La panoplie littéraire de Chloé Delaume.Chloé Delaume, qui aime jouer avec les codes, la langue et son image, nous reçoit au coeur de son salon-bureau, véritable cabinet de curiosité, et retraverse ses oeuvres, sa vie, son travail.Le dossier:Comment on a refusé certains de mes livres.Dix écrivains reviennent sur la relation de confiance qui se noue avec l'éditeur, et les conflits (formels, commerciaux, humains) qui peuvent naître après quelques années d'une fructueuse collaboration...Chronique:Le service de presse:pratique plaisante ou corvée inévitable?
« Les réseaux et moi » Comment les écrivains s'arrangent-ils avec les réseaux sociaux ? Faut-il y être ? Les fuir ? Est-ce indispensable pour se faire connaître ? Pour la promotion de son livre ? Pour rester en contact avec son lectorat ?
L'hyperconnectivité lèse-t-elle le rapport au réel ? Estce un outil de travail, une source d'inspiration ? Quinze auteurs reviennent sur leur pratique et expliquent pourquoi ils sont - ou pas - sur les réseaux sociaux.
La Panoplie littéraire Une rencontre intime avec un écrivain, une plongée dans les coulisses de la création avec un autoportrait littéraire abondamment illustré d'images personnelles, de fac-similés et de documents inédits.
Et aussi les nouvelles inédites et les chroniques qui font le sel et l'esprit de la revue depuis 2001.
Chroniques exclusives et étonnantes Avec Adrien Bosc, Iegor Gran, Emmanuelle Pagano, et, pour la première fois autour d'un plateau de fruits de mer : Marguerite Duras et Arnaud Cathrine.
Thématique «Les dessous de la dédicace» Il est d'usage qu'un auteur dédie son livre à quelqu'un par une dédicace imprimée placée à la tête de l'ouvrage. Il peut y avoir un nom, un prénom, quelques mots tendres, humoristiques ou mystérieux. Dix écrivains vous révèlent ce qui se cache derrière ce discret hommage : Blandine Rinkel, David Foenkinos, Éric Metzger, Éric Neuhoff, Frédéric Ciriez, Jean-Philippe Blondel, Julien Bouissoux, Patrick Autréaux, Nathalie Kuperman, Vincent Almendros.
Créations Des nouvelles inédites de Matthieu Rémy, Lise Charles, Jérôme Leroy...
«L'énergie de la Terre a besoin d'être renouvelée. Les idées nouvelles ont besoin d'espace. Le corps et l'âme ont besoin de nouveaux défis. Le futur est devenu présent, et tous les rêves - sauf ceux empreints de préjugés - auront l'occasion de se manifester.» Manuel du guerrier de la lumière
Chroniques exclusives et étonnantes Jean-François Kierzkowski, Frédérique Deghelt, Frédéric Aribit, Jean-Patrick Manchette ...
Hommage à l'écrivain Éric Holder par quelques amis.
Et le Journal littéraire de Philippe Vilain.
Thématique Se faire un nom (d'auteur).
Pourquoi un auteur garde son nom ou, au contraire, choisit-il un pseudonyme ? Pour se protéger ? Protéger son entourage ? Cacher une double vie? Pourquoi certains - selon ce qu'ils écrivent - ont une double identité littéraire ? Et qui impose ce changement ?
Avec: Blandine Rinkel, Constance Debré, Dan isand, Delphine de Vigan, Emmanuelle Bayamack-Tam, Gaël Brunet, Julien Syrac, Michel Bernard, Olivier Steiner, Xabi Molia.
Chroniques exclusives et étonnantes.
Avec Frédéric Ciriez, L'Ajar, Grégoire Bouillier, legor Gran, Emil Cioran...
Créations.
Des nouvelles inédites et en couleur d'Erwan Desplanques, Ludovic Debeurme, Alicembe...
Thématique.
«Les avis que je voudrais ne jamais avoir entendus».
Découvrez pourquoi Mazarine Pingeot a toutes les raisons de perdre son calme dans les salons du livre - mais elle reste impassible ; comment Arnaud Cathrine a vécu la sortie de son premier roman ; pourquoi Émilie Raja a coupé des passages de son roman ; vous découvrirez aussi qui dit de Nicolas Fargues qu'il est un écrivain «élégant» ; vous écouterez (ou pas) la radio avec Laurent Sagalovitsch ; Anna Rozen vous dit pourquoi il n'est pas si plaisant d'être (presque) un sujet de thèse ; Véronique Ovaldé vous emmène en rencontre ; Miguel Bonnefoy lit la presse et les blogs ; Agnès Mathieu-Daudé met en garde contre les lecteurs. Les autres lecteurs. Pas vous.
La Panoplie littéraire Nathalie Kuperman Alors que paraît son nouveau livre, Je suis le genre de fille, Nathalie Kuperman dresse son autoportrait littéraire et nous laisse fouiller ses archives, explore avec nous sa bibliothèque, et interroge ses livres ainsi que son rapport à l'écriture.
Hasard d'une rencontre, éblouissement soudain, découverte providentielle...
Dix auteurs reviennent sur ce livre trouvé par hasard et qu'ils ont cru, à cet instant précis, écrit pour eux. Parce qu'il leur a permis momentanément de sortir la tête de l'eau, de retrouver un peu de lucidité, d'élan, d'espoir...
Choroniques exclusives.
Étonnantes et bouleversantes.
Avec Olivier Adam, Robert Goolrick, Alexis Ferro, Jean-François Kierzkowski...
Un hommage à Dominique Noguez par quelques-uns de ses amis.
Et pour la première fois réunis au Café de Flore : Jacques Rigaut et Jean-Luc Bitton.
Thématique.
« J'écris et je ne lâcherai jamais mon boulot ! » Alors que beaucoup d'écrivains se plaignent de ne pouvoir vivre simplement de leur plume et de devoir exercer un travail alimentaire, dix auteurs reviennent sur l'activité professionnelle qu'ils ne lâcheraient pour rien au monde.
Même pas pour la littérature.
Avec: Arnaud Dudek, Christine Avel, Jean-Philippe Blondel, Jean-Paul Didierlaurent, Philippe Forest, Philippe Jaenada, Mathieu Simonet, Nathalie Kuperman, Pierre Raufast, Stéphanie Dupays.
Créations inédites.
Nouvelles et autres distractions.
De Stéphane Héaume, Quentin Desauw, Erwan Desplanques et Bernard Quiriny.
Numéro rappelant l'importance de l'écrivain Albert Cohen, qui ne doit pas être mis aux oubliettes. En effet, il a démontré dans ses romans, notamment avec«Belle du seigneur», que si l'homme n'est pas lié à une valeur collective, alors il devient moins qu'un animal. Avec également des pages sur Coluche, Sorokine, Papadiamantis, Jourde et Muray.
Le Calendrier Alchimiste 2017 paraîtra pour l'anniversaire du titre phare de Paulo Coelho. Les plus belles citations de l'Alchimiste accompagneront le lecteur tout au long de l'année. Le calendrier sera illustré des très belles peintures de Michel Galvin.
#53 CHRONIQUES Le Journal littéraire Alice Zeniter Quelques jours avec l'auteur de Juste avant l'Oubli (Flammarion, 2015) Regards #1 Erwan Desplanques Que fait l'auteur quand il est absent de Paris? Regards #2Pierre Ducrozet Où l'auteur démontre que Jean-Michel Basquiat est un grand écrivain sans livre L'Interview imaginaire Louis-Ferdinand Céline Une conversation avec Céline, un poil grincheux La Pause Alban Perinet et Jean-Baptiste Gendarme La meilleure façon de faire lire un livre, c'est d'en parler À vos idoles Valérie Zenatti Une lettre pour Charlotte Delbo Postures (et impostures) de l'homme de lettres Jean-François Kierzkowski Ceux qui parlent comme ils écrivent Et moi je vous en pose des questions? Bernard Quiriny Tout savoir sur l'auteur en moins de soixante secondes.
« Nous étions partis de ce constat simple : il y a de moins en moins de place, en France, pour présenter les livres de pensée et en débattre publiquement. [...] Si nous traitons principalement de livres, c´est que nous considérons qu´ils sont les chantiers où se trame et se communique le travail discret, ardu, têtu, solitaire et solidaire à la fois, de la pensée. [...] La guerre d´escarmouche que l´Agenda a engagée contre la lassitude ne fait, à vrai dire, que commencer. » François Jullien « Les grandes politiques sécuritaires nourrissent la peur et la suspicion. Elles tablent sur une humanité fragile, à laquelle elles promettent la sécurité dans la tristesse. Il faudrait au contraire [...] réactiver une sécurité comme bien commun, destin partagé, une sécurité qui soit créatrice de solidarités. » F. Gros « Ni l'espéranto, ni la traductique, ni lemessianisme ne sauraientmettre fin à Babel. [...] ce que la traduction oblige à penser, c'est que le langage n'est pas le lieu où toutes les langues seront comme unifiées dans un idiome de pureté, mais bien au contraire la chorâ qui abrite la pluralité des langues. » M. Rueff « [...] sans doute n'est-il d'autres ressources que de reconsidérer [l'histoire] dans le sillage d'Hannah Arendt, en la comprenant, à partir non pas de la fin mais de la natalité, comme le lieu d'une incessante chance de nouveauté, qui se dérobe du coup à toute saisie conceptuelle et qui invite après-coup à une compréhension infinie. » P. Hochart