Rosine est une mère, une femme, une amie parfaite. Pourtant, un soir, elle tue ses deux filles. Elle les noie. Elle culpabilise, elle dit qu´elle est un monstre. Clélia, enquêtrice de personnalité auprès des tribunaux, n´y croit pas. Il y a forcément quelque chose dans l´histoire de Rosine qui a « permis » ce crime. Avec l´aide de Rosine, Clélia va rechercher quoi.
Suzanne vit avec ses quatre enfants de quatre pères différents, Achille, Jules, Arthur et Mathilde qui ont entre 17 et 6 ans. Ils partagent un quotidien tendre et fantasque, à l'image de leur mère. Liés par un amour indéfectible, ils ont surmonté toutes les épreuves, jusqu'à ce jour de novembre 2015 où tout s'écroule. Leur histoire rejoint alors celle du monde, et leur amour devient leur seule planche de salut. .Â
Une petite fille retrouvée morte au pied d'une falaise... la commissaire Anne Belkacem part à la chasse au « N »... .
ROSE A SIX ANS, c'est une jolie petite fille, ses longs cheveux blonds vénitiens lui tombent jusqu'en bas des hanches. Elle porte une robe légère, peut-être une chemise de nuit, rosée, elle marche sur une côte escarpée du Finistère Nord, en direction de la pointe du raz. Elle tient son doudou lapin dans sa main. Elle marche d'un pas décidé, courageuse. Elle a rendez-vous. Le vent se lève. Il est tôt le matin, elle serre les dents un peu, de fatigue, et peut-être de peur. Ses pieds, chaussés de tennis en toile blanche sans lacet, tranchent franchement avec la couleur noire de la roche. De loin, l'image est belle, sauvage, comme un tableau. Rose arrive au bord de la falaise. Elle regarde la mer qu'elle connaît si bien. Elle soupire, hésite une seconde. Ses parents vont sûrement lui en vouloir. Elle saute...
Celui qui signe ses meurtres d'un « N », est-il un tueur en série ou bien est-il un justicier ? Cet être insaisissable est-il vraiment responsable de ces morts dont le pubis est tatoué de son initiale ? Et quel lien entre eux ? Une enquête ardente d'une policière concernée par Sandrine Cohen qui s'affirme comme une valeur sure de la littérature noire.
« Il est N » est une collection de récits courts, noirs, inscrits dans notre époque.
Périodiquement un nouvel épisode du feuilleton par un nouvel auteur. Jérémy Bouquin qui a créé cette série dans l'esprit des feuilletons de la grande époque de la littérature populaire renoue avec l'esprit du mauvais genre. N serait-il un nouvel avatar de Fantômas qui aurait mangé du Poulpe enragé ?
En 2006, après deux ans de profonde dépression, Priscille Deborah se jette sous le métro. Elle a 31 ans, elle est mariée, elle a une fille. Elle survit au prix de ses deux jambes et de son bras droit. Contre toute attente, au lieu de l'anéantir, ce « big-bang » va la métamorphoser. Son handicap, étrangement, la révèle à elle-même et lui permet de trouver enfin sa place dans la vie.
Dans Une vie à inventer, Priscille Deborah retrace le chemin parcouru depuis sa tentative de suicide. Son expérience et ses réflexions s'adressent à tous ceux qui ont connu une « perte » qu'ils pensaient irréparable. Car, grâce à cette terrible épreuve, Priscille Deborah a décidé de réaliser ses rêves : elle est devenue peintre, et sa peinture est reconnue, elle découvre la natation, et pratique plusieurs autres sports de façon quasiment autonome, comme la plongée, le ski et l'équitation. Par ailleurs, elle a refait sa vie et elle forme avec son nouveau mari, la fille qu'ils ont eue ensemble et sa fille aînée, une famille unie.
Celle qui a décidé d'être la première femme bionique de France, et qui le devient en 2020, est la preuve vivante qu'il ne faut jamais désespérer et qu'il est toujours temps d'accomplir ses rêves... et sa vie.
Un petit garçon dont le père est absent écrit à un ami imaginaire. Celui-ci lui répond.
D'échange de correspondance en confidences mutuelles, émotions et pensées se tissent autour d'un lien de réciprocité fort.