« Depuis longtemps, je me nourrissais de la pure farine contenue dans L'Imitation... J'en savais par coeur tous les chapitres, ce petit livre ne me quittait jamais ; en été, je le portais dans ma poche, en hiver dans mon manchon » (sainte Thérèse de Lisieux).
Cet ouvrage est l'un des plus grands, ou même le plus grand des livres spirituels après la sainte Écriture. Remplies de sagesse, d'expérience, de pénétration et de charité, ses maximes et courtes considérations sont des encouragements et des avis pratiques pour la conduite de la vie et l'ascension vers Dieu.
L'Encyclopédie de la foi est une collection composée par des religieux enseignants. Elle rassemble en six volumes l'essentiel de la doctrine chrétienne. Instrument de référence par la richesse de son contenu comme par sa sûreté doctrinale, elle trouve sa place dans la bibliothèque de tout catholique, qui y puisera les lumières nécessaires pour « répondre à ceux qui demandent raison de l'espérance qui est en nous. » (1ère épître de saint Pierre, 3, 15).
Il n'y a non pas un mais quatre Évangiles. C'est providentiel et c'est heureux, car ainsi les témoins de la vie de Notre-Seigneur sont plus nombreux et les récits différents qu'ils nous en donnent se complètent mutuellement. Cependant, quel lecteur du Nouveau Testament n'a jamais souhaité de voir fondus en seul récit les quatre Évangiles, en présentant ainsi la vie de Jésus-Christ d'un coup, sans morcellement mais dans son unité ? C'est le travail accompli par le chanoine Weber à la fin du xixe siècle. Il remporta un immense succès : plus d'un million d'exemplaires vendus. Son travail a été salué par les papes Léon XIII et saint Pie X. Dans ses dernières éditions il était complété par les Actes des Apôtres, présentés selon la même pédagogie et un peu la même méthode par le chanoine Weber. Il y ajoutait même un supplément aux Actes des Apôtres relatant l'histoire de la toute primitive Église, notamment à travers le ministère et les épîtres de saint Pierre, saint Jean et saint Paul, jusqu'aux derniers temps de leurs vies terrestres. Ce livre se trouvait, à ce jour, sous forme de réimpression ; Clovis vous en propose désormais une version recomposée, propre, illustrée et intégrale, c'est-à-dire avec tous les textes dont il vient d'être fait mention, et toutes les notes de bas de page. AUTEUR Le chanoine Alfred Weber, prêtre du diocèse de Verdun au début du XXe siècle, consacra toute sa vie à l'enseignement de l'Écriture sainte. Il dirigea l'OEuvre catholique de la diffusion du saint Évangile.
Il n'a pas vécu très longtemps, mais il a sillonné l'Europe et sa vie a été très pleine. Il a été d'une force physique herculéenne, mais il nous impressionne davantage par son intelligence qui est, tout simplement, celle d'un génie. Ceux qui l'ont approché ont été conquis par sa bonté et son humilité, et pourtant, il a aimé le silence et a passé l'essentiel de sa vie à prier. Voici la vie de Thomas d'Aquin, un homme qui a été, autant qu'on peut l'être, ce que Jésus-Christ voulait que tous ses disciples soient : la lumière du monde. Cette vie nous étonne : saint Thomas est écolier au milieux de moines, se bat contre des soldats, s'évade d'une forteresse, traverse les Alpes en plein hiver, mange à la table du roi saint Louis, convertit des juifs au catholicisme, fait face à une tempête sur la Méditerranée... entre deux aventures, il étudie, prêche, écrit, illumine le monde de ses enseignements.
Le catéchisme du chanoine Quinet est un grand classique de la catéchèse. Il a profondément marqué plusieur générations de catholiques. Il est composé de 67 leçons réparties en 3 grandes parties : 1) Les vérités que Jésus-Christ nous a enseignées. 2) Les secours que Jésus-Christ nous a préparés. 3) Les commandements que Dieu nous a donnés. Chaque leçon débute par une leçon ou un récit évangélique illustré, puis est suivie d'un questionnaire (questions-réponses, graduées selon l'avancement et l'âge), et se termine par des propositions de résolutions et de travaux pratiques.
L'Église, dans les années 1960-1970, a pris sur sa route un tournant. Les prêtres ont quitté la soutane. La messe est passée du latin au français, ressemblant souvent à un repas de fête. Les enfants ont subi un nouveau catéchisme : on y remplaçait les questions-réponses par des activités d'éveil. La morale enseignée par les curés est devenue moins exigeante. Ils ont tendu les bras aux protestants et même aux religions non chrétiennes. Rome a décidé que, dorénavant, les États devaient reconnaître les autres religions. Des évêques ont sympathisé avec les communistes. Bref, en quelques années, autour du concile Vatican II, un chamboulement a agité l'Église. De nombreux catholiques se sont trouvés perplexes. Ce qu'on leur avait enseigné était parfois le contraire de ce qu'on leur prêchait à présent : qui fallait-il croire ? Les pratiques traditionnelles ne représentaientelles que des rites rétrogrades ? Jean XXIII, Paul VI et Jean-Paul II expliquaient que l'Église se renouvelait : était-ce un bon chemin ? Mais un évêque se fit entendre. Il avait été chargé jadis de missions importantes par le pape Pie XII, qu'il représentait pour l'Afrique noire. Il s'exprima pendant Vatican II, il continua de parler après. Il exhuma des textes clairs qu'on avait enfouis dans le fond des tiroirs. Il se leva contre le « religieusement correct » et montra, faits à l'appui, que la parole de Jésus-Christ et des dizaines de papes qui avaient précédé valait toujours et qu'elle jetait une lumière sur la tempête que vivait l'Église. En 1985 enfin, cet évêque, Mgr Marcel Lefebvre, écrivit une Lettre aux catholiques perplexes afin de les aider à sortir de leur perplexité. Des années ont passé. La situation de l'Église est-elle la même qu'en 1985 ? Non. Les hommes d'Église ont-ils renoncé à l'adaptation au monde moderne ? Non plus. Il y a par conséquent toujours des catholiques perplexes. Mgr Marcel Lefebvre est mort, mais comme il n'est que l'écho de la Tradition de l'Église, sa parole est vivante. Elle s'adresse aux catholiques d'aujourd'hui. Ils n'ont qu'à lire.
Beaucoup de biographies ont été écrites sur le Sauveur du monde. Mais aucune, probablement, ne dépassera en valeur et en notoriété le Livre de la vie du Christ de Ludolphe le Chartreux.
Comment ce moine a-t-il pu faire, en un seul ouvrage, à la fois un condensé des Pères de l'Église, une vie détaillée de Jésus et un livre de méditations pour tous les jours ? Ce travail, fruit de sa propre contemplation, a en tout cas nourri et ravi des générations de chrétiens et de saints, dont sainte Thérèse d'Ávila et saint François de Sales.
Un chef-d'oeuvre pour lire, consulter et prier, toujours avec bonheur, dans une édition abrégée qui propose les textes essentiels de l'oeuvre originale.
- Connaissez-vous La Mélodie du bonheur ? - Bien-sûr ! - Et l'histoire de la famille des Chanteurs Trapp ? Non ? C'est pourtant l'histoire authentique de cette famille autrichienne, obligée de fuir son pays passé sous la botte germanique, et qui va gagner sa vie aux Etats-Unis en y organisant des tournées de concerts. C'est en 1948 que Maria, cette ancienne novice bénédictine devenue institutrice, puis la gouvernante, enfin la maman des sept enfants du baron von Trapp, écrivit cette émouvante autobiographie, pleine de confiance en Dieu, de fraîcheur et d'humour. Son mari, ancien héros de la Grande Guerre comme commandant de sous-marin, venait de s'éteindre à l'âge de 67 ans, la laissant mère de dix enfants. En février 2014, Maria-Franziska, dernière survivante des sept enfants du premier lit, s'est éteinte presque centenaire. Johannes, le benjamin, est le responsable du chalet familial dans le Vermont, The Trapp Family Lodge.
Ils étaient trois petits enfants... Trois petits pastoureaux, au fond du Portugal, deux filles et un garçon, âgés de dix ans, neuf ans et sept ans, qui gardaient leurs moutons, au temps de la Première Guerre mondiale. Le 13 mai 1917, un belle «Demoiselle» apparaît à Lucia, Francisco et Jacinta, et leur demande de revenir six fois de suite au même lieu. Le 13 octobre, pour la dernière apparition, il y aura soixante-dix mille personnes qui assisteront au «miracle du soleil», pendant que la «Demoiselle» révèle enfin son nom à Lucia : «Je suis Notre Dame du Rosaire.» Aujourd'hui, quatre millions de pèlerins viennent chaque année à Fatima honorer la Vierge Marie et méditer le message de prière, de pénitence et de conversion qu'elle a transmis aux trois voyants. Ces enfants ont été, par leur vie, la plus belle démonstration de la vérité de l'Apparition.
Missel conforme aux rubriques du missel de 1962 (rite de saint Pie V), avec textes latin et français en vis-à-vis. Il comprend: - l'année liturgique complète (temporal et sanctoral), y compris la semaine sainte - des partitions grégoriennes (Kyriale, Credo, Asperges, antiennes à la Vierge, etc.) - Des Index alphabétiques (général et détaillé). - 4 signets de couleur. La couverture est en cuir, avec dorure sur les tranches. Ce missel a deux particularités : * Le sanctoral contient, pour chaque saint, une note biographique. * Le cahier central avec l'ordinaire de la messe est imprimé sur un papier plus épais que les autres cahiers.
L´enfant d´un parent, d´un ami, d´une connaissance (ou le vôtre) va être baptisé dans quelques instants. Vous voici présent à l´église pour participer à ce baptême ? La cérémonie à laquelle vous allez assister va être célébrée en latin et en français, selon le rite traditionnel de l´Église catholique ? Ce petit livret est mis à votre disposition pour vous permettre de suivre la cérémonie et de vous unir à la prière de l´Église.
Vie de Padre Pio pour les petits.
Dans un petit village de montagne, près de la mer Méditerranée, une jeune fille vit au milieu de son peuple, le peuple juif. Son nom n'est pas connu, elle n'est ni célèbre ni riche. Et pourtant cette jeune fille est tout à fait exceptionnelle. En effet, tous les autres êtres humains, lorsqu'ils naissent, sont loin de Dieu en raison du péché originel ; elle, au contraire, a été, dès le premier moment de sa vie, amie de Dieu par la grâce. Tous les autres hommes tombent dans des fautes ; elle ne pèche jamais. Encore adolescente, elle est fiancée à un très saint homme appelé Joseph. Il est prévu qu'ils se marient, mais en restant totalement chastes l'un et l'autre, pour toujours. Or, voici qu'un jour un ange lui apparaît au fond de sa maison. Il lui annonce qu'elle va bientôt être mère, et que son enfant sera le Sauveur que Dieu, il y a très longtemps, avait promis aux hommes. Marie de Nazareth a été choisie pour être la mère de Jésus, le Messie, notre Seigneur ! C'est le début de la belle histoire de la très sainte Vierge Marie, fille d'Anne et de Joachim, et mère de Dieu. Ce livre, rempli d'images, raconte sa vie aux enfants - petits et grands. Ils peuvent ainsi la suivre à Bethléem, à Cana, à Jérusalem, à Éphèse. Il est si important de connaître tôt, et le mieux possible, l'histoire de Marie de Nazareth, afin de la prier et de l'aimer davantage !
Les faits merveilleux qui forcent l'admiration : leurs longues prières, leur sévère pénitence, l'intarissable torrent de leur dévouement, leur prédication de feu, leurs miracles, enfin, et leur belle mort. Le chatoiement de ces pierres ne devrait pas faire oublier une partie du collier, invisible, modeste jusqu'à rester dans l'ombre, fondamentale, pourtant. Le fil qui parcourt chacune des pierres est la face cachée du chef-d'oeuvre sans laquelle rien n'aurait plus de sens. Il unit le tout, met chaque chose à sa place, donne vigueur et harmonie aux formes et aux couleurs. Quel est, chez saint Dominique, le fil conducteur qui donna à sa vie son unité et sa fécondité impressionnante ? Les événements marquants de sa sainteté ont été souvent présentés. Son ardeur à l'étude, sa prière fervente, sa prédication enflammée, ses initiatives dans tous les domaines de la vie sacerdotale et religieuse, sa collaboration active aux luttes de son temps contre l'hérésie, sa dévotion mariale, sont autant de pierres de choix dont l'éclat illumine aujourd'hui encore le pèlerinage de l'Église. Tout cela est connu. Mais quel en est le secret ? Est-il permis d'en savoir plus ? Peut-on pénétrer dans le sanctuaire intérieur de cet ami de Dieu, y rencontrer la présence de Dieu, le doigt de Dieu, le sourire de Dieu ? Le livre que nous allons ouvrir va nous conduire dans cette enquête. Nous allons y découvrir les merveilles de Dieu dans le coeur d'un homme, et rendre saint Dominique très bon, très proche, très actuel.
Le mardi 4 août 1903, un nouveau pape était élu sous le nom de Pie X. Dès les premiers mois de son pontificat, une conviction se répandit parmi les fidèles de toute la chrétienté : « L'Église est gouvernée par un saint ! » Chacun ressentait dans sa vie personnelle le rayonnement de la sainteté du pape Pie X, qui l'entraînait vers la vertu. Défense de la foi catholique, rénovation de la liturgie et de la musique sacrée dans le sens le plus traditionnel, primauté de la liberté de l'Eglise, souci de sanctification des prêtres, attachement à l'enseignement du catéchisme, et surtout désir que chaque chrétien, y compris les enfants, s'approche le plus souvent possible, l'âme pure et fervente, de la sainte Eucharistie : tout cela ne pouvait s'expliquer que par la présence sur le trône d'un pape saint, d'un pape entièrement donné à Dieu.
Recueil de chants pour toute l'année liturgique. - Kyriale complet, avec notation grégorienne. - Vêpres du dimanche, + quelques propres du Temporal et du Sanctoral - Complies de chaque jour de la semaine - Antiennes à la sainte Vierge : Salve, Ave Regina Caelorum ect. simples et solennels - Liturgie des défunts : Messe de Requiem et, Absoute) - Messes votives du Sacré-Coeur et du Coeur immaculé de Marie (chant grégorien) - Motets grégoriens au T.S. Sacrement, au Sacré-Coeur, à la sainte Vierge (avec antiennes du Rosaire) - Motets grégoriens pour les différents temps liturgiques - Salut du Très Saint Sacrement - Chants pour le chemin de Croix - Litanies (S.-Coeur, B.V.M., saint Joseph, litanie des saints) - Motets polyphoniques au T.S. Sacrement et à la sainte Vierge - Nombreux cantiques en français, avec partitions (classés selon les temps liturgiques et les dévotions) - Ordinaire de la messe - Tables complètes.
La vie de l'une des plus grandes saintes de France, racontée aux enfants par la plume aguerrie d'Alain Sanders. Mais saint Michel lui apparaît et lui parle de la grande pitié qui est au royaume de France, envahi et opprimé par les armées anglaises. Guidée par ses voix, Jeanne rejoint le Dauphin, délivre Orléans, emmène Charles VII à Reims pour son sacre, mais finit par être capturée devant Compiègne et vendue aux Anglais. Après un simulacre de procès, Jeanne est condamnée à être brûlée vive et meurt en s'écriant : « Mes voix ne m'ont pas trompée, ma mission était de Dieu?! » Canonisée en 1920, sainte Jeanne d'Arc est la patronne secondaire de la France. Alain Sanders nous raconte ici la belle histoire de sa vie.
Elle est l'héroïne nationale, la Pucelle, la Sainte de France, la gloire de la Lorraine, la guerrière qui a inversé le cours de la guerre de Cent Ans et bouté l'Anglais hors de la Patrie... mais Jeanne est d'abord une âme. C'est cette perspective que choisit ici l'abbé Olivier Rioult.
Dans cette véritable somme, l'auteur raconte, bien entendu, avec détails, l'enfance, les voix, la rencontre avec le Dauphin, les batailles historiques, la capture, le procès et la mort de sainte Jeanne d'Arc. Mais il va plus loin, entre dans le sanctuaire de cette âme toute pleine de son Dieu et attachée jusqu'au sang - jusqu'aux cendres - à ses devoirs envers lui. C'est ainsi qu'on découvre, l'une après l'autre, les vertus et même les péchés de Jeanne, son influence sur sainte Thérèse de Lisieux...
Avec une lettre d'encouragement de l'historien Jean de Viguerie.
Pierre Cartigny est revenu de la guerre où il a servi avec courage. Il vit auprès de sa mère, de ses frères et de ses soeurs et son dévouement de médecin est inépuisable. Mais voici qu´au cours d´une partie de chasse il découvre, presque mort de froid, un jeune enfant dans la neige. Accueillir le petit russe ne sera pas de tout repos. Le garçon suscite l´affection, mais le secret de son histoire ne se dévoilera que peu à peu. Surtout, des bolcheviques en veulent mystérieusement à Ivan, et n´auront de cesse qu´il disparaisse. L´aventure commence où poursuites, coups de feu et... prières se mêleront à l´envi ! L´avenir sera incertain pour Ivan, pour la famille Cartigny et pour la douce Agnès, amie d´enfance de Pierre et désormais attachée à l´enfant russe. Le R.P. Hublet, Jésuite belge, est auteur de nombreux romans catholiques pour la jeunesse. Le titre d´origine de ce roman est Le Trésor bien gardé.
Elle fut une petite fille, puis une jeune femme : car elle mourut à vingt-quatre ans. Elle habitait la province, fréquentait peu de monde et, dès l'âge de quinze ans, entra dans un monastère cloîtré situé dans sa propre ville.
Pourtant, vingt ans après sa mort, saint Pie X n'hésita pas à déclarer qu'elle était « la plus grande sainte des temps modernes ». Pie XI, qui la canonisa en 1925, l'institua patronne des missions, elle dont le plus long voyage fut d'aller jusqu'à Rome. En 1997, pour le centenaire de sa mort, le pape proposa à tous les chrétiens sa « petite voie spirituelle » comme un chemin très sûr de sanctification.
En effet, elle avait laissé, à la demande de ses supérieures, trois manuscrits qui furent publiés dans toutes les langues sous le nom d'Histoire d'une âme.
Et c'est en lisant ces textes que l'on put comprendre quel courage, quelle foi, quelle grandeur d'âme, mais surtout quel amour de Dieu et du prochain emplissaient le coeur de cette frêle jeune fille.
Telle est la belle, l'émouvante, la magnifique histoire de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, connue et aimée dans le monde entier sous le nom de sainte Thérèse de Lisieux.
Chemins de lumière.
Ils ont été des héros, des saintes ou des saints. Ils ont gardé la foi, aimé Dieu par-dessus tout, servi le prochain par charité, conservé la bonne doctrine, combattu pour l'Église, pour leur patrie et pour la chrétienté. Ils restent aujourd'hui pour nous souvent des intercesseurs, toujours des modèles. Les chemins qu'ils ont parcourus nous mèneront vers la vraie lumière, Notre-Seigneur Jésus-Christ.
Michel Ghislieri est entré dans l'Ordre dominicain à l'âge de 12 ans. Religieux d'une grande dévotion mariale, il a été successivement professeur de théologie, Inquisiteur à Côme en Italie, commissaire général du Saint-Office, évêque à Sutri, cardinal, évêque à Mondovie.
Après quelques démêlés avec le pape Pie IV, auquel Mgr Ghislieri reproche son népotisme, il est, à la mort du souverain pontife, élu pape à l'âge de 62 ans. Il n'assumera cette fonction (jusqu'à sa mort) que pour six ans, mais ô combien remplis ! Il s'attellera à la réforme de l'Église universelle, à la sanctification des prêtres, à la restauration du missel romain, à la construction d'une politique catholique en Europe, à la lutte contre le protestantisme et contre l'islam.
Ce livre imagé raconte sa vie, et notamment la belle bataille qu'il a voulue contre les musulmans à Lépante le 7 octobre 1571, bataille qui s'est soldée par une grande victoire des armées catholiques.
Ils ont été des héros, des saintes ou des saints. Ils ont gardé la foi, aimé Dieu par-dessus tout, servi le prochain par charité, conservé la bonne doctrine, combattu pour l'Église, pour leur patrie et pour la chrétienté. Ils restent aujourd'hui pour nous des intercesseurs, souvent,des modèles, toujours. Les chemins qu'ils ont parcourus nous mèneront vers la vraie lumière, Notre Seigneur Jésus-Christ.
L'histoire de Kateri Tekakwitha (« Celle qui avance en hésitant ») est une merveilleuse aventure qui se passe au xviie siècle, il y a 300 ans, en Nouvelle-France, pays que nous appelons aujourd'hui Canada. Kateri était une petite Iroquoise, c'est à dire une Améridienne. Ses ancêtres - son père notamment - étaient de véritables païens, féroces, sauvages etcruels. Mais sa mère, Fleur-de-la-Prairie, était déjà secrètement chrétienne, convertie par des « robes noires », des missionnaires jésuites, qui avaient visité son village. Kateri apprit donc très tôt auprès de sa mère à aimer Jésus. Mais les épreuves frappèrent cette petite fille. Ses parents moururent, son oncle encore païen refusa pendant longtemps qu'elle fût baptisée. Elle put finalement devenir enfant de Dieu par l'eau du baptême, mais elle dut s'enfuir de sa tribu. Réfugiée dans une mission jésuite, elle offrit alors toutes ses joies, son travail, ses souffrances et sa maladie (elle devint quasiment aveugle) pour la conversion de son peuple. Elle chantait de très beaux cantiques et priait de longues heures devant une croix d'érable qu'elle avait plantée au bord du fleuve Saint-Laurent. Un prêtre qui l'a connue écrivit à son sujet : « Cette jeune fille, toute sauvage qu'elle était, se trouvait si pleine de Dieu, et elle goûtait tant de douceurs dans cette possession, que tout son extérieur s'en ressentait... Il ne fallait pas être longtemps avec elle pour en être ému et pour être réchauffé de ce feu divin. »
C'est à Fatima, petit village du Portugal, qu'en 1917 une belle Dame apparaît à trois enfants, Lucie Dos Santos, François Marto et Jacinthe Marto, leur demandant de revenir six fois de suite au même lieu, le 13 de chaque mois. Le 13 octobre, devant 70 000 personnes, la Dame révèle qu'elle est la sainte Vierge et fait danser miraculeusement le soleil. Chaque année, désormais, des millions de pèlerins viendront prier le rosaire aux pieds de Notre Dame et méditer son appel à la conversion. Quant aux trois enfants, ils progresseront vers la sainteté.