Grâce à Honoré Fia, son illustrateur de beau-frère, Adèle échappe au poison du Docteur Chou, qui transforme son prochain en bovin écervelé. Mais elle n'est pas tirée d'affaire pour autant, puisqu'un autre danger la guette, des clones explosifs, qui lui ressemblant comme deux gouttes d'eau et se font sauter aux côtés de pontes du gouvernement lui pour faire porter le chapeau !
Nouvelles éditions pour les aventures de l'héroïne culte de Tardi !
Dans ce premier épisode des Aventures Extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec , nous faisons connaissance avec la célèbre héroïne de Tardi.
Dotée d'une personnalité hors du commun, Adèle nous entraîne dans un univers mystérieux (dans lequel Paris occupe une place de choix), peuplé de monstres et d'êtres étranges, qui fera le succès de cette série.
Nouvelles éditions pour les aventures de l'héroïne culte de Tardi !
En ce mois de décembre 1911, Paris est secouée par la brusque réapparition de la peste et par une mystérieuse vague de disparitions sur le Pont-Neuf. Adèle, déterminée à venger la mort de son ami Lucien Ripol, mène l'enquête, persuadée qu'un lien existe entre ces trois affaires. Affrontant tour à tour Albert, son ancien complice, et une redoutable secte d'adorateurs du démon Pazuzu, arrivera-t-elle à échapper aux différentes menaces qui planent sur elle ?
Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIB est à l'origine une trilogie mûrie de longue date : transposer en bande dessinée les carnets de son père, chronique de sa jeunesse et de ses années de captivité. Après avoir énormément travaillé sur la Grande Guerre, c'est la première fois que Tardi se penche d'aussi près sur la Seconde Guerre mondiale.
En mettant en images l'histoire de son père militaire, prisonnier de guerre en Pologne pendant 5 ans, Tardi explore rien moins que les racines et les ressorts de sa propre vie. Ce « roman familial » prend des accents d'autant plus intimes que jamais Tardi ne s'était autant livré dans l'un de ses livres, se mettant lui-même en scène aux côtés de son père.
Nouvelles éditions pour les aventures de l'héroïne culte de Tardi !
Janvier 1912. Paris frissonne sous la neige, mais la capitale ignore encore que dans quelques jours c'est de peur qu'elle tremblera. Amenée à assister à la "résurrection" d'un homme préhistorique, Adèle Blanc-Sec est entraînée dans une de ses plus mystérieuses aventures, remplie d'étranges disparitions, de tentatives de meurtres et d'esprits invoqués.
Paris, octobre 1923. Au petit matin, dans le quartier Saint-Lazare, on découvre une main humaine dans une poubelle. Le même jour, alors qu'elle vient de rendre visite à sa soeur en banlieue, Adèle Blanc-Sec échappe de peu à une tentative d'assassinat. Un peu plus tard, une limousine se présente devant l'inquiétante usine du docteur Cube, pour une bien mystérieuse visite. Quel est donc le lien entre tous ces personnages et événements ?
Mars 1922, dans un Paris pluvieux, Adèle a mal aux dents.
Ça tombe bien, le "dentiste" vient de sortir de prison et, déjà, un de ses complices est assassiné...
Nouvelles éditions pour les aventures de l'héroïne culte de Tardi !
Nouvelles éditions pour les aventures de l'héroïne culte de Tardi !
Nouvelles éditions pour les aventures de l'héroïne culte de Tardi !
Retrouvée par l'infâme Professeur Dieuleveult, Adèle va devoir lutter pour échapper à ce sinistre individu qui ne souhaite qu'une chose : sa mort.
Avec Moi, René Tardi, prisonnier de guerre - Stalag IIB, Jacques Tardi concrétise un projet mûri de très longue date : transposer en bande dessinée les carnets de son propre père, rédigés des années durant sur des cahiers d'écolier, où celui-ci tient par le menu la chronique de sa jeunesse, en grande partie centrée sur ses années de guerre et de captivité en Allemagne. Après avoir, comme on le sait, énormément travaillé sur la guerre de 14 - 18, c'est la première fois que Tardi se penche d'aussi près sur la période de la Seconde Guerre mondiale. Ce faisant, il développe également un projet profondément personnel : en mettant en images l'histoire de son père militaire, Tardi explore rien moins que les racines, les origines et les ressorts de sa propre vie. Ce « roman familial » prend des accents d'autant plus intimes que Tardi a associé au projet deux de ses propres enfants, Rachel (qui assure la mise en couleur) et Oscar (documentation et recherches iconographiques). Cet ouvrage s'annonce d'emblée comme l'un des événements bande dessinée de la fin d'année. Jamais sans doute Tardi ne s'était autant livré dans l'un de ses albums.
Fin 2012, Tardi entreprenait avec Moi René Tardi prisonnier de guerre au stalag II B la publication de l'un de ses projets les plus personnels, mûri de longue date : l'adaptation en bande dessinée des carnets de guerre de son père, où celui-ci tenait la chronique minutieuse de ses années de captivité dans un camp de Poméranie en Pologne, presque cinq années durant. Une manière touchante et pudique pour le dessinateur, qui se met lui-même en scène dans ce récit sous les traits d'un enfant, de renouer le dialogue avec ce père ombrageux aujourd'hui disparu, profondément meurtri par cette longue épreuve. Le premier volet de cette histoire s'achevait sur le départ des prisonniers de leur stalag fin janvier 1945, toujours encadrés par leurs geôliers, sous la menace de l'armée rouge soviétique lancée à l'assaut de l'Allemagne nazie alors en pleine débâcle.Le second volume de ce grand récit de guerre reprend là où le premier s'était arrêté, toujours sous le regard attentif de l'alter ego enfantin de Tardi : la longue marche des prisonniers dans un dénuement total et sous des températures extrêmes, la violence des garde-chiourme, la peur que suscitent les troupes russes toutes proches, les expédients pour s'assurer les meilleures chances de survie, les velléités d'évasion et ici et là quelques rares moments de récupération, comme la miraculeuse douche chaude négociée dans les locaux d'une ancienne brasserie...Autant de péripéties authentiques directement inspirées du carnet tenu au fil des jours à la mine de plomb sur « un cahier d'écolier coupé en quatre » par René Tardi, que l'on suit avec ses compagnons d'infortune tout au long de leur marche harassante à travers l'Europe dévastée, en direction de la France et de leurs foyers si longtemps espérés.Un témoignage d'une force exceptionnelle, et toujours le brio sans équivalent de l'un des plus grands auteurs de la bande dessinée contemporaine.
À son retour de captivité en 1946, René Tardi et sa femme ont un fils, Jacques. N'ayant pas trouvé de travail, René reste dans l'armée et est envoyé dans la zone d'occupation française... en Allemagne ! Bientôt, Jacques et sa mère l'y rejoignent et découvrent un pays en ruines, mais déjà en pleine reconstruction grâce à l'aide américaine.
De Valence à Coblence, Tardi achève dans ce troisième tome le récit du périple de son père, du début à la fin de la Seconde Guerre mondiale, et ouvre pour la première fois une porte sur son enfance.
Tardi renoue avec la mémoire de 14-18 à travers un ambitieux projet : une évocation en bande dessinée du premier conflit mondial, et de la place qu'y ont occupée, au quotidien, les hommes qui s'y sont affrontés et entretués. Un récit de fiction, mais où le souci de véracité et la rigueur de la reconstitution historique occupent une place primordiale. Ce nouveau projet, dans la forme, reprend le découpage en 3 strips par page déjà utilisé dans l'album C'était la guerre des tranchées. Le récit débute en couleurs, mais, au fil de sa progression chronologique, et à mesure que la guerre s'enkyste, s'étend et s'approfondit, adopte les tonalités de plus en plus monochromes de la boue et de la grisaille. Avant d'être proposé en librairie en album, fin octobre, ce nouveau grand récit de Tardi fait l'objet d'une publication sous la forme d'un journal grand format, à raison de trois numéros de vingt pages chacun. Chaque numéro du journal, centré par ordre chronologique sur l'une des années de la période 1914-1916, comporte d'une part quinze pages de bande dessinée et d'autre part cinq pages de textes et d'articles, consacrés à l'actualité non-militaire de la période. L'ensemble de ces textes, illustrés par Tardi, est signé de l'historien Jean-Pierre Verney, qui assure depuis des années, aux côtés du dessinateur, le travail de documentation historique auquel s'adossent l'ensemble de ses albums portant sur la Grande Guerre.
Tardi renoue avec la mémoire de 14-18 à travers un ambitieux projet : une évocation en bande dessinée du premier conflit mondial, et de la place qu'y ont occupée, au quotidien, les hommes qui s'y sont affrontés et entretués. Un récit de fiction, mais où le souci de véracité et la rigueur de la reconstitution historique occupent une place primordiale. Ce nouveau projet, dans la forme, reprend le découpage en 3 strips par page déjà utilisé dans l'album C'était la guerre des tranchées. Le récit débute en couleurs, mais, au fil de sa progression chronologique, et à mesure que la guerre s'enkyste, s'étend et s'approfondit, adopte les tonalités de plus en plus monochromes de la boue et de la grisaille. Avant d'être proposé en librairie en album, fin octobre, ce nouveau grand récit de Tardi fait l'objet d'une publication sous la forme d'un journal grand format, à raison de trois numéros de vingt pages chacun. Chaque numéro du journal, centré par ordre chronologique sur l'une des années de la période 1914-1916, comporte d'une part quinze pages de bande dessinée et d'autre part cinq pages de textes et d'articles, consacrés à l'actualité non-militaire de la période. L'ensemble de ces textes, illustrés par Tardi, est signé de l'historien Jean-Pierre Verney, qui assure depuis des années, aux côtés du dessinateur, le travail de documentation historique auquel s'adossent l'ensemble de ses albums portant sur la Grande Guerre.
Tardi renoue avec la mémoire de 14-18 à travers un ambitieux projet : une évocation en bande dessinée du premier conflit mondial, et de la place qu'y ont occupée, au quotidien, les hommes qui s'y sont affrontés et entretués. Un récit de fiction, mais où le souci de véracité et la rigueur de la reconstitution historique occupent une place primordiale. Ce nouveau projet, dans la forme, reprend le découpage en 3 strips par page déjà utilisé dans l'album C'était la guerre des tranchées. Le récit débute en couleurs, mais, au fil de sa progression chronologique, et à mesure que la guerre s'enkyste, s'étend et s'approfondit, adopte les tonalités de plus en plus monochromes de la boue et de la grisaille. Avant d'être proposé en librairie en album, fin octobre, ce nouveau grand récit de Tardi fait l'objet d'une publication sous la forme d'un journal grand format, à raison de trois numéros de vingt pages chacun. Chaque numéro du journal, centré par ordre chronologique sur l'une des années de la période 1914-1916, comporte d'une part quinze pages de bande dessinée et d'autre part cinq pages de textes et d'articles, consacrés à l'actualité non-militaire de la période. L'ensemble de ces textes, illustrés par Tardi, est signé de l'historien Jean-Pierre Verney, qui assure depuis des années, aux côtés du dessinateur, le travail de documentation historique auquel s'adossent l'ensemble de ses albums portant sur la Grande Guerre.
Tardi renoue avec la mémoire de 14-18 à travers un ambitieux projet : une évocation en bande dessinée du premier conflit mondial, et de la place qu'y ont occupée, au quotidien, les hommes qui s'y sont affrontés et entretués. Un récit de fiction, mais où le souci de véracité et la rigueur de la reconstitution historique occupent une place primordiale. Ce nouveau projet, dans la forme, reprend le découpage en 3 strips par page déjà utilisé dans l'album C'était la guerre des tranchées. Le récit débute en couleurs, mais, au fil de sa progression chronologique, et à mesure que la guerre s'enkyste, s'étend et s'approfondit, adopte les tonalités de plus en plus monochromes de la boue et de la grisaille. Avant d'être proposé en librairie en album, fin octobre, ce nouveau grand récit de Tardi fait l'objet d'une publication sous la forme d'un journal grand format, à raison de trois numéros de vingt pages chacun. Chaque numéro du journal, centré par ordre chronologique sur l'une des années de la période 1914-1916, comporte d'une part quinze pages de bande dessinée et d'autre part cinq pages de textes et d'articles, consacrés à l'actualité non-militaire de la période. L'ensemble de ces textes, illustrés par Tardi, est signé de l'historien Jean-Pierre Verney, qui assure depuis des années, aux côtés du dessinateur, le travail de documentation historique auquel s'adossent l'ensemble de ses albums portant sur la Grande Guerre.
Tardi renoue avec la mémoire de 14-18 à travers un ambitieux projet : une évocation en bande dessinée du premier conflit mondial, et de la place qu'y ont occupée, au quotidien, les hommes qui s'y sont affrontés et entretués. Un récit de fiction, mais où le souci de véracité et la rigueur de la reconstitution historique occupent une place primordiale. Ce nouveau projet, dans la forme, reprend le découpage en 3 strips par page déjà utilisé dans l'album C'était la guerre des tranchées. Le récit débute en couleurs, mais, au fil de sa progression chronologique, et à mesure que la guerre s'enkyste, s'étend et s'approfondit, adopte les tonalités de plus en plus monochromes de la boue et de la grisaille. Avant d'être proposé en librairie en album, fin octobre, ce nouveau grand récit de Tardi fait l'objet d'une publication sous la forme d'un journal grand format, à raison de trois numéros de vingt pages chacun. Chaque numéro du journal, centré par ordre chronologique sur l'une des années de la période 1914-1916, comporte d'une part quinze pages de bande dessinée et d'autre part cinq pages de textes et d'articles, consacrés à l'actualité non-militaire de la période. L'ensemble de ces textes, illustrés par Tardi, est signé de l'historien Jean-Pierre Verney, qui assure depuis des années, aux côtés du dessinateur, le travail de documentation historique auquel s'adossent l'ensemble de ses albums portant sur la Grande Guerre.
Elise, jeune chanteuse « montée » de Lyon à Paris en 1958 pour tenter sa chance, tourne le dos au showbiz suite au mouvement contestataire de mai 68. Refusant le « retour à la normale », elle rejoint le maquis des luttes contre l'exploitation, les injustices sociales, le racisme. Un parcours atypique qui nous mène de la guerre d'Algérie jusqu'à la fin des années 70.
À dix-huit ans, Terrier est amoureux d'une jeune fille d'un milieu plus aisé qui lui promet de l'attendre dix ans le temps qu'il fasse fortune. Terrier s'engage dans l'armée, devient mercenaire puis tueur à gages. Son but est simple : gagner suffisamment d'argent pour aller chercher sa bien aimée. À trente ans, Terrier décide de se retirer pour retrouver sa promise comme promis. Mais rien ne se passe comme prévu...
Ce roman est certainement l'un des plus célèbres du prince de la Série Noire. Avec près de 100 pages en noir et blanc, il est aussi l'une des adaptations les plus ambitieuses de Tardi.
Des textes oubliés de Jules Verne illustrés par Tardi !Nantes. Un prédicateur de retour de Terre sainte choisit une vieille église depuis longtemps abandonnée pour y prêcher. Alors que la foule prend place, on entend soudain, provenant du clocher, des cris d'épouvante. C'est la catastrophe : la cloche gigantesque qui s'est détachée s'abat sur les paroissiens. Jules Deguay, un jeune avocat présent sur les lieux, soupçonnant un complot, décide de mener l'enquête.
Dans la plus pure tradition du roman gothique,
Un prêtre en 1839 est le premier roman, inachevé, de Jules Verne. Foisonnant de péripéties, on y retrouve déjà le goût de l'auteur pour le mystère et l'aventure, goût qui s'affirmera avec
20 000 lieues sous les mers ou
Voyage au centre de la Terre.
Outre ce récit, on voit également un ensemble de nouvelles tout aussi enlevées et jubilatoires, mettant en scène Pierre-Jean, le bagnard au grand coeur, San Carlos, le contrebandier espagnol, ou encore l'inénarrable marquis Anselme des Tilleuls. On découvre enfin l'ébauche du dernier roman de Jules Verne,
Le Voyage d'études, dont l'action se situe en Afrique centrale, interrompu par sa mort le 24 mars 1905.
Le tout, magnifiquement illustré par plus de cinquante dessins originaux de Tardi. Avis aux amateurs !
"Voyage au bout de la nuit, chef d'oeuvre littéraire incontesté dont Denis Poadalydès nous restitue toute la force brute, est présenté pour la première fois en version numérique (en coédition avec l'Historial de la Grande Guerre, et en accord avec Gallimard et la Succession Céline).
« Louis-Ferdinand Céline est entré dans la grande littérature comme d'autres pénètrent dans leur propre maison. Homme mûr, muni de la vaste provision d'observations du médecin et de l'artiste, avec une souveraine indifférence à l'égard de l'académisme, avec un sens exceptionnel de la vie et de la langue, Céline a écrit un livre qui demeura, même s'il en écrit d'autres et qui soient au niveau de celui-ci. »
Léon Trotsky (The Atlantic Monthly, octobre 1935)
« Denis Podalydès, une science de la lecture, une lecture non intervenante, c'est magnifique. Sur une profondeur de 16 heures, la lecture la plus extraordinaire ! » Daniel Pennac (sur France Inter - Interview Vincent Josse). "
Georges Gerfaut est cadre commercial. Marié, deux enfants, c'est l'heure des vacances en famille dans le Sud de La France. Mais un soir, Gerfaut croise sur le périphérique un accidenté de la route qu'il dépose anonymement à l'hôpital. Trois jours plus tard, Gerfaut devient une cible à abattre.
Le malaise des cadres, c'est pas rien ! Vous avez femme, enfants, bagnole, télé et voilà que vous vous sauvez. Tout ça parce que deux rigolos essaient de vous flinguer. Et vous savez même pas pourquoi. Un jour, camarade, il faudra quand même comprendre. écrivait Jean-Patrick Manchette en 1976 en quatrième de couverture de son roman Le petit bleu de la côte Ouest.