Septembre 1946. Dans le Morbihan, à Locmariaquer, Lara, jeune fille de 18 ans au caractère passionné, tente d'oublier les terribles années qui viennent de s'écouler. Malgré les blessures laissées par la guerre, la vie reprend lentement son cours, lorsqu'un drame frappe la région: le corps d'une jeune fille est découvert sous un dolmen. La malheureuse est vêtue d'une tunique blanche et a été égorgée. Pour Lara, cette terrible nouvelle est d'autant plus bouleversante que l'homme qu'elle aime est l'un des principaux suspects.
Qui a bien pu commettre ce meurtre odieux? Est-ce un crime rituel?
Les questions sont nombreuses pour Nicolas Renan, l'inspecteur chargé de l'enquête. D'autant que cette mort n'est que le début d'une longue série de crimes...
Après trois ans passés au Venezuela, où ils se sont réfugiés pour fuir les menaces qui pesaient sur eux, Lara et Olivier reviennent à Locmariaquer, suite à l'annonce inespérée du retour du père de Lara, Louis Fleury. Mais le bonheur des retrouvailles est de courte durée. Lara ne reconnaît plus son père en l'homme tourmenté qu'il est devenu, et la mort continue de rôder sur le Morbihan.
D'autres crimes ont été commis durant leur absence, toujours selon le même rituel. Malgré les efforts de Nicolas Renan, promu commissaire, l'enquête stagne. Les choses s'enveniment quand deux nouveaux meurtres viennent semer la panique dans la région.
Lara et Olivier devront-ils fuir à nouveau pour sauver leur vie ?
Lara est désespérée depuis l'enlèvement d'Olivier. Sa jeune soeur Fantou se ronge elle aussi d'angoisse pour Daniel, l'homme qu'elle aime et qui a également disparu. Ce sont des heures éprouvantes, qui exaspèrent les esprits et font naître de nouveaux soupçons.
Quant au commissaire Nicolas Renan, il se débat au sein d'une enquête de plus en plus complexe, sur laquelle se greffent les sautes d'humeur de sa maîtresse, Loïza.
La plus grande incertitude règne sur le sort des disparus et chacun se demande quelle terrible vérité se dissimule derrière la machination visant à détruire Olivier.
Un dernier volume au rythme haletant, riche en rebondissements, qui lève enfi n le voile sur les mystères qui ont plané des années sur le Morbihan.
Trempée par l'orage d'été qui s'est abattu sur Paris, Charlotte Laroche, 23 ans, jolie fille culminant à 1m50, découvre un petit garçon de 10 ans sur le perron de son immeuble. Blotti contre la porte, ses cheveux sombres dégoulinants, son T-shirt plaqué par la pluie, il essaie en vain de s'abriter. Il faut savoir que Charlotte est la gentillesse même. Alors que rôde depuis des jours dans Paris un tueur en série insaisissable, elle se dit qu'elle ne peut pas laisser cet enfant dehors.
Elle lui propose de se réfugier chez elle, et d'appeler ses parents. L'enfant la suit sans un mot. Et quand il ôte son t-shirt pour se sécher, Charlotte découvre horrifiée un torse entièrement zébré de cicatrices. " Qui t'a fait ça ? " " Oh, ça ? C'est ma mère ", dit-il indifférent. Charlotte va vite découvrir que cet enfant est bizarre. Il s'appelle Elias. Il parle très peu, mais quand il parle c'est pour dire des choses ahurissantes : ses parents et son grand frère, Adam, seraient des tueurs à gages, appelés les Scorpi.
Lui-même est en apprentissage pour devenir une " créature de l'ombre ", et doit vivre seul pendant un an pour faire ses preuves. Et sa phrase fétiche semble être " Tu veux que je le tue ? " Charlotte n'en croit pas un mot, d'abord. Mais une succession d'événements se charge de la convaincre : d'abord, un certain inspecteur Balard vient l'interroger sur une organisation criminelle menée par la famille Scorpi.
Ensuite, Elias se débarrasse en un tournemain de deux brutes qui les agressent dans la rue. Enfin, dans son salon, elle trouve un jour une version 25 ans d'Elias, un grand brun aux yeux bleus outremer. Adam vient d'entrer dans sa vie, et celle-ci va tourner à la cavalcade. Charlotte en sortira moins naïve, moins seule, et beaucoup plus forte et plus heureuse ! Quand Bridget Jones rencontre Léon le tueur à gages...
: De l'action, de l'humour et une belle histoire d'amour dans un monde de brutes sanguinaires.
Trempée par l'orage d'été qui s'est abattu sur Paris, Charlotte Laroche, 23 ans, jolie fille culminant à 1m50, découvre un petit garçon de 10 ans sur le perron de son immeuble. Blotti contre la porte, ses cheveux sombres dégoulinants, son T-shirt plaqué par la pluie, il essaie en vain de s'abriter. Il faut savoir que Charlotte est la gentillesse même. Alors que rôde depuis des jours dans Paris un tueur en série insaisissable, elle se dit qu'elle ne peut pas laisser cet enfant dehors.
Elle lui propose de se réfugier chez elle, et d'appeler ses parents. L'enfant la suit sans un mot. Et quand il ôte son t-shirt pour se sécher, Charlotte découvre horrifiée un torse entièrement zébré de cicatrices. " Qui t'a fait ça ? " " Oh, ça ? C'est ma mère ", dit-il indifférent. Charlotte va vite découvrir que cet enfant est bizarre. Il s'appelle Elias. Il parle très peu, mais quand il parle c'est pour dire des choses ahurissantes : ses parents et son grand frère, Adam, seraient des tueurs à gages, appelés les Scorpi.
Lui-même est en apprentissage pour devenir une " créature de l'ombre ", et doit vivre seul pendant un an pour faire ses preuves. Et sa phrase fétiche semble être " Tu veux que je le tue ? " Charlotte n'en croit pas un mot, d'abord. Mais une succession d'événements se charge de la convaincre : d'abord, un certain inspecteur Balard vient l'interroger sur une organisation criminelle menée par la famille Scorpi.
Ensuite, Elias se débarrasse en un tournemain de deux brutes qui les agressent dans la rue. Enfin, dans son salon, elle trouve un jour une version 25 ans d'Elias, un grand brun aux yeux bleus outremer. Adam vient d'entrer dans sa vie, et celle-ci va tourner à la cavalcade. Charlotte en sortira moins naïve, moins seule, et beaucoup plus forte et plus heureuse ! Quand Bridget Jones rencontre Léon le tueur à gages...
: De l'action, de l'humour et une belle histoire d'amour dans un monde de brutes sanguinaires.
Un final éblouissant pour la fabuleuse série des Scorpi !
Une semaine à Venise avec sa meilleure amie, voyage en jet privé et chambre avec vue sur la place Saint-Marc...
Trop beau pour être vrai ? Oui, Charlotte aurait dû se méfier...
Au lieu d'un séjour idyllique dans une des plus belles villes du monde, voilà qu'elle se retrouve à pister un ennemi mortel des Scorpi, un Chasseur. Aidée par une étrange créature cachée dans les canaux de Venise, Charlotte remplit sa mission, mais découvre à cette occasion que le Chasseur est loin d'être seul ! Toutes les familles de l'ombre vont alors converger vers Venise pour livrer combat, envoyant leurs meilleurs tueurs, plus terrifiants les uns que les autres... les pires étant sa propre belle-famille !
Heureusement, Charlotte peut toujours compter sur Adam, de plus en plus amoureux et de plus en plus maladroit, sur son petit frère Élias, si mignon qu'on en oublie combien il est dangereux, sans oublier Croquette, le chien le plus peureux de la terre, qui va devenir sans conteste un des héros de l'aventure !
"Un enchantement...
On en redemande ! " L'Eden des rêves
Toutes les filles rêvent-elles de se marier ? Oui?
Sauf celles qui l'ont déjà été !
Déborah vit avec Henri, son nouvel amoureux.
De nature enjouée, elle a un caractère facile, si l'on excepte son goût pour les commérages intempestifs ou sa jalousie de pieuvre. La moindre femelle qui s'approche de son homme, et elle perd tout contrôle : c'est la scène de ménage assurée !
Malgré tout, Henri le blagueur est amoureux de son impétueuse compagne. Alors, entre deux taquineries, il lui glisse des allusions sur le mariage.
Mais pour Déborah, plus question de rigoler. Le mariage, elle connaît, elle a déjà essayé.
Où trouver dans ce cas des exemples qui la rassurent ? Auprès de son amie Daphné, jeune mariée enceinte dont la belle-mère horripilante se mue soudainement en grand-mère envahissante ? Ou auprès de Roxane, ancien top-modèle désormais taille 44, tiraillée entre couches sales, mari pantouflard et nostalgie de sa gloire passée ?
Devant ces exaltantes vies de femmes baguées, Déborah va-t-elle tout de même sauter le pas et accepter la demande d'Henri ?
Entre soirées pyjama délirantes avec les copines et récits débridés du quotidien, la vie hilarante de Déborah ne laisse aucune place à la morosité !
Retrouvez l'auteur sur : www.agnesabecassis.com
L'une s'est fait larguer, l'autre s'est séparée, la troisième vient de divorcer ... quand le coeur est à nu, rien ne vaut le poisson cru !Sushi (n. m.) : spécialité japonaise à base de poisson presque vivant roulé dans du riz froid, peu calorique (en tout cas moins qu'une pizza), apprécié des femmes souhaitant se donner bonne conscience.Dédaigné des adolescents qui lui préfèrent le hamburger (plus facile à mâcher), et des hommes qui lui préfèrent n'importe quoi recouvert de fromage (comme la pizza), le sushi est un plat raffiné qui prend toute sa saveur avec le la sauce solo... heu... soja.Consommé en groupe, il n'empêche pas de crier, de rire, de s'énerver ou de pleurer la bouche pleine, ce qui en fait un met prisé pour sa convivialité.Traditionnellement, on définit par "soirée sushi" la réunion de trois copines fraîchement célibataires, qui ont autant d'angoisses à propos de leurs ados et de potins sur leur ex à partager qu'il y a de graines de sésame sur un california maki.Et en plus, tout cela ne fait pas grossir.(on l'a dit, ou pas ?)
"Ma Dame,
Laissez-moi vous aimer. Juste avec des mots. Rien que des mots. Plus fort grâce aux mots.
Vous êtes mon île, mon salut, ma survie, mon repos.
Que ces lignes vous brûlent, vous percent, vous pénètrent dans l'extrême beauté d'une passion dont les corps s'épousent malgré l'absence."
Gabrielle, Emilie. Deux femmes que tout sépare. Elles se rencontrent. S'éblouissent. Doivent se quitter. Mais de ce moment éphémère s'est noué un lien insensé qui les pousse à échanger des lettres à n'en plus finir pour abolir l'espace, le temps, l'oubli et la douleur du manque.
C'est l'écriture d'une passion nourrie de la passion de l'écriture.
Le premier tome de la nouvelle série de Roxane Dambre Sixtine Perceval est aux anges. À 25 ans, après deux années de piges et de galère, elle vient de décrocher le job de ses rêves : un poste de journaliste chez ActuParis, l'hebdomadaire le plus en vue de la capitale.
Malgré un patron incapable de mémoriser le nom de ses employés et qui débute toutes les réunions par un coup de revolver, un trio de collègues prêts à tout pour ne pas se faire voler la vedette, et un premier sujet loin d'être passionnant elle est chargée de couvrir un congrès de mathématiques appliquées à la relativité et à la cosmologie , il en faut plus pour décourager la jeune femme.
Lors de la conférence d'inauguration, Elvis Ellroy, véritable rock star dans son domaine, fait une annonce fracassante : il a trouvé la clé des singularités, découverte qui, bien qu'obscure pour Sixtine, pourrait révolutionner le monde de la physique et la conception actuelle de l'espace-temps. Mais la curiosité de la jeune femme pour la question grandit lorsqu'Elvis Ellroy est retrouvé mort, son cerveau mystérieusement disparu. Et si sa découverte était à l'origine de son meurtre ?
Pour Sixtine, c'est l'occasion rêvée d'écrire l'article qui lancera sa carrière. Aidée de son stagiaire, Melchior, et du très séduisant Bastien, jeune chercheur en cosmologie qui éveille chez elle bien plus qu'un simple intérêt pour les sciences, elle part en quête de la vérité.
Et si cette vérité était ailleurs ?
Une enquête pleine d'humour et de rebondissements qui vous mènera aux frontières du réel.
Le deuxième tome de la nouvelle série de Roxane Dambre Après le succès retentissant de son tout premier article pour ActuParis, Sixtine Perceval espère profiter d'un répit bien mérité. Mais c'est sans compter sur les Marcus Meilleur, dont l'unique but dans la vie semble être de briser les jeunes recrues prometteuses. Ils suggèrent que pour son nouveau sujet, la jeune femme couvre une exposition sur la mort, idée chaudement accueillie par le directeur du journal. S'ils croyaient déstabiliser l'impétueuse Sixtine, ils risquent d'être déçus. Quand on a vécu un incendie, un kidnapping et une rencontre du troisième type au cours de sa première enquête, plus grand-chose ne peut vous impressionner.
Alors qu'elle est à l'inauguration de l'exposition en compagnie de Melchior, son photographe stagiaire et cuistot de génie à ses heures perdues, un jeune homme équipé d'une machine étrange fait irruption sur scène au milieu du discours. Il affirme avoir découvert une nouvelle technique pour observer les fantômes. Sa démonstration est un échec mais la curiosité de Sixtine est piquée : elle décide d'en apprendre davantage sur Dimitri, le malheureux inventeur. Sa mystérieuse machine est en réalité un détecteur d'ondes humaines. Elle permet non seulement de visualiser l'aura des personnes vivantes mais également d'observer le champ magnétique qui subsiste quelque temps après la mort. Autrement dit, Dimitri a trouvé le moyen d'observer l'âme humaine ! Et Sixtine est bien décidé à aider notre inventeur à prouver qu'il n'est pas un charlatan. Surtout si cela peut lui permettre de reconquérir l'amour de sa vie...
L'Apocalypse selon Sixtine !
C'est enfin la consécration pour Sixtine : elle signera l'article central du prochain numéro d'ActuParis ! Est-ce un test de son directeur, ou un nouveau piège tendu par les Marcus Meilleur ? Peu importe, la pétillante journaliste, accompagnée de son photographe Melchior, est prête à relever le défi.
Et cette fois, sa grand-mère aussi distraite qu'attachante, l'adorable Maminou, fait partie du voyage. Direction Angers et son festival sur les visions de l'Apocalypse à travers les âges.
La mission de Sixtine prend une tournure encore plus intéressante lorsqu'une mystérieuse petite fille lui fait part d'une théorie étonnante : et si l'Humanité réussissait à échapper à toutes les Apocalypses prévues (épidémies, guerres...), car « quelqu'un » parvenait à les neutraliser à chaque fois ? Un sujet en or pour notre enquêtrice du paranormal, mais qui pourrait bien lui attirer quelques ennuis...
Une enquête pleine d'humour et de rebondissements qui clôture la série en beauté !