L'incroyable aventure d'un jeune orphelin destiné à devenir moine taoïste, traversant les mers à bord d'un cargo chargé de kiwis vers les rivages français. Hanté par l'idée d'apprivoiser le grand Océan, il espère que celui-ci répondra à la question qui le taraude:comment vivre quand on a perdu tout ce que l'on aimait? Sans relâche, il se confronte aux éléments, se heurte aux vagues, à ses doutes, à son chagrin. L'eau et le ciel, la foi et la nature, l'Orient et l'Occident se confondent. Au pied du Mont-Saint- Michel, il entreprend le plus grand des voyages, une odyssée intime, celui de l'aventure du soi.Dans le sillage des récits bibliques, de la sagesse taoïste et des philosophies antiques, Diane Ducret nous livre un roman en forme de conte philosophique. Le Maître de l'Océan est le livre de la grande consolation de la mer en nos temps troublés.
Depuis des années, on entend grogner la révolte sur le Vieux Continent. Quand soudain, un violent orage éclate. Une femme se lève parmi la foule.
Munich, novembre 2023, une manifestation populaire. Aurore Henri se saisit d'un pavé et le lance au visage d'un chef d'État. Derrière son regard bleu magnétique, une volonté d'acier, un espoir fou : guérir les hommes de leurs tendances destructrices, bâtir une société nouvelle où régneraient la paix et l'harmonie.
Diane Ducret nous livre une vision infiniment romanesque d'un Occident qui sombre dans le chaos et trouve son nouveau guide en une femme à l'ambition démesurée.
La meilleure façon de marcher est celle du flamant rose Après avoir été quittée par téléphone, Enaid se rend à l'évidence : les fées qui se sont penchées sur son berceau ont dû s'emmêler les pinceaux. Comment expliquer, sinon, la sensation qu'elle a depuis l'enfance qu'il lui a toujours manqué quelqu'un ? Mais dans la vie, on a le choix : on peut se laisser choir ou faire le saut de l'ange. Être boiteux ou devenir un flamant rose. Sur ses jambes fragiles, tenir en équilibre avec grâce par le pouvoir de l'esprit, un humour décapant et le courage de rester soi. Comment s'aimer soi-même quand la vie fait tout pour l'empêcher ?
Un cabaret dans un camp au milieu des Pyrénées, au début de la Seconde Guerre mondiale. Deux amies, l'une aryenne, l'autre juive, qui chantent l'amour et la liberté en allemand, en yiddish, en français... cela semble inventé ! C'est pourtant bien réel. Eva et Lise font partie des milliers de femmes "indésirables" internées par l'Etat français. Leur pacte secret les lie à Suzanne "la goulue", à Ernesto l'Espagnol ou encore au commandant Davergne.
A Gurs, l'ombre de la guerre plane au-dessus des montagnes, le temps est compté. Il faut aimer, chanter, danser plus fort, pour rire au nez de la barbarie.
Une jeune femme quitte Paris pour rejoindre son nouveau compagnon qui vit au Canada. Surmontant sa peur de l'engagement et sa phobie des avions, elle fait le voyage mais se retrouve rapidement confrontée à une série d'épreuves : l'arrivée du fils de 5 ans, une sortie en chiens de traîneau qui vire au cauchemar ou encore une ancienne compagne trop présente.
Une histoire de la manière dont le sexe féminin a été représenté par les artistes, les théologiens, les médecins ou les femmes elles-mêmes, depuis l'Antiquité, ainsi que les enjeux sociétaux et politiques qui en ont découlé. L'auteure aborde notamment les thèmes de la virginité, des jouets sexuels, de l'anatomie, des superstitions, de l'épilation, des ceintures de chasteté, etc.
« Il est un lieu précis de l'existence où l'ombre et le corps se rejoignent. Ce moment-là il faut le saisir, marcher face au soleil, mettre le pied à l'étrier qui s'offre à vous, triompher de la gravité, galoper sans soucis de gloire ou de fortune, à l'ère mécanique ne pas aller bien vite peut-être, mais libre. » Il est des rencontres dont la chaleur suffit à emplir toute une vie et dont le deuil vous laisse estropié à jamais.
On peut vous dire à quinze ans que vous ne remarcherez jamais plus, et se retrouver pourtant à trente debout sur un cheval au galop, dont le corps sacré et vibrant vous guérit de ces années de désespoir. Telle est la vertu de l'alliance millénaire entre l'homme et sa plus noble conquête, où brillèrent Bellérophon et Pégase, Alexandre et Bucéphale, comme d'autres couples mythiques évoqués ici en miroir d'une destinée d'aujourd'hui.
Le cheval y est la métaphore du retour à l'enfance, de la douleur éprouvée et surmontée, du refus de la fatalité.