De L'Échoppe Un jour, mon ami ?eodoros Terzopoulos me demanda pourquoi je n'écrirais pas, sur la crise en Grèce et l'a?ux de réfugiés, un texte qu'il pourrait monter dans son théâtre.
Je me suis mise à écrire, dans un état de surexcition mentale, état totalement étranger à tout souci littéraire, à toute possibilité d'écriture d'une pièce de théâtre bien composée, deux ou trois pages qui sont une sorte de condensé d'un monde grec à la fois ancien et totalement pris dans une tourmente elle aussi semblable à un vertige.
Je me suis mise à