Filtrer
Rayons
Support
Éditeurs
Langues
Rouergue
-
Réédition du premier roman de Rachel Corenblit, paru il y a dix ans. Dans ce roman historique sur le conflit entre Israël et la Palestine, toujours d'actualité hélas, Rachel Corenblit nous fait revivre soixante ans d'histoire du Proche-Orient, de 1942 à 2006. L'originalité de ce roman est de nous donner à voir la complexité de l'Histoire au travers des regards subjectifs de quatre enfants, puis de jeunes adultes. Rachel Corenblit, qui a vécu à Jérusalem, s'est inspirée de destins familiaux.
-
Six filles de seize ans, sélectionnées pour leur beauté, constituent le casting d'une émission de télé-réalité, « La Plus Belle de Toutes ». Six jours de cohabitation forcée et filmée, avec, au final, l'élection de La Plus Belle ! Mais alors que la production de l'émission a mis en place des scénarios explosifs pour faire de l'audience, les six filles finissent par s'unir pour déjouer leur goût du scandale et du ridicule. Rachel Corenblit dévoile l'envers du décor...
-
Depuis son entrée en seconde, Angela vit un déluge de malheurs ! Réputation foutue au lycée, divorce des parents, mort du chat, ultra-trahison de sa meilleure copine, vacances en Ariège chez son papi etc. En une série de scènes hilarantes, Rachel Corenblit nous raconte le quotidien de cette gentille boulotte qui ne mérite vraiment pas son sort. Mais le plus grand des romans ne s'appelle-t-il pas Les Misérables ?
-
Durant une année, le quotidien d'une jeune enseignante de primaire, Emma, nommée dans d'un quartier populaire, confrontée à des enfants en grandes difficultés scolaire, affective, sociale. Elle s'attache notamment à Ryan, un garçon dont on va progressivement découvrir la maltraitance. Un roman d'une grande force, à la fois émouvant et politique, dans le meilleur sens du terme : quelle école et quelle société voulons-nous pour nos enfants ? Rachel Corenblit a été enseignante en primaire puis formatrice d'enseignants pendant dix-huit ans. Elle s'est inspirée de son expérience professionnelle pour écrire ce roman.
-
Adieu croquettes ! adieu caresses !
Rachel Corenblit
- Rouergue
- Boomerang
- 14 Septembre 2016
- 9782812611070
D'un côté, Pipou, gentil toutou qui en a marre ! Oui ! Marre d'être gentil ! C'est décidé, il va renouer avec sa vraie nature et redevenir sauvage. Ses ancêtres, les loups, ne seront pas déçus. Mais est-ce si facile de renoncer aux croquettes ? De l'autre côté, Pacha, matou costaud (ou gros selon le point de vue). Lui aussi est décidé à prendre exemple sur ses ancêtres, les tigres, et ça va être un carnage (s'il arrive à passer la chatière). Mais est-ce si facile de renoncer aux caresses ?
-
Angela, le personnage du précédent roman de Rachel Corenblit, «Que du bonheur !,» revient en saison 2. Pendant qu'elle redouble sa Seconde, sa mère devient lesbienne, son père végan, et son grand-père ardéchois chéri meurt. Mais le pire de ses malheurs : être poursuivie durant toute l'année par un garçon appelé Félix, un boulet pot de colle qui est tombé amoureux d'elle... Mais, comme on le sait, Félix signifie... bonheur ! Humour et petits dessins à toutes les pages !
-
Déprimée, la mère d'Antoine décide de l'envoyer vivre chez son père dans le Sud, le temps de se refaire une santé financière et une santé tout court. Mais comment va-t-il supporter de cohabiter avec la nouvelle femme de son père, Hélène, et surtout sa fille, Abigaël, qui a exactement le même âge que lui ? Pour couronner le tout, Abigaël, qu'on dit partout être sa demi-soeur - alors qu'elle est noire, son père étant Africain - a tout de la pimbêche intello, première en tout, et dont le sujet de discussion favori est. la fin du monde !
La fin du monde justement. Météo France a lancé une alerte rouge sur la région, mais ce qu'Antoine entend, c'est que le collège est fermé. Très vite la situation dégénère : coups de tonnerre, vent, pluie et grêle. Seuls à la maison, les deux ados, sans électricité ni téléphone, doivent faire face, alors que le niveau de l'eau monte très vite, emportant tout sur son passage. Seuls, ils ne le sont cependant pas tout à fait. Car cette « fin du monde », ils vont la vivre à quatre, avec deux autres habitants de cet impasse. Le fils des voisins, Bertrand, 35 ans, un marginal avec lequel Antoine a sympathisé.
Qui va sauver une vieille dame solitaire, Madame Yollande, renversée par une vague alors qu'elle tentait de sortir de chez elle. Les « quatre petits cochons », comme dit Antoine, affrontent ensemble la montée dramatique des eaux, et dans cette adversité vont se révéler et se rapprocher. À la lecture du résumé, on pourrait s'attendre à un dacOdac vraiment très noir. Mais il faut faire confiance à Rachel Corenblit pour raconter cette aventure avec la verve, l'humour qui la caractérisent et en faire une très belle histoire de courage et d'amitié entre quatre personnages très différents
-
Elle n'a pas encore seize ans, mais elle fait tout comme.
Quand elle s'installe dans la salle de cinéma à la première séance, pour échapper aux vacances pourries chez sa grand-mère, elle ne sait pas que " les scènes particulièrement violentes qui pourraient heurter sa sensibilité ", ce n'est pas seulement sur l'écran. " Ce n'était peut-être pas une si bonne idée de venir ici. Et puis, je n'aime pas vraiment les films d'horreur. Le sang partout, les cris, les filles qu'on poursuit dans les labyrinthes.
Mais je n'ai jamais vu de films interdits aux moins de seize ans. "
-
Même pas peur Qu'est-ce qui peut bien faire peur à Joseph ? Les loups, les ogres, les monstres et les vampires le tordent de rire. C'est comme un super pouvoir :
Rien ne lui fait peur. Au contraire, il adore inventer et raconter des histoires horribles, à faire grimper les maîtresses aux rideaux ! À l'école, sa maîtresse l'appelle d'ailleurs Monsieur la Terreur : Joseph a réussi à faire pleurer Leïla, la plus jolie fille de la classe et à terroriser Alexandre, le plus costaud de la cour de récré, qui gagne toujours au foot... Pourtant, Jospeh préférerait faire sourire Leïla (comme quand elle regarde Alexandre gagner au foot) plutôt que la faire pleurer :
Mais ça, c'est une autre histoire !
La pire histoire qui fait peur Quel est ce livre ridicule avec une couverture rose que sa soeur a oublié sur son bureau ? Joseph l'ouvre avec un sourire de dédain, jusqu'à ce qu'il découvre avec horreur l'histoire la plus terrifiante qu'il ait jamais lue ! L'histoire d'un petit garçon nul en foot qui aimerait bien attirer l'attention de la plus jolie fille de sa classe. C'est effroyable comme cette histoire ressemble à celle de Joseph. Puis, quand le petit garçon écrit des poèmes d'amour anonymes à la plus jolie fille de la classe, il en a carrément des suées froides.
Car Joseph sait maintenant ce qui le terrorise : les histoires d'amour !
Après Ceux qui n'aiment pas lire, voici l'histoire d'un enfant qui adore lire des histoires d'horreur. Deux textes pleins d'humour sur la peur. et sur l'amour !
-
Quarante tentatives pour trouver l'homme de sa vie
Rachel Corenblit
- Rouergue
- 1 Avril 2015
- 9782812608629
Depuis trois ans, Lucie vit seule, après avoir choisi de quitter son compagnon. La solitude lui pèse et, à l'approche de la quarantaine, cette enseignante du primaire cherche à se recaser, en multipliant les occasions de rencontre. On suit donc cette Toulousaine dans ses quarante tentatives, des plus traditionnelles aux virtuelles : Lucie cherche un homme au supermarché, à la piscine, dans le bus, chez le médecin, dans un séjour spécial célibataire en Tunisie, etc. Lucie drague l'ex de sa meilleure copine, teste cette légende selon laquelle les pères de famille sont de « bons coups ».
Ce portrait de femme à la recherche de l'amour pourrait déprimer par sa banalité, mais Rachel Corenblit sait jouer de toutes les situations avec un humour féroce et un trait rageur. Cette « extension du domaine de la drague », revisitation des lieux communs sur la solitude contemporaine et les rapports hommes-femmes, est racontée avec drôlerie, cynisme, et parfois désespoir.
-
Le sujet de la collection "à la petite semaine" est à chaque fois double : ici on confronte la philosophie et la cuisine maternelle. Chaque jour, pendant toute une semaine, la jeune narratrice écoute avec ennui mais finalement une certaine attention la science que rapporte son aînée du lycée. Dans toute cette complexité, elle interprète ces notions à sa manière, en écho à son quotidien. Le duo Rachel Corenblit/Cécile Bonbon s'en donne à coeur joie, donnant par leur confrontation un nouvel angle de vue sur ces disciplines "obscures" abordées avec légèreté, "à la petite semaine".
-
Qui est Alex, ce mec trop blond, trop maigre, trop grand, trop mal fringué, trop largué, qu'on a trouvé dans le cagibi à poubelles ? Dix-sept filles et femmes répondent. Alex, c'est le type même du gars qu'on ne remarque pas au lycée, dit l'une. Il va devenir un homme magnifique, dit l'autre. Et si c'était un poète ? demande celle qui est secrètement amoureuse de lui. Ou bien un grand dadais qui trimballe sa misère ? Trop mignon, quand même, elles pensent toutes. Laquelle d'entre elles lui redonnera le goût des baisers ?
-
Les enquêtes de Nola et sa bande ; le mystère Orwitz
Rachel Corenblit, Cécile Bonbon
- Rouergue
- Dacodac
- 3 Juin 2020
- 9782812619700
Nola a une bande, une super bande ! Il y a Louis et Amadeo, ses deux meilleurs copains. Sans oublier Dago, son chat hyper intelligent, auquel il ne manque que la parole... À eux quatre, ils sont invincibles, rien ne leur résiste ! Mais le jour où une nouvelle voisine emménage, tout va basculer. Car le professeur Orwitz, aussi mystérieuse que jolie, semble avoir de nombreux secrets et la bande est bien décidée à découvrir ce qu'elle cache ! Un roman illustré en couleurs pour les jeunes lecteurs avides d'aventure et d'action !
-
Ceux qui n'aiment pas lire
Rachel Corenblit, Julie Colombet
- Rouergue
- Zig Zag
- 26 Février 2011
- 9782812601798
La mère de Samuel ne cesse de le répéter : « Mon fils n'aime pas lire ». Elle l'a déjà dit à la voisine, la coiffeuse, le dentiste, la postière et même le chat. Samuel n'est pas de cet avis, d'abord il lit des bandes dessinées et puis, ce n'est pas qu'il n'aime pas lire, c'est surtout qu'il n'aime pas qu'on lui dise quoi lire et quand. Malgré ses protestations, elle l'oblige à passer ses mercredi après-midi à la bibliothèque. Pour Samuel, trop c'est trop, il est temps d'entrer en résistance, en créant avec sa bande « le club de ceux qui n'aiment pas lire ». Première action, saper le moral des parents, et tous les coups sont permis. Mettre du chocolat dans les pantoufles, de la farine dans le lit, de la terre dans le café... Deuxième action :
Prendre d'assaut la bibliothèque et se barricader à l'intérieur.
Une fois seuls, les enfants s'en donnent à coeur joie. Les étagères tombent, les livres s'envolent... Mais la révolte se termine bientôt :
Les adultes parviennent à rentrer, les enfants sont séparés et le carnage de la bibliothèque laisse place à l'interrogation des parents.
Pourquoi leurs bambins se sont-ils laissés aller à de tels actes ? Et surtout, comment faire pour que les mots se mettent enfin à leur chanter des histoires ?
-
Après la Philosophie et les Maths... une nouvelle matière « à la petite semaine », le Français.
En voiture ! Sur deux grands axes où se mêlent écart de conduite et de langage. Tunnel, stress, embouteillages pour un parcours où seuls fusent quelques noms d'oiseaux.
Le sujet est double, le trajet quotidien en voiture prend les contre-allées pour nous entrainer dans les grands mystères du français.
Il est même possible avec un papa énervé au volant de trouver un brin de douceur et de poésie dans tout ce trafic !
Aux textes vifs et drôles de Rachel Corenblit répondent les illustrations foisonnantes de Cécile Bonbon.
Un très bon mélange ici aussi pour aborder une nouvelle « discipline » sans être trop discipliné.
-
Attention à Lili ! C'est la terreur de la cour de récré. Il ne faut surtout pas lui dire un mot de travers. Ou raconter qu'elle est amoureuse... Parce qu'elle tape fort et fait pleurer même les durs ! Il n'y a qu'avec son grand-père qu'elle se calme. Il lui explique la politique. C'est des histoires de bagarre, aussi, la politique. Comme cette d'histoire d'Aslan, le nouveau de la classe, qu'on veut renvoyer dans son pays. Ça, c'est une bonne raison pour se bagarrer !
-
Un recueil de huit nouvelles, dans lequel Rachel Corenblit met en scène des adolescents à la recherche d'eux-mêmes. Depuis le premier baiser jusqu'à la mort du père, des situations plus ou moins dramatiques, traitées avec une vivacité de l'écriture et un regard décalé souvent humoristique, qui donnent à ses nouvelles une tonalité plus légère. Pour les grands ados.
-
Après la Philosophie et les Maths... une nouvelle matière « à la petite semaine », l'Histoire.
Cette fois-ci, c'est « délocalisation » nature chez Papi avec le cousin Jules et son ballon de rugby.
Retour aux sources total, cela commence par le bain de boue préhistorique du lundi, cela continue jusqu'au dimanche pour un parcours dans les allées d'un jardin jalonné de références historiques.
Le jardin et l'Histoire sont les dadas de ce grand-père qui a la main verte, le coeur un peu rouge et un langage relativement fleuri.
Aux textes vifs et drôles de Rachel Corenblit répondent les illustrations foisonnantes de Cécile Bonbon.
Un très bon mélange ici aussi pour aborder une nouvelle « discipline » sans être trop discipliné.
-
Tous les papas ont un métier : coiffeur, plombier, informaticien, vendeur de pizzas...
Mais parfois, les papas ont des métiers pas ordinaires. Celui de Magnolia, par exemple. Il travaille dans les bals. Il s'habille d'un costume brillant et chante comme Claude François. Et celui de Paolo, eh bien... il est prisonnier. C'est un drôle de métier. Avant, pourtant, le père de Paolo était le plus fort. Surtout pour les blagues.
-
Le sujet de la collection "à la petite semaine" est à chaque fois double : ici on fait se croiser les mathématiques et l'amour. Chaque jour, pendant toute une semaine, la jeune narratrice écoute un de ses camarades de classe lui expliquer les notions de mathématiques. Qui sait si de ces notions scientifiques ne vont pas découler quelques sentiments plus personnels ou amoureux. Le duo Rachel Corenblit/Cécile Bonbon s'en donne à coeur joie, donnant par leur confrontation un nouvel angle de vue sur ces disciplines "obscures" abordées avec légèreté, "à la petite semaine".