Et si la vieillesse était une renaissance ? Une voie qui conduit, à travers toutes les étapes de la vie, à la vraie vie, à la vie que même la mort ne peut détruire.
La racine latine alere, "nourrir, faire pousser" nous rappelle que la vieillesse s'inscrit dans un mouvement positif qui consiste à devenir. Il ne s'agit pas d'un état statique, figé, mais d'une mise en route, d'une croissance qui dure toute une vie. Mais comment bien vieillir ? La nature, à travers le rythme des saisons, nous montre comment faire. Le printemps représente l'éclosion de la vie ; l'été, sa plénitude ; l'automne, la variété des couleurs, les récoltes ; l'hiver enfin, le silence et le repos qui permettent le jaillissement d'une vie nouvelle.
Ainsi, il en est du vieillissement comme d'un fruit que l'on voit mûrir avec plaisir, que l'on savoure, et qui en même temps enrichit les autres. Quand on parle de vieillissement, on ne parle pas seulement de forces qui diminuent, de déclin et de faiblesse, au contraire : jusqu'au grand âge, des chances et des possibilités de croissance, d'épanouissement et d'accomplissement existent.
Anselm grün, un maître spirituel pour notre temps, (2 millions d'ouvrages vendus dans le monde), nous propose ici un art de vivre.
Il explore nos émotions et les situations qui nous affectent et nous animent au quotidien. fin psychologue, il sait nous parler, de façon simple et profonde, de la douceur et de la vigilance intérieure.
Nul doute que le commentaire du Notre Père présenté ici est de nature à réveiller le chrétien qui sommeille. En effet, cette prière fondamentale, directement enseignée par le Christ : « Quand vous priez, dites : 'Notre Père.' », devient trop souvent routinière.
Cet amoureux de la vie qu'est toujours Anselm Grün nous suggère de partir à la découverte de soi. Il voudrait nous convaincre que c'est à nous qu'il revient de trouver notre équilibre dans notre existence, afin de se sentir serein, apaisé pour être plus conscient de nos possibilités psychologiques et spirituelles, quel que soit notre âge, notre passé et notre héritage.
Anselm Grün nous décrit la façon de retrouver nos racines et notre identité : cela part du secret des plantes, des arbres et de la nature dont le développement obéit à des lois qui sont invariables. Il ouvre la Bible pour nous expliquer à frais nouveaux ce qu'est la généalogie du Christ en rappelant ses ancêtres ; il nous rappelle nos propres ancêtres et nous conseille de nous mettre en paix avec eux tous, quel que soit leur passé. Il ouvre le missel et nous renvoie à nos prénoms et à leur signification, il rappelle le sens des fêtes de l'année : de la Toussaint à Pâques, et il évoque les rituels qui, chaque année, nous sollicitent pour un nouveau parcours et sont une voie pour atteindre nos racines. Ses racines, l'homme les porte à l'intérieur de lui.
Autant d'occasions pour purifier nos racines, nous réconcilier avec elles, et nous appeler à croître, à grandir et à nous épanouir. Notre propre développement fera, en outre, la joie et le bonheur de ceux que nous côtoyons. Qui connaît bien ses racines, sait ce dont notre arbre de vie a besoin pour se développer, renoue avec sa propre identité et découvre son centre personnel : il peut alors se déployer et grandir. C'est la voie qui nous conduit à la paix intérieure.
Anselm Grün réfléchit ici aux origines et au mystère du mal en regard de notre monde et des questions fondamentales de la vie humaine. L'homme est libre de vouloir le bien mais aussi le mal : là réside le mystère de l'homme et sa grande responsabilité. Il est vraiment homme seulement s'il s'ouvre à Dieu et vit sa transcendance.
Le théologien psychanalyste Drewermann attribue la vraie cause du mal à l'angoisse. Le psychologue Jung comprend lui la Chute comme l'avènement de la conscience de l'homme. Jusqu'aujourd'hui, la théologie catholique suit surtout l'approche du théologien médiéval Thomas d'Aquin qui explique la cause du mal dans la liberté de l'homme. Quant à la psychanalyse, elle interprète le mal comme une irruption insensée à la suite de l'échec d'une expérience. Le psychothérapeute Albert Görres essaie de décrypter les différentes facettes du mal, comme une rébellion, une contestation. Le désespoir est aussi un sentiment qui fait capituler devant le mal. La Bible présente l'homme comme divisé en lui-même et façonné par le péché originel.
En guide sage et averti, Anselm Grün nous aide à développer notre vie spirituelle. La psychothérapie propose un chemin de guérison et la morale chrétienne veut nous indiquer la voie du bien à travers le soin pastoral. Le pardon, la prière et l'amour sont d'excellents moyens chrétiens de se libérer de la tentation du mal. Jésus a vaincu le mal par son amour et nous a montré le chemin : à notre tour donc, nous pouvons vaincre le mal dans ce monde.
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Il explore nos émotions et les situations qui nous affectent et nous animent au quotidien. fin psychologue, il sait nous parler, de façon simple et profonde, de la sérénité.
Par l'un des plus grands maîtres spirituels actuels (2 millions de titres vendus) incluant un approfondissement de l'art de vivre chrétien agrémenté de courts conseils et éclairés à chaque page par les lumineuses photos d'art de Micha Pawlitzki.
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il explore nos émotions et les situations qui nous affectent et nous animent au quotidien. fin psychologue, il sait nous parler, de façon simple et profonde, de la joie de l'amour et de l'amitié, qui donne goût à la vie et le bonheur d'exister.
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La santé est plus que la simple restauration d'un corps malade, obtenue à coup de médicaments et d'appareils sophistiqués.
Elle requiert un style de vie sain et comporte une dimension spirituelle, un juste rapport à soi, aux autres, à la Création, à Dieu, dans l'unité du corps et de l'âme. Prêter à son corps, en tant qu'il est l'expression de l'âme, toute l'attention qui lui est due, est une exigence spirituelle.
" dans cet opuscule, j'ai réfléchi sur la mort et la résurrection, sur les opinions les plus variées relatives à la mort, la réincarnation, le ciel et l'enfer.
c'est, aussi un condensé de ce que la bible et la théologie contemporaine disent sur le sujet. j'aimerais chasser la peur d'un bon nombre afin qu'ils puissent vivre plus en profondeur. la mort est pour moi l'invitation à vivre chaque instant, avec intensité, à pénétrer le mystère de la vie, à tisser déjà l'éternité dans le temps, à être celui que dieu a pensé de toute éternité. ".
Pape François est un exemple de modération, mais pour beaucoup, cette vertu est difficile à atteindre et surtout à maintenir. Les primes exorbitantes versées aux cadres dirigeants ne sont que la partie visible de l'iceberg : nous gaspillons tous quotidiennement des ressources, de même que nous saccageons la nature et nous nous exploitons les uns les autres. Face à ce constat, comment trouver un équilibre ?
Ce principe de base qu'est la modération doit s'entendre dans la durée et se retrouver dans notre comportement de consommateur. L'image de soi et la santé, tant physique que psychologique, jouent aussi un rôle déterminant, de même que l'avarice, la cupidité et l'envie d'une part, mais aussi le respect mutuel, l'empathie et la pleine conscience d'autre part.
Anselm Grün examine en profondeur tous ces points avec comme objectif, non pas de nous imposer une pression morale, mais de nous indiquer un chemin vers une vie plus heureuse et tempérée.
Sacrement de pénitence. Sacrement de la réconciliation. Le vocabulaire a changé traduisant une plus nette approche de la miséricorde, toujours première de Dieu, et de la paix retrouvée avec Dieu, avec le prochain, avec soi-même.
Malgré cette nouvelle et heureuse accentuation, quel recul dans la pratique de ce sacrement aujourd'hui !
N'est-il pas temps de nous interroger sur le pourquoi de cette désaffection, sur le sens de cette évolution, sur les perspectives d'avenir d'un sacrement qui pardonne, libère, guérit ?
Fort de sa culture de théologien et de psychologue, de son expérience auprès des jeunes et des retraitants ou des simples visiteurs de son abbaye, le Père Anselm Grün expose l'apport humain, pédagogique, spirituel de ce sacrement et le resitue dans le cadre général de l'histoire du Salut, de l'homme pardonné et aimé du Dieu de miséricorde.
Il y a en chacun de nous un espace sacré, un espace de silence échappant aux pensées et aux émotions, un espace protecteur, oú nous retrouvons notre intégrité, un sanctuaire intérieur oú dieu habite.
Chacun de nous a des valeurs sacrées qui lui sont vitales. notre société possède aussi des valeurs sacrées fondamentales qui s'inscrivent dans des temps, des lieux, des rites, etc. le sacré me fascine, il m'affecte, me touche, me concerne.
" engagé durant vingt-cinq années dans l'accompagnement des jeunes, j'ai observé combien la question de l'identité masculine se pose avec toujours plus d'acuité.
les jeunes gens ignorent de
quelle façon se conquiert une virilité authentique, en cohérence avec leur foi, sans tomber dans le machisme ni devenir inconsistants. la spiritualité chrétienne ordinairement proposée est souvent plus pacifiante qu'exigeante ; d'oú la désaffection des
hommes qui ne trouvent pas dans l'église réponse à leur besoin de déployer leur énergie, leur créativité, pour changer le monde.
car être pleinement homme, c'est certes savoir aimer, mais c'est aussi savoir se battre, faire face. ces hommes-là, l'église d'aujourd'hui ne sait pas leur parler. j'écris ici à partir de ma propre masculinité et d'homme à homme, en m'appuyant sur dix-huit figures masculines de la bible (moïse, jacob, salomon, david, paul, jean baptiste, etc. ). j'ai découvert
l'intensité de l'énergie qui les habite : chacun va son chemin personnel et aucun n'est parfait au début de son parcours.
tout processus connaît des fautes et des erreurs. pourtant ils marchent devant dieu et en présence de dieu. ils sont sur le chemin exigeant de la virilité. " anselm grün.
Les auteurs présentents 14 figures bibliques, comme autant d'archétypes pour éclairer la réflexion sur la condition féminine
La relation entre la démarche spirituelle et les rêves est aujourd'hui perdue.
Mais en nous mettant à leur écoute, nous trouverions peut-être des outils de choix pour progresser dans notre chemin vers Dieu. Car le rêve est un lieu privilégié où Dieu nous parle, où nous le laissons nous parler.
Tant au plan civil qu'ecclésial, le mariage est aujourd'hui une institution bien bousculée : les unions libres, les Pacs, les divorces sont en augmentation et on ne voit guère ce qui pourrait ralentir cette mise en cause.
Dans le même temps, les sessions de préparation au mariage, les mouvements de spiritualité conjugale attirent sinon la grande foule, du moins des chrétiens soucieux de fonder et de développer leur union sur des bases solides, celles du sacrement de mariage vécues dans toutes ses dimensions ecclésiales, spirituelles, psychologiques, relationnelles.
Anselm Grün propose des pistes de réflexions qui éclairent divers aspects du mariage comme institution et comme sacrement : un contrat fait pour durer, un foyer à deux ouvert à la vie, un engagement fondé sur la confiance réciproque et sur l'aide jamais démentie de Dieu, une sanctification de l'amour entre deux êtres transfigure celui du Christ.