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William Irish
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Par un grand maître du suspense, auteur de "Fenêtre sur cour", "La sirène du Mississipi" et "La mariée était en noir".
Sélectionné par le Ministère de l'éducation nationale en cycle 3.
Buddy aime bien raconter des histoires. Pourtant, cette fois, Buddy n'invente rien : il a vu ses voisins tuer un homme, et devient alors un témoin gênant...Mais qui va le croire?
Ce roman noir à l'écriture très maîtrisée et savoureuse met en scène un jeune garçon de douze ans, Buddy, qui vit dans deux mondes à la fois: le deux-pièces terne et confiné où il loge avec ses parents et le monde bien plus excitant de l'imagination, un monde sans frontières ni limites, où l'on peut faire beaucoup de choses, à condition de savoir inventer... Dès lors, parce qu'il a trop souvent menti par le passé, chacune de ses tentatives pour parler aux adultes du meurtre dont il a été témoin va se retourner contre lui. c'est pour Buddy le début d'une traque infernale, dont il se sortira en ne comptant que sur lui-même. -
Voici des nouvelles écrites par un des grands maîtres du roman noir. Vachardes, astucieuses, insolites, toutes ont au moins un point commun : l'humour caustique de l'auteur. On y rencontre des braqueurs créatifs, des frères ennemis de la police, des alibis authentiquement coupables, des médiums providentiels, des gangsters mâcheurs de chewing-gum, des chapeaux chantants ou encore une épouse bien décidée à sauver son mari adultère de la peine capitale...
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«Je vais éliminer cette femme de mes calculs et de mes suppositions aussi complètement que si elle n'existait pas. Elle me gêne. Elle est comme un nuage de brume qui enveloppe toute l'affaire. J'ai l'intention de concentrer mes efforts sur les quatre hommes. Lorsque j'aurai découvert le point où leurs vies se sont rencontrées, la femme rentrera immédiatement en scène, et je ne tarderai pas à découvrir le motif qui l'a fait agir.» Le roman d'une implacable vengeance...
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Louis Durand est amoureux fou de sa femme Julia, qu'il a épousée grâce aux petites annonces. Jusqu'au jour où elle disparaît avec toute sa fortune et il découvre qu'elle ne s'appelle pas Julia mais Bonny et que la vraie Julia est morte assassinée...
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Pour le N° 50 de la collection Rivages/Noir, nous avons tenu à choisir un auteur prestigieux de l'âge d'or du roman noir : William Irish. Cinq nouvelles inédites : une panthère échappée dans les rues d'une ville ; un homme malade qui s'accuse d'un crime qu'il na pas commis pour que sa femme touche une récompense ; une manucure maladroite qui tue son client ; un personnage mystérieux qui recueille les kleptomanes pour les faire travailler à son compte ; un homme qui sort de prison et valse avec le fantôme de sa fiancée morte. Mélodrame, violence, désespoir : tout l'art de Irish, concentré dans cinq de ses meilleures nouvelles.
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C'était un aller simple. Un aller. Sans retour... Et le voyage qu'entreprend avec son billet la jeune Helen aux yeux traqués est un voyage au pays de l'épouvante. Qu'importent les fleurs, les sourires, la chaleur du foyer et l'amour partagé, quand la panique vous étreint le coeur. Le billet New York-San Francisco est un gage maudit et il faudrait des forces surhumaines pour en briser le charme maléfique.
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«Qu'elle est belle ! Du satin, blanc comme la neige fraîchement tombée. Un voile de tulle, léger comme un brouillard. Un bouquet de fleurs d'oranger, un diadème de perles... Qui pourra deviner que cette radieuse et sereine jeune fille qui s'avance vers l'autel va vivre auprès de celui qu'elle a choisi des jours de cauchemar, où l'amour fera bientôt place au doute, à l'angoisse, à l'horreur ?»
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Debout sur le parapet, prête à sauter dans le vide, elle avait rejeté la tête en arrière et, de la main, s'abritait les yeux, comme pour se protéger des étoiles. Elle était jeune, belle, riche, et elle voulait mourir... Tout avait pourtant commencé de façon si banale : une goutte de consommé répandue sur une robe de bal ; un regard furtif... et les forces maléfiques s'étaient déchaînées contre Jeanne, la poussant vers l'angoisse et vers la mort...
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Crains la femme avant le serpent ; parions une vie !
William Irish
- Brumes De Mars
- 27 Juillet 2009
- 3760160780026
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Cinq romans et quatorze nouvelles parmi les plus représentatives de cet orfèvre de la peur William Irish occupe une place à part parmi les écrivains de romans policiers.
Maître du suspense et de l'angoisse, il est le peintre de l'inquiétude, de la névrose, de la sournoiserie du destin qui broie les êtres - ou les sauve. Désormais classique, son oeuvre a inspiré des cinéastes tels qu'Alfred Hitchcock (Pénètre sur cour) ou François Truffaut (La mariée était en noir, La Sirène du Mississippi) qui ont toujours revendiqué leur dette envers son génie.
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Elle ne fut tout d'abord qu'une silhouette lointaine s'avançant vers lui. L'instant d'après, c'était une jeune fille. Puis il vit qu'elle était jolie et habillée impeccablement. Ses yeux demandaient "vous êtes seul ?". Son sourire vague indiquait: "alors, dites-le moi". Les regards échangés avaient semblé faire jaillir une étincelle entre eux. A partir d'une rencontre dans la rue, Wade et Bernice sont entraînés dans la passion d'un amour vraiment fou qui les mènera au meurtre et à la désolation.
"C'est avec "Manhattan. Love Song" que William Irish a inauguré ses oeuvres de maturité." Francis M. Nevins
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Valse dans les tenebres_1_ere_ed - fermeture et bascule vers 9782743638771
William Irish
- Rivages
- 1 Juin 1988
- 9782869301627
Un grand nom de l'âge d'or du roman noir pour le numéro 50 de la collection.
Tout l'art d'Irish dans ces cinq nouvelles où se mêlent violence, mélodrame et désespoir. A re-découvrir.
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Fenetre sur cour et autres histoires
William Irish
- La Decouverte
- Culte Fictions
- 2 Octobre 2003
- 9782707141491
Une lampe allumée toute la nuit, un store qui ne se relève pas, un regard investigateur ; des riens si l'on veut. Mais autant d'anomalies qui imposent chez Hal Jeffries une conviction : le locataire du quatrième a tué sa femme. Reste à tendre un piège pour obtenir une preuve qui persuadera la police. Et Hal (que l'on n'imagine plus autrement que sous les traits de James Stewart) va se retrouver dans la situation du chasseur chassé. Cloué sur place par sa jambe plâtrée, à la merci d'un assassin... C'est ainsi que, d'un menu détail à l'autre, va se tendre l'atmosphère de Fenêtre sur cour, cette nouvelle qui a fourni à Alfred Hitchcock le sujet de l'un de ses plus fameux films. Histoires de vengeance et de malchance ; humour rieur ou noir ; histoires de fatalité : tous les talents de William Irish sont représentés dans les huit nouvelles qui forment ce recueil.
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Une chance sur mille d'en réchapper. Quatre heures pour se libérer. ELLE n'a pas le courage de partir sans lui. LUI ne peut quitter New York tant qu'il n'a pas retrouvé l'auteur d'un crime dont toutes les circonstances concourent à le charger. Les jeux semblent faits. La nécessité absolue de gagner l'aube de vitesse, s'ils veulent continuer à vivre, lance les deux jeunes gens dans une série d'aventures à vous glacer le sang...
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William irish (1903-1968) occupe une place à part parmi les écrivains de romans policiers.
Maître du suspense et de l'angoisse, il est le peintre de l'inquiétude, de la névrose, de la sournoiserie du destin qui broie les êtres - ou les sauve. désormais classique, son oeuvre a inspiré des cinéastes tels que hitchcock (fenêtre sur cour) ou truffaut (la mariée était en noir, la sirène du mississippi) qui ont toujours revendiqué leur dette à son génie.
" l'oeuvre de william irish donne l'impression de s'écouler entre chien et loup, de dégager cette poésie un peu désespérée qui s'attache aux heures blafardes et d'arborer la couleur des cauchemars.
C'est sans doute pour cela qu'on a surnommé son auteur l'edgar poe du xxe siècle. " (jacques baudou).