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Milady
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« Aucun écrivain [...] n'a traité le problème de l'alcoolisme avec une telle maîtrise. » Radio Télévision Suisse Romande Pierre a vingt-quatre ans et il boit.
Beaucoup.
Comme son père. Comme sa mère. Morts, tous les deux. Il est « né dans le piège », n'a connu que des coups durs et la solitude du taudis que ses parents lui ont laissé en héritage. Les habitants de son village, ses amis, rient de lui et s'amusent à lui fournir toujours plus d'alcool. Pour supporter tout ça, il faut avoir les épaules solides, et Pierre est un gringalet.
Le combat est inégal.
Un arrêt de travail lui laisse le temps de rêver à une autre vie, de saisir une chance de s'en sortir et la main que lui tend son beau-frère. Enfin, on lui fait confiance, on ne se moque pas de lui.
Samedi, Pierre va fêter ça...
« Aucun écrivain [...] n'a traité le problème de l'alcoolisme avec une telle maîtrise. [...] Un récit poignant, angoissant, bouleversant, qui n'est hélas que trop vrai. [...] Pierre Pelot a retrouvé pour traiter ce thème, pour décrire les personnages qui gravitent autour de Pierrot, pour peindre des scènes de la vie quotidienne, des paysages, des décors, sa plume des grands jours, un style vivant, rapide, concis, imagé, sans bavure, sans laxisme, sans vulgarité, inimitable. » Radio Télévision Suisse Romande « Un document "réaliste" et dur. » La Vie « Impitoyablement, l'auteur a tout décrit. Le monde des petites gens, l'accident, les tentatives de s'en sortir, la rechute, le retour au point de départ ! Au point zéro ! Avant de refermer le piège. Définitivement. » Les Dernières Nouvelles d'Alsace « Une histoire simple, une tranche de vie remplie de tristesse et d'amertume. Pierre Pelot a encore su viser juste et parvient à nous toucher. » Les Nouvelles littéraires -
« Un très beau récit et des dialogues étonnants de naturel. » Lire 14-18, la Grande Guerre.
Les planqués, les déserteurs, les lâches, sont-ils des hommes dignes d'être aimés ? Que valent les règles des adultes pour l'enfant qui pousse en liberté ?
Simon, sept ans, vit avec passion les histoires que lui raconte Brice, le colporteur, le voyageur. Celui qui s'en vient un jour, qui demeure pour quelque temps magique, repart en direction de rien, au hasard de ses pas. Pour revenir plus tard, chargé d'images et de souvenirs colorés...
Brice, qui vend des aiguilles et du fil, couche dans les fossés... Brice, qui est resté un an à la maison, pour travailler aux champs, pour faire tout ce que ne pouvait faire son père - puisque son père, lui, faisait la guerre.
Mais en 1920, tout le monde ne partage pas l'émerveillement de Simon, et Brice, l'homme libre qui refuse l'usine et la guerre, le déserteur, n'est pas un héros aux yeux des autres. Loin s'en faut...
Un roman magnifique sur l'honneur, la rébellion et l'enfance. Pierre Pelot dresse un tableau juste et touchant des illusions du jeune âge et de la puissance des convictions.
« Je suis d'la mauvaise herbe, Braves gens, braves gens, C'est pas moi qu'on rumine Et c'est pas moi qu'on met en gerbe...
La mort faucha les autres, Braves gens, braves gens, Et me fit grâce à moi, C'est immoral et c'est comm' ça ! » Georges Brassens « L'auteur a merveilleusement décrit ce personnage marginal, épris de liberté, qui refuse les villes-prisons, l'usine-caserne et la guerre. [...] Un très beau récit et des dialogues étonnants de naturel. » Lire -
Bien plus qu'un simple fait divers, un poignant drame humain, adapté à la télévision. À la sortie d'un bal, un jeune homme en tue un autre. Accident, vengeance ? Après 10 ans de prison, de retour pour voir un enfant qu'il avait eu avec une fille du pays, Lou est en butte à l'hostilité de ses anciens amis et à la haine des frères de l'homme qu'il a tué. Il retrouvera pourtant un ami à ses côtés... Le seul auquel il n'avait pas pensé en retournant chez lui... Face à la brutalité, le salut se trouverait-il au loin, au Canada ?
"Le Pain perdu, ce sont les images d'une enfance terriblement lointaine. C'est le passé qu'il ne faut pas chercher à réveiller." Pierre Pelot