfred Gilder au français, langue de l'économie et des affaires' mérite d'être écouté religieusement.
Un livre qui fait le point entre les relations du droit et la philosophie le religieux
L'explication des mécanismes financiers qui régissent la dette et le monde financier
Le cabinet Resurgo fonctionne comme un collectif où chacun peut apporter son talent, son aspiration mais aussi sa propre expérience pour concourir à un projet : relever lautre ! (lun des sens du mot Resurgo). Former en racontant des histoires vraies sinscrit dans ce projet.
Nous avons pu expérimenter au sein de Resurgo le fait que « former en racontant » permettait à nos stagiaires ou élèves de sapproprier un concept, une idée de la façon denvisager le vivre ensemble. Fiable et vivante lhistoire vraie a valeur dexemple. Elle est souvent le point de départ à partir duquel un échange et une mise en action sera possible.
Retranscription des boulversements du monde du travail.