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Contes de la folie ordinaire
Charles Bukowski
- Le Livre de Poche
- Litterature
- 9 Février 1983
- 9782253031338
Toutes les histoires de Bukowski sont aussi vraies qu'infectes et, en cela, font honneur à la littérature : il raconte ce que les autres enjolivent et dissimulent. Le sexisme, la misère du quotidien, la violence et les sentiments de ceux qui se curent le nez. Et c'est pour ça qu'il gêne : il parle à tout le monde.
Jean-François Bizot.Bukowski est un écrivain considérable. Un homme en marche. Un homme étincelant. Avec l'énergie du désespoir, il secoue comme un vieux sac notre civilisation fin xxe siècle. Et ce qui tombe n'est pas joli, joli.C'est brutal.
Claire Gallois, Le Figaro. -
Journal d'un vieux dégueulasse
Charles Bukowski
- Le Livre De Poche
- Litterature
- 25 Février 1998
- 9782253143840
C'est en 1967, dans le magazine anticonformiste Open City, qu'un poète presque inconnu commença de publier une chronique régulière. Avec une brutalité rarement égalée, doublée d'une superbe indifférence au scandale, il y exprimait sa révolte contre la société américaine, le pouvoir, l'argent, la famille, la morale. L'alcool, le sexe, les échos d'une vie marginale et souvent misérable y étaient brandis comme autant de signes de rupture...
Depuis lors, l'auteur des Contes de la folie ordinaire, d'Au sud de nulle part, de Pulp, disparu en 1994, est devenu célèbre. Ce Journal, ici édité dans une nouvelle traduction et dans sa version intégrale, n'est pas seulement un des sommets de son oeuvre, c'est un classique de la littérature contestataire, qui conserve, aujourd'hui encore, toute sa fraîcheur. -
Henry Chinaski, le double de Bukowski, est devenu célèbre, et les femmes lui tombent dans les bras...
Henry Chinaski, c'est Bukowski lui-même, un écrivain alcoolique et grand amateur de femmes.
Elles défilent dans ce récit, véritables créatures felliniennes : Lydia Vance qui se révèle d'une jalousie féroce, Mercedes la capiteuse, Dee Dee la mère célibataire, Joanna la camée, Katherine la Texane incendiaire, et bien d'autres encore ; les occasions pleuvent sur un poète en vogue ! La norme est triste pour Bukowski, alors vive les mots orduriers, l'ivresse et la débauche sexuelle ! Le célèbre auteur des Contes de la folie ordinaire crie à nouveau son mal de vivre, son désir sans cesse renaissant de tendresse et de sexe. -
Souvenirs d'un pas grand-chose
Charles Bukowski
- 10/18
- Litterature Etrangere
- 3 Mars 2022
- 9782264076274
L'autobiographie culte de Bukowski !
Dans Souvenirs d'un pas grand-chose, dédié à tous les pères , Bukowski passe sur le divan : il se raconte, sans délirer, tel qu'il fut, en commençant par le début. Un premier souvenir : Allemagne, 1922. Et puis c'est l'arbre de Noël, des bougies, des oiseaux, une étoile. Puis, l'Amérique. La Ford T de son père ; l'école où il découvre la violence, la cruauté, l'injustice. Trop de saloperies à avaler d'un seul coup.
Charles Bukowski fut le poète des gens ordinaires.
Le Figaro -
L'ultime pied de nez à la vie de Charles Bukowski.
Nick Belane, détective privé de son métier et alcoolique de carrière, a des problèmes. Tourmenté par une libido envahissante, un ego démesuré et des problèmes chroniques d'argent, il est vexé de ne se voir confier que des boulots absurdes par des cinglés. Chargé par un type de le débarrasser de sa maîtresse, qui se trouverait être un monstre de l'espace, il doit en parallèle rechercher Louis-Ferdinand Céline, qui serait contre toute attente encore en vie et en train de rôder dans les librairies de LA, pour une pulpeuse créature qui prétend n'être rien d'autre que la Mort elle-même...
Pour son tout dernier livre, paru quelques jours avant sa mort, en 1994, Bukowski rend un hommage déjanté et hilarant au roman noir.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Gérard GUEGAN -
Drôle, excessif, fantasque, féroce : le premier roman de Charles Bukowski.
Ça a commencé par erreur, c'étaient les fêtes de Noël et j'avais appris par le pochard en haut de la côte qu'ils embaucheraient carrément n'importe qui, alors j'y suis allé et sans avoir le temps de réaliser je me suis retrouvé avec une sacoche en cuir sur le dos à cavaler.
Depuis qu'il est postier, Henry Chinaski parvient tous les matins à traîner sa gueule de bois hors du lit pour aller distribuer d'énormes sacs de courrier à des citoyens peu reconnaissants, avant de revenir se mettre sous les ordres de vicieux chefs de services toujours prêts à le faire trimer, et à l'éloigner de sa sainte trinité : l'alcool, les femmes et les courses de chevaux.
Premier roman de Charles Bukowski, qui lui apporta la gloire à sa publication, en 1971, Le Postier, inspiré de sa propre expérience, est la meilleure porte d'entrée dans le monde de cet auteur légendaire, grand poète et vieux dégueulasse .
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Philippe Garnier. -
Les péripéties rocambolesques d'Hank, alter ego de Bukowski.
Hank Chinaski, un marginal solitaire et alcoolique chronique, raconte sa vie d'errance, de La Nouvelle-Orléans à Los Angeles, de New York à Philadelphie, passant d'un petit boulot à l'autre, d'une femme à l'autre, d'une bouteille à l'autre. Et Bukowski, via les pérégrinations de son alter-ego, bâtit sa légende. Cette litanie de boulots minables, de chambres sordides, d'étreintes glauques, de saouleries mornes, de bagarres d'ivrognes, de vexations, de rigolades, sera la matière inépuisable d'une oeuvre qui, avec sa vitalité consolante, sa folle énergie, ira jusqu'à brancher Hollywood.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Brice MATTHIEUSSENT -
Des nouvelles au cynisme cinglant, inspirées de la vie de Bukowski.
Avec Au sud de nulle part, des Contes souterrains publiés en 1973, Bukowski replonge à corps perdu dans sa folie ordinaire. Ou, plutôt, il mêle ses délires à ceux d'autres types, restituant ce qu'il a connu, vu, pigé, enregistré, et qu'il recrache aujourd'hui, comme des morceaux de bidoche hachée gros, presque saignante. -
UNE ANTHOLOGIE DE TEXTES SUR L'ÉCRITURE, LE QUOTIDIEN D'UNE VERITABLE LEGENDE AMERICAINE, ICÔNE DE LA CONTRE-CULTURE.
« Inestimable anthologie. » Macha Séry - Le Monde des livres.
« On redécouvre le poivrot céleste en amoureux du verbe grâce à cette délicieuse anthologie de lettres inédites, rédigées sur près de cinquante ans. » Amandine Schmitt - L'Obs.
« Il faut le lire. » Philippe Dijan - France Inter (Popopop). -
Nouveaux contes de la folie ordinaire
Charles Bukowski
- Le Livre De Poche
- Litterature
- 1 Mars 1985
- 9782253036210
«À quoi bon des poètes dans un temps de détresse ?» demandait Holderlin.
La réponse est dans Bukowski, dans une prose qui est l'une des plus dénonciatrices-accusatrices de ce temps. Et sans aucune issue proposée : le constat d'enfer nu, organique, brutal. Les «caprices» de Goya, en pleines phrases. J'ai lu quelque part que Bukowski était «rabelaisien». Mais non, il s'agit de quelque chose de beaucoup plus noir, de beaucoup plus simple et lisible, d'une inspiration beaucoup plus «théologique» sous un air d'anarchisme absolu. La civilisation, ou ce qu'il en reste, n'est pas du tout en train de «renaître» mais de se tasser, de se décomposer, de se décharger, et Bukowski n'a pas d'autre choix que de lui répondre du tac au tac avec le maximum de violence, à bout portant.
Philippe Sollers, Nouvel Observateur.
Par-delà le cauchemar de l'histoire existe la perfection de l'amour. L'orgasme et la folie sont la nouvelle frontière des libérateurs de l'amour où Bukowski monte la garde.
Jacques Cabau, Le Point. -
Tempête pour les morts et les vivants
Charles Bukowski
- Au Diable Vauvert
- Litterature Etrangere
- 2 Septembre 2021
- 9791030704860
Cette anthologie de poèmes méconnus, souvent parus dans d'obscurs magazines, est le fruit d'une recherche minutieuse menée à travers de nombreuses bibliothèques et collections privées des États-Unis.
Profonde, rythmée, hilarante, vernaculaire, la poésie de Bukowski est à l'image de son auteur : aux antipodes de la littérature élitiste. L'absurdité de son temps, l'humanité, le sexe, la condition ouvrière, l'écriture ou son amour pour les animaux alimentent sa poésie en perpétuelle quête de sincérité.
J'ai 90 mille dollars à la banque 50 balais 125 kilos sur la balance jamais réveillé au son d'une alarme et suis plus proche de Dieu que ne l'est le moineau.
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Le retour du vieux dégueulasse
Charles Bukowski
- Le Livre De Poche
- Litterature
- 30 Septembre 2015
- 9782253003373
En 1969, Charles Bukowski, écrivain underground inconnu du grand public, fut projeté sur la scène internationale avec la parution du Journal d'un vieux dégueulasse. Cette première édition n'avait repris qu'une quarantaine des chroniques qu'il avait écrites durant vingt ans. Le présent volume regroupe celles qui seraient injustement tombées dans l'oubli. Transgressant tous les tabous, leur auteur nous livre, non sans humour, ses explorations de toutes les formes de sexualité, de toutes les « perversions », de toutes les « déviances ».Avalez cul sec ces nouvelles où la fanfaronnade le dispute au ridicule, les emportements colériques aux transports érotiques. Oui, il y a du grotesque chez Bukowski. Mais un grotesque assumé. Macha Séry, Le Monde.Un souffle décapant. Hubert Prolongeau, Le Magazine littéraire. L'écriture de Bukowski n'a, cinquante après, rien perdu de sa force révolutionnaire. Didier Jacob, Le Nouvel Observateur.
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Les jours s'en vont comme les chevaux sauvages dans les collines
Charles Bukowski
- Points
- Points Poesie
- 17 Novembre 2011
- 9782757825655
Le meilleur, le plus lyrique, le plus poignant de ses recueils de poèmes, voire de ses livres. C'est ce que nombre d'amateurs de Bukowski pensent de ce recueil de 90 poèmes. Hantés par la figure de Jane Conney Baker, sa première compagne décédée en 1962, ces poèmes se penchent aussi dans un style poignant et incisif sur le sort des laissés-pour-compte de la société - loosers, marginaux, clochards, prisonniers.
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Le capitaine est parti déjeuner et les marins se sont emparés du bateau
Charles Bukowski
- Le Livre De Poche
- Litterature
- 19 Septembre 2001
- 9782253151005
Alors que la Faucheuse se prépare à l'entraîner de l'autre côté du miroir, l'auteur des Contes de la folie ordinaire entame, à la demande d'un ami, un journal intime.
S'il dit son peu de goût pour ce genre d'exercice, il s'y plie cependant avec une magnifique sincérité, n'épargnant ni ses contemporains, ni soi-même.
Les courses de chevaux, les ennuyeux interviewers ou quémandeurs d'autographes, la relecture d'un jeu d'épreuves, ces ongles de pieds qu'il faudrait bien se décider à couper : tout ce qui fait la vie de tous les jours est là. Et aussi les nuits d'insomnie, lorsque l'écran du Mac constitue l'ultime ressource et la seule liberté.
Car le « vieux Buk » se veut avant tout un écrivain. Et c'est une superbe « préface à la vie d'écrivain » qu'il nous donne ici, en point final d'une oeuvre parmi les plus singulières et les plus fortes de ce temps.
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En 1978, Charles Bukowski entreprend une tournée en Europe, avec sa femme et son ami Michael Montfort. Un passage remarqué sur le plateau d'Apostrophes, où il boit du riesling au goulot sous le regard médusé de Bernard Pivot, un séjour calamiteux à Nice, des rencontres émouvantes avec les fans européens... C'est un Bukowski sympathique et plein d'autodérision qu'on découvre dans ce carnet de voyage illustré par les photographies de son ami.
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Le ragoût du septuagénaire
Charles Bukowski
- Le Livre De Poche
- Litterature
- 14 Avril 1999
- 9782253146339
Charles Bukowski Le Ragoût du septuagénaire Je crois que c'est la raison principale qui m'a poussé à devenir écrivain : je peux taper n'importe quand et dormir quand ça me plaît nom de Dieu L'enfance, Los Angeles, le vin, la médiocrité ordinaire, le conformisme ambiant, les bistrots, la solitude, le sexe, les rêveries, la vie désaxée, chaotique, triviale, tour à tour comique et tragique : tels sont les thèmes que l'on retrouve dans ce livre, le dernier publié par l'auteur de Pulp et du Journal d'un vieux dégueulasse, mort en 1994.
Récits et nouvelles en prose alternent avec des poèmes aux rythmes saccadés, trébuchants, irréguliers, d'une limpidité simple et déchirante. Les personnages sont les copains de saoulerie, les femmes, les serveuses, les employés, toute une humanité banale que l'écrivain, par-delà ses provocations et ses outrances, n'a jamais cessé de regarder, de comprendre, d'aimer à sa façon.
Ce ragoût pourrait bien être le meilleur livre de Bukowski en ce qu'on n'a pas souvenir de l'avoir jamais lu aussi sincère et précis dans son écriture aussi radicalement asociale.
Bertrand Leclair, Les Inrockuptibles.
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Un livre mythique sur un lieu mythique. Hollywood relate, de manière à peine romancée, la création d'un film bien réel sur la vie de Charles Bukowski, Barfly, réalisé en 1987 par Barbet Schroeder avec, dans les rôles principaux, Mickey Rourke et Faye Dunaway. De l'écriture du scénario à la première projection, il décrit les étapes de la réalisation du film : les signatures de contrats avec des producteurs vénaux, l'arrêt du tournage pour cause de coupes budgétaires, les soirées avec des acteurs capricieux et des actrices belles et stupides... Bukowski dépeint la comédie pathétique du milieu hollywoodien. Plus qu'une galerie de personnages minables, Bukowski fait un plaidoyer pour les écrivains exploités et spoliés par Hollywood : « On nous traite comme des chiens, on fout en l'air nos meilleures idées, on transforme nos personnages en marionnettes, on édulcore nos dialogues - et qu'est ce qu'on obtient au bout du compte ? La Fortune ! ». De Charles Bukowski dans les Cahiers Rouges - Contes de la folie ordinaire - Women - L'Amour est un chien de l'enfer I et II - Au Sud de nulle part - Factotum - Journal d'un vieux dégueulasse - Le Postier -Souvenir d'un pas grand chose. Publication concomitante dans les Cahiers Rouges, de Je t'aime Albert, du même auteur.
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Paru pour la première fois en 1983, traduit chez Grasset en 1988, Je t'aime Albert (Hot Water Music) est le quatrième recueil de nouvelles de Charles Bukowski. Trente-six nouvelles où on retrouve les thèmes chers à l'auteur des Contes de la folie ordinaire et des personnages typiques de l'univers « bukowskien » : des hommes et des femmes désespérés, alcooliques, misérables, qui commettent ou subissent des actes rageurs et violents. Où l'on verra la haine à l'oeuvre les petits chefs contre les miséreux, comme dans « Un monde pourri », avec passage à tabac de prisonniers par des policiers, et la violence de ceux qui subissent la misère, les autres, comme dans « Le Déclin et la chute », où, dans une scène de cannibalisme, un homme mange le cadavre d'un de ses amis. Dans Je t'aime Albert, le grand « Buk » poursuit sa chronique de l'Amérique des déclassés.
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L'amour est un chien de l'enfer (édition 2011)
Charles Bukowski
- Grasset
- Les Cahiers Rouges
- 19 Octobre 2011
- 9782246290230
Mieux que tout discours les titres de certains poème de ce recueil donnent le ton : "J'ai trop souvent vu des clodos aux yeux vitreux". "Mettez en veilleuse votre cul, votre tête et votre coeur", "Un poème pour une vieille femme aux dents gâtées". "La nuit où j'ai baisé mon réveille-matin". Attention : la liqueur est très forte.
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Au sud de nulle part ; contes souterrains
Charles Bukowski
- Grasset
- Les Cahiers Rouges
- 25 Janvier 2012
- 9782246794929
Un type amoureux d'un mannequin en celluloïd, un autre qui gagne sa vie en patins à roulettes et finit en Christ, un écrivain alcoolique qui, la gloire venue, oublie ses amis... Voilà, en quelques bribes, l'univers d'Au sud de nulle part (1973), sous-titré Contes souterrains, où l'on retrouve Chi-naski, le double de l'auteur, en train de taper sur Heming-way par exemple.
Bukowski replonge à corps perdu dans sa folie ordinaire, mêlant ses délires à ceux des autres, restituant ce qu'il a vu de saignant, qu'il recrache aujourd'hui.
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L'amour est un chien de l'enfer Tome 1
Charles Bukowski
- Grasset
- Les Cahiers Rouges
- 26 Décembre 1997
- 9782246290124
Ces poèmes (1977) sont des paquets de viande, des litres de mélancolie mis au rancart du grand rêve américain. Les femmes ont des collants filés et n'oublient pas d'être hystériques. "Buk" évoque Van Gogh et Rimbaud pour mieux pisser sur les pare-brise des "consommateurs du spectacle".
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L'amour est un chien de l'enfer Tome 2
Charles Bukowski
- Grasset
- Les Cahiers Rouges
- 26 Décembre 1997
- 9782246290223
Rien n'a changé pour l'auteur: il boit toujours de la bière allemande, il est toujours heureux quand {elles }viennent et mélancolique le reste du temps. Toujours aussi méprisant avec les "nullards" de la poésie, toujours aussi faible devant les lèvres framboise des écolières de treize ans.