Deux candides « textiles » partent en expédition au pays des corps nus. Un safari décalé et cocasse dans les camps du soleil. Univers concentrationnaire de béton, ou pittoresques villages en paillotes. Suivez nos Bouvet et Pécuchard sur la dune, le crayon à l'oreille et la plume au vent, de mobile homes en jeux-apéritifs, de pétanques à « oilpé » en congrès sous la pinède...
« Une si douce apocalypse », paru en janvier dans « Le cabinet noir », a été une révélation pour de nombreux lecteurs, révélation que la presse a également saluée, Le Monde, Le Magazine littéraire, Le Figaro littéraire, Valeurs actuelles, Le Figaro magazine en particulier. Dans les cinq nouvelles inédites de ce nouveau recueil on retrouve l'écriture rigoureuse et la pensée visionnaire et désespérée, parfois tempérée d'émotion, qui sont la marque de cette oeuvre totalement originale, à la limite du policier et de la science-fiction.
Rigoureusement construites, l'écriture en est très visuelle et les dialogues particulièrement vivants. Noires, et souvent cruelles, elles laissent pourtant percer de la tendresse et « la secrète espérance d'une rédemption ». Remarquable nouvel auteur « noir », Michel Leydier se situe dans la lignée de Frédéric Fajardie et Jérôme Leroy.
Ce nouveau recueil de l'auteur de « Retour à Zlin », « Mort d'un lapin urbain » et « Les neuf cercles de l'enfer », propose 14 nouvelles inédites. D'une écriture concise, parfois traversée de fulgurances poétiques, ces nouvelles noires, souvent chargées de l'humour caustique qui est la marque de l'auteur, ne sont jamais désespérées. Elles sont même souvent très drôles. Quelques titres vous donneront un avant-goût de leur saveur particulière : Histoire de fou, Élémentaire, mon cher Watson..., Projet idiot, Un ange nommé « Apple », Le mariage de la petite arnaqueuse, etc.