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Christophe Meignen
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« Toujours sous ses gardes, Raphaël aimait se laisser glisser dans la forêt. Là, il était en paix. Il y trouvait tout ce qu'il cherchait. Le calme, la sérénité, l'échange entre la nature et l'homme. Tout s'y trouvait. Il manquait juste un feu pour y installer son mini camp de base. Quand il le pratiquait, il n'aimait pas être vu, entendu ou bien même aperçu. ».
A ce très prochain naufrage.
« Ce que je sais, c'est que tes refrains me manqueront. Je plongerai dans l'enfer. Je ne suis pas content de partir. A cette fuite d'amour. Je suis là, chaque matin à regarder la vie qui vient et qui s'en va. Avec mon coeur déchiré. Le vent ne me fait plus peur. ».
Je navigue entre deux pôles.
« Je ne savais où aller pour te trouver. J'étais en permanence en fuite. Les moments, les instants, les jours, les heures sans ton odeur, en devenaient pénibles, atroces. Je négligeais le jour et tout ce qu'il contenait quand tu n'en faisais pas partie. J'étais en feu, en rage, en colère, dévasté. Je n'étais plus tout à fait moi. Je me perdais, je m'efforçais de tenir en ton absence. ».
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Dans ce recueil de poèmes, l'auteur se livre sur son intérieur. Les mots sont pour lui le moyen de se sentir libre, apaisé, tel un oiseau. De cet oiseau qui s'envole, il en dessine un décor, y surplombe des couleurs. Il cherche à se faire aimer, apprécier, mais tombe si souvent. Il aimerait tant qu'on le remarque. Qu'on lui dise, je te vois, je suis là, ne t'en fais pas.
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« J?ai posé ces quelques mots sur papier, afin de me sentir libre et non attaché, suspendu à des êtres hagards et sans pitié. Sans mes mots, je ne suis rien, je ne respire pas, je ne vis pas. En leur compagnie, je me sens libre, apaisé et non plus démuni. Je suis comme un oiseau qui cherche sans relâche à trouver, à identifier la porte du Bonheur. Parfois, il me semble la trouver, quelques fois, je recule. Mais toujours, je reste suspendu à cette attente à cet appel. Lui, moi, si solitaire. De cet oiseau qui s?envole, j?en dessine un décor. J?y surplombe des couleurs. J?y invente des mélopées. Lui, cet oiseau, c?est moi. Il cherche à se faire aimer, apprécier, mais tombe si souvent. Il aimerait tant qu?on le remarque. Qu?on lui dise, je te vois, je suis là, ne t?en fais pas. » Christophe Meignen.
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"J?ai posé ces quelques mots sur papier, afin de me sentir libre et non attaché, suspendu à des êtres hagards et sans pitié. Sans mes mots, je ne suis rien, je ne respire pas, je ne vis pas. En leur compagnie, je me sens libre, apaisé et non plus démuni. Je suis comme un oiseau qui cherche sans relâche à trouver, à identifier la porte du Bonheur. Parfois, il me semble la trouver, quelques fois, je recule. Mais, toujours, je reste suspendu à cette attente, à cet appel. Lui, moi, si solitaire. De cet oiseau qui s?envole, j?en dessine un décor. J?y surplombe des couleurs. J?y invente des mélopées. Lui, cet oiseau, c?est moi. Il cherche à se faire aimer, apprécier, mais tombe si souvent. Il aimerait tant qu?on le remarque. Qu?on lui dise, je te vois, je suis là, ne t?en fais pas. " L'auteur
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Je navigue entre deux pôles « Sans ta lumière, je disparaissais nuit après nuit, jour après jour. Tu étais mon élan, ma raison, ma maison, ma respire. Avec toi ou sans toi, ce n?était plus tout à fait la même chose, la même personne. Avec toi ou sans toi, j?étais en naufrage. Je me perdais, je me noyais, je me? » Ma chevelure « Le temps d?un instant, tu était devenu ma poupée que je confectionnais, à laquelle je prenais soin. Où je te confectionnais du mieux que je pouvais sans pour autant vouloir te vexer, te blesser. Mon but, en le faisant, était d?identifier mon interlocuteur. Avoir une image de celui à qui je voyais, que je regardais en cachette. Derrière ce mur, tu étais bien caché. » Toi, je t?aimais « Toi je t?aimais, tu t?es enfui un vendredi d?été. Tu ne t?es pas retourné. Tu m?as laissé seul avec mon chagrin, ma solitude, ma peine, ma tristesse. Tu me maîtrisais jusqu?au plus haut point. »
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Je t?attendais comme un enfant qui court au vent. Survenu de nulle part. Qui cherche, mais qui ne trouve pas de réponse. Moi, je rêvais en solitaire, comme un homme rêve à une femme. Je conduisais, l?air évasif, effacé, troublé par tes pas. Ma quiétude me faisait peur, me jouait des tours. Cependant, je roulais doucement dans ma voiture en espérant apercevoir ton visage. Sans pour autant être sûr de t?apercevoir. C?était toi qui me faisais avancer, qui me transmettais une force insoupçonnée, elle qui m?envahissait. C?était comme un envoûtement. Je sais que c?était toi qui me la transmettais. Sinon, d?où venait-elle ? C?était au bord de la plage, en été. Le soleil illuminait la journée. C?était vraiment plaisant de s?y promener. Quelques mouettes s?y trouvaient en quémandant de la nourriture par-ci par-là. Les touristes avaient pris place avec leurs serviettes, leur crème solaire. Les parasols coloraient l?ensemble.
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Ce deuxième livre raconte l?émotion que j?éprouve vis-à-vis de l?être aimé. Pas évident d?évoquer, de livrer, de partager ce témoignage. Il faut pour cela réussir à tenir la distance entre lui et la plume. Ce que je ressens au plus profond de moi, je n?arrive pas à le faire sortir, à le faire dire. J?ai comme une boule qui me ronge de l?intérieur. Pire que le feu, pire que la mort. Sans l?amour que j?ai et qu?il me renvoie, j?étouffe, je ne vis plus. Je manque d?air. Sans sa présence, je n?existe plus. Cet homme, je l?aime, il fait partie de moi, de mon univers. Pour moi, il est indispensable que je lui montre, lui fasse parvenir mon plus beau sourire. Mon plus tendre paysage, ma lumière quand je me perds, c?est à lui que je le dois. Et rien qu?à travers sa vie, bien plus que tout au monde. Je tenais à le faire pour lui transmettre l?amour que j?ai pour lui. Pour moi, l?homme qui partageait ma vie est tout pour moi. Je n?ai même pas de mots plus forts que le mot : je t?aime, pour lui exprimer mon amour. Je tenais à lui témoigner mon intense, si fort et si grand amour, que j?ai pour lui. Et de part la même occasion, qu?il sache, que je suis fier, de ce qu?il est, de ce qu?il émane. Tout ce qu?il fait pour moi est un nouveau voyage.
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J?ai posé ces quelques mots sur papier, afin de me sentir libre et non attaché ; suspendu à des êtres hagards et sans pitié. Sans mes mots, je ne suis rien, je ne respire pas, je ne vis pas. En leur compagnie, je me sens libre, apaisé et non plus démuni. Je suis comme un oiseau qui cherche sans relâche à trouver, à identifier la porte du Bonheur. Parfois, il me semble la trouver, quelques fois, je recule. Mais toujours, je reste suspendu à cette attente, à cet appel. Lui, moi, si solitaire. De cet oiseau qui s?envole, j?en dessine un décor. J?y surplombe des couleurs. J?y invente des mélopées. Lui, cet oiseau, c?est moi. Il cherche à se faire aimer, apprécier, mais tombe si souvent. Il aimerait tant qu?on le remarque. Qu?on lui dise : je te vois, je suis là, ne t?en fais pas.
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Il était âgé de dix-huit ans et moi de seize ans et demi. Nous nous aimions, comme la rivière qui coule, celle qui donne vie. Un jour, une absence de l’autre, nous faisait peur. Un sourire de l’un, un battement de cūur. Un mot d’amour, c’était le soleil qui entrait. Lui, il s’appelait Etienne Villard, de son vrai nom. C’est la première fois de ma vie, que j’inscris son nom de famille sur papier, à la suite de son prénom. Pour moi, c’est encore difficile de repenser à lui. Ma plaie n’est pas cicatrisée, elle ne le sera jamais. La nuit, je veille pour lui, je prie pour lui. Tout ce que j’entreprends, je le fais en son honneur. En le faisant, je lui prouve mon amour, mon attachement. Il fait partie intégrante de ma vie. Il vit en moi, comme je vis en lui. Mon amour pour lui est si grand que je serais prêt à me tuer, s’il me le demandait de là où il est. J’aimerais tellement être à ses côtés en ce moment. C’est trop injuste ce qui se déroule à l’heure actuelle.
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« Qui regarde à l'extérieur rêve. Qui regarde à l'intérieur s'éveille. » Christophe Meignen a fait sienne cette maxime de Carl Jung et avec ses poèmes se libère d'autrui.
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J'écris depuis l'âge de douze ans. À cette époque-là, j'avais besoin du soutien de ma plume pour me sentir épanoui. J'avais un réel manque en moi que j'ai réussi à combler grâce à l'écriture. Mes écrits, mes mots sont mon mode d'expression. J'écris afin de me libérer et livrer mes messages au monde qui m'entoure. Mais aussi pour me prouver que je suis vivant et non un vagabond, qui marche sans relâche et se cherche en vain. J'aimerais faire partager mes émotions et livrer une partie de moi au travers de mes écrits.
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à cet héritage sans fuite et sans bonheur...
Christophe Meignen
- Edilivre
- Classique
- 9 Janvier 2015
- 9782332548689
J'écris depuis l'âge de douze ans. À cette époque-là, j'avais besoin du soutien de ma plume pour me sentir épanoui. J'avais un réel manque en moi que j'ai réussi à combler grâce à l'écriture. Mes écrits, mes mots sont mon mode d'expression. J'écris afin de me libérer et livrer mes messages au monde qui m'entoure. Mais aussi pour me prouver que je suis vivant et non un vagabond, qui marche sans relâche et se cherche en vain. J'aimerais faire partager mes émotions et livrer une partie de moi au travers de mes écrits.
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Christophe Meignen est quelqu'un de très gentil et agréable. C 'est un auteur passionné.
J'ai découvert une plume très sentimentale, très sensuelle, pleine de sens émotionnels, amoureuse, très fluide. Ces nouvelles sont pleines de poésie dans les mots qu'il a choisis. Il utilise un lexique très pesant dans le domaine de l'amour, del'espoir.
Je l'ai faite durer et rouler sous mes yeux pour pouvoir l'apprécier pleinement comme on prend le temps de découvrir une oeuvre dans ces moindres détails, même les plus sombres. Ce livre, cet ouvrage, aborde des sujets très en phase avec le personnage que Christophe Meignen m'a montré. Je pense que c'est un écorché vif et j'aime ce genre de personnes car elles ont souvent une histoire bien remplie pour en arriver a écrire de telles choses. Pour ceux qui seraient intéressés, je vous conseille ce livre.
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